Article autour du GPS

Bonjour,

J’ai intialisé un article autour du GPS : usage, logiciel, truc et astuces.

C’est encore un brouillon. J’aimerais avoir vos retours sur sa clareté , est-ce qu’il manque des points, il y a surement des approximations de vocabulaire à corriger voir des erreurs.

C’est un article collaboratif donc …n’hesitez pas à completer en particulier les logiciels coté smartphone (j’en ai pas :stuck_out_tongue: … enfin un BB pro ).

Faites plutôt vos commentaires ici que dans le document directement (ca reste un brouillon).

articles/427764/fr/le-gps-en-pratique

Bonjour,
Quelle bonne idée que cet article mais quel chantier ! Je pense en effet que l’utilisation d’un GPS en montagne n’est pas forcément une chose facile à cause principalement de la diversité des modèles même quand on reste fidèle à une marque. J’utilise le GPS en ski de rando (indispensable en raid me semble t-il) depuis très longtemps et j’en viens presque à regretter mon vieux Etrex basique de mes débuts car il était peu précis mais tellement facile d’emploi.
En tant qu’AMM j’ai été amené à faire des formations GPS, un vrai casse tête lorsque les participants ont tous des GPS différents, il faut tenter de comprendre dans quel menu on va aller chercher la bonne option qui fait que ça marche comme on veut. On en viendrait presque à faire des formations par modèle de GPS, un comble !
Mais le projet d’article m’intéresse et si je trouve le temps de participer je le ferai volontiers.
Déjà une modeste contribution : plutôt que d’utiliser des cartes payantes, j’utilise Open Street Map comme carte dans mon GPS. C’est vrai que pour la montagne ça reste encore relativement sommaire pour l’instant mais ça risque de progresser très vite puisque là aussi on est sur un projet collaboratif.
A très bientôt !

Posté en tant qu’invité par Matt7:

[quote=« Thierry Jeandel, id: 1513328, post:2, topic:133637 »]Bonjour,
Quelle bonne idée que cet article mais quel chantier ![/quote]
Oui, pour moi le sujet est trop vaste et il faut faire impérativement plusieurs articles sinon ça sera illisible (surtout pour une lecture web). De plus certains sujets évoluent relativement lentement, d’autre hyper rapidement.

Par exemple :

  • présentation générale + référentiel, grille
  • mode d’utilisation du gps en montagne (sans référence à un modèle de GPS)
  • les modèles de GPS outdoor (à usage exclusif)
  • les logiciels pour smartphone et iPhone
  • la cartographie embarquée

J’ai déjà commis quelques papiers sur certains de ces points donc je serai prêt à contribuer (mais pas dans un grand article fourre-tout)

[quote=« Thierry Jeandel, id: 1513328, post:2, topic:133637 »]Bonjour,
C’est vrai que pour la montagne ça reste encore relativement sommaire pour l’instant mais ça risque de progresser très vite puisque là aussi on est sur un projet collaboratif.[/quote]
OpenStreetmap comme les autres cartes vectorielles (TopoGPS de Garmin) peuvent être acceptables tant qu’on reste sur des chemins mais c’est pas demain la veille qu’ils pourront remplacer les cartes raster IGN ou Swisstopo pour une utilisation alpi, ski de rando et autres activités hors-sentier : tu te vois rentrer à la main tous les micro détails qui figurent sur une carte IGN ?

D’ailleurs Garmin semble se ranger à cette idée : sur les nouveaux GPS Topo pour la suisse, ils intègrent la carte raster Swisstopo, leur carte vectorielle maison venant en surcouche. Solution au top mais très chère et il faut que le GPS soit assez puissant.

L’idée n’est pas trop de rentrer dans les détails de chaque modèle. Eventuellement on peut décliner des articles sur des modèles precis.

N’hesites pas à rajouter open street map dans les paragraphe des cartes.

Je bloque sur un point … sur la partie usage ca manque un peu de schema … simplement je voudrais faire un image d’une carte avec lecture d’une coordonnée, mais j’ai un soucis de license dans ce cas.

Posté en tant qu’invité par matt7:

Question en passant, à quand le retour des cartes IGN (géoportail) sur l’outil cartographique de C2C ?

C’est en cours de test. Donc ca arrive :slight_smile:

Bonjour,

Belle ébauche.
Je me permets quelques remarques :

  1. Les coordonnés UTM sont données dans l’ordre : Fuseau (Secteur) Easting d’abord puis Northing en final. Contrairement donc à l’usage habituel « lat, Long » mais en accord avec l’habitude « x, y ».
    Le northing kilométrique est en 4 chiffres. Le easting kilométrique ne comporte lui que trois chiffres significatifs, parfois précédés d’un zéro
    Exemple : 31 T (0)495.123 5927.456
    Le séparateur km.m est parfois omis.
    On trouve parfois E à la suite de la coordonnée easting et N à la suite de la coordonnée northing.

  2. Les cartes BirdsEye - distinguer :
    BirdsEye « Select » qui sont des scans (raster) de cartes topographiques (notamment les 25.000ème françaises)
    et qui coûtent pour la France 20 € pour 1500 km² (moins cher en GB et en Irlande) et qui sont protégées pour un seul GPS.
    Les cartes BirdsEye tout court qui sont des photo aériennes Google Earth (je pense) et qui couvrent la terre entière pour une seule fois 20 €.

  3. Insister sur la fonction première du GPS : le positionnement, de plus en plus rarement pris en défaut.
    Les autres fonctions : cartographie de fond d’écran, guidage (vers un point isolé, ou calcul d’itinéraire), ce n’est que du logiciel, plus ou moins buggué.
    Les autres capteurs : boussole électronique, alti barométrique, laison ANT+ … sont des éléments de confort, mais aussi sources de bien des complications, bien des dysfonctionnements …

  4. Expliquer le distingo entre « cap » et « cap suivi » - il y a confusion dans la terminologie, car, en général on n’emploie qu’un seul terme :
    Cap = direction dans laquelle pointe le GPS - cette fonction n’existe que si on dispose d’une boussole électronique.
    Cap suivi : dernière direction, suivie, plus ou moins moyennée sur les derniers mètres ou dizaines de mètres du déplacement : cette direction suivie est calculée par le GPS et est déroutante une fois à l’arrêt.
    À partir d’une certaine vitesse de déplacement (que l’on ne peut plus paramétrer sur les dernier Garmin), le cap suivi s’affiche automatiquement en lieu et place du cap magnétique proprement dit : nouvelle source de confusion quand on fonction à la limite des deux modes.

Voili voilou …

Utilise une carte OSM, voir Topopyreneos partie espagnole …

[quote=« Bis47, id: 1513350, post:7, topic:133637 »]1. Les coordonnés UTM sont données dans l’ordre : Fuseau (Secteur) Easting d’abord puis Northing en final. Contrairement donc à l’usage habituel « lat, Long » mais en accord avec l’habitude « x, y ».
Le northing kilométrique est en 4 chiffres. Le easting kilométrique ne comporte lui que trois chiffres significatifs, parfois précédés d’un zéro
Exemple : 31 T (0)495.123 5927.456
Le séparateur km.m est parfois omis.
On trouve parfois E à la suite de la coordonnée easting et N à la suite de la coordonnée northing.[/quote]

J’ai corrigé l’inversion + clarifier la coordonnée KM

[quote=« Bis47, id: 1513350, post:7, topic:133637 »]2. Les cartes BirdsEye - distinguer :
BirdsEye « Select » qui sont des scans (raster) de cartes topographiques (notamment les 25.000ème françaises)
et qui coûtent pour la France 20 € pour 1500 km² (moins cher en GB et en Irlande) et qui sont protégées pour un seul GPS.
Les cartes BirdsEye tout court qui sont des photo aériennes Google Earth (je pense) et qui couvrent la terre entière pour une seule fois 20 €.[/quote]

BirdEye est un nom déposé et ne s’applique qu’a Garmin. L’appellation ne peut pas être utilisé pour google mais si on l’entend parfois.
J’ai aussi de restructuré un peu cette partie

[quote=« Bis47, id: 1513350, post:7, topic:133637 »]3. Insister sur la fonction première du GPS : le positionnement, de plus en plus rarement pris en défaut.
Les autres fonctions : cartographie de fond d’écran, guidage (vers un point isolé, ou calcul d’itinéraire), ce n’est que du logiciel, plus ou moins buggué.
Les autres capteurs : boussole électronique, alti barométrique, laison ANT+ … sont des éléments de confort, mais aussi sources de bien des complications, bien des dysfonctionnements …[/quote]

C’est déjà un peu le cas, le wording est retravaillé je pense (mais je suis pas un très bon redacteur). Sur le dernier point j’ai rajouté un point sur le dernier paragraphes dans les limites (il reste à le rediger).

[quote=« Bis47, id: 1513350, post:7, topic:133637 »]4. Expliquer le distingo entre « cap » et « cap suivi » - il y a confusion dans la terminologie, car, en général on n’emploie qu’un seul terme :
Cap = direction dans laquelle pointe le GPS - cette fonction n’existe que si on dispose d’une boussole électronique.
Cap suivi : dernière direction, suivie, plus ou moins moyennée sur les derniers mètres ou dizaines de mètres du déplacement : cette direction suivie est calculée par le GPS et est déroutante une fois à l’arrêt.
À partir d’une certaine vitesse de déplacement (que l’on ne peut plus paramétrer sur les dernier Garmin), le cap suivi s’affiche automatiquement en lieu et place du cap magnétique proprement dit : nouvelle source de confusion quand on fonction à la limite des deux modes.[/quote]

J’ai ajouter un petit attention au niveau du cap entre celui de la bousolle et celui du GPS. Le wording est surement à retravaillé par des gens plus doué en écriture.

Posté en tant qu’invité par Matt7:

[quote=« Bis47, id: 1513350, post:7, topic:133637 »]3. Insister sur la fonction première du GPS : le positionnement, de plus en plus rarement pris en défaut.
Les autres fonctions : cartographie de fond d’écran, guidage (vers un point isolé, ou calcul d’itinéraire), ce n’est que du logiciel, plus ou moins buggué.[/quote]
Bah ça se discute et ça évolue très vite, notamment avec les smartphones qui deviennent une solution de plus en plus crédibles.
Je suis passé d’une démarche GPS de secours éteint dans le fond du sac à GPS allumé dans le sac (pour enregistrer ma trace), puis, notamment pour certaines activités comme le VTT : GPS cartographique permettant de suivre une trace sans s’arrêter à chaque carrefour.
Je suis depuis peu passé à l’étape carte IGN sur smartphone tellement plus pratique à mon point de vue que d’avoir un porte-carte autour du cou ou de devoir poser le sac pour attraper la carte papier. C’est idéal pour les courses à la journée, un peu plus compliqué (mais pas insoluble) pour des raids de plusieurs jours à cause des batteries.
Je n’ai pas de souci de bug.

Avec un fond de carte type IGN il n’y a plus vraiment besoin de préparer des waypoints et une route, il suffit de suivre la carte comme on le fait avec une carte papier ( sauf que là on a sa position précise et sa trace)

C’est aussi une question de point de vue : avec mon Garmin, ces trois fonctions ne m’ont jamais posé le moindre problème. Je n’utilise pratiquement pas la boussole et ANT+ par contre je trouve que l’alti barométrique est bien pratique avec le système de recalage automatique et la possibilité d’enregistrer une altitude fiable dans la trace.
Le seul truc qui est moyennement au point (mais c’est compliqué) c’est les calculs de cumul de dénivelé.

Après, c’est sûr que la dépendance technologique est indéniable, mais pas forcément au détriment de la sécurité si on y fait attention.
Et bien sûr je comprends parfaitement ceux qui préfèrent la bonne carte papier et ne veulent pas s’emmerder avec tout ça ( le minimum étant à mon point de vue d’avoir un gps basique en fond de sac en cas d’absence de visi)

Cette pratique est effectivement très courante mais elle me semble dangereuse car ce n’est pas quand on est paumé qu’il font apprendre à se servir de son appareil car j’ai remarqué que beaucoup d’utilisateurs ne savaient pas se situer précisément avec GPS + carte. Ca peut effectivement être rassurant que de se dire qu’on a un GPS dans le fond du sac mais à mon avis c’est un leurre si on ne sait pas s’en servir un minimum. De plus l’avantage de préparer une route à l’avance et de l’entrer dans son GPS oblige à mettre le nez précisément dans la carte et ça c’est plutôt pas mal même par beau temps.

Pas mal de mise à jour ont été faites (merci aux contributeurs). Le parent pauvre reste : « Le GPS et ses logiciels » reste le parent pauvre :frowning:

Un petit commentaire concernant l’utilisation du GPS en montagne. La preparation de l’itineraire, surtout lorsque celui-ci est complexe, fait partie integrante de la course. Passer un peu de temps sur les cartes, elaborer le parcours en fonction des difficultes, relever les waypoints, ne permet-il pas de mieux « digerer » intellectuellement l’itineraire?

A contrario, attendre d’ouvrir le GPS sur le terrain, meme si une carte detaillee est integree, n’elimine pas completement les risques. En effet connaitre precisement sa position et savoir ce vers quoi on se dirige sont deux choses pas forcement interchangeables.

Je l’ai observe encore recemment lors d’une etape Cham-Zermatt realisee dans une puree de pois epaisse. Un groupe equipe d’un GPS et d’une trace a connu quelques soucis qui fort heureusement n’ont eu comme consequence qu’un retard inquietant.

De plus l’etude preliminaire de l’itineraire sur carte permet en cas de panne du GPS, de s’orienter a la boussole et a l’alti, assurant ainsi une redondance gage de securite.

Ca fait parti des remarques de fin de documents.

Par contre je pense que le temps de préparation lié au GPS lui même (rentrer des points, des routes) est de plus en plus reduit voir inexistant.

Posté en tant qu’invité par Géo:

Effectivement. Mais, cela fait partie du ba BA :wink: de la préparation de course. Le GPS ne permet, bien évidement, pas de se passer d’une préparation de sa course. A fortiori s’il n’y a qu’un GPS dans le groupe. C’est du simple bon sens.

J’ai remis une couche à la fin. Maintenant clairement c’est assez rare qu’il n’y est qu’un GPS dans un groupe (vu le nombre de smartphone sur le marché).

Bonjour,

Je voudrais préciser mon point de vue …

[quote]3. Insister sur la fonction première du GPS : le positionnement, de plus en plus rarement pris en défaut.
Les autres fonctions : cartographie de fond d’écran, guidage (vers un point isolé, ou calcul d’itinéraire), ce n’est que du logiciel, plus ou moins buggué.
Les autres capteurs : boussole électronique, alti barométrique, laison ANT+ … sont des éléments de confort, mais aussi sources de bien des complications, bien des dysfonctionnements …[/quote]

A. Le « miracle » du positionnement précis et fiable.

C’est fabuleux, et en conjonction avec les moyens « classiques » de navigation (carte, boussole, alti) on peut TOUT faire. Pour une bonne centaine d’euros (Garmin eTrex 10).

Le guidage en contexte pédestre, aucun logiciel ne le fait mieux que le randonneur lui-même équipé d’une carte et d’une boussole fiable - pourvu qu’il sache lire le terrain, bien entendu.

En contexte « VTT », on se rapproche il est vrai de l’utilisation en automobile - avec les mêmes aléas d’ailleurs (que je ne vais pas développer ici …)

Notez que je suis pourtant très partisan du GPS « complet », intégrant toutes les fonctions de navigation … Essentiellement pour des questions de « détection des erreurs » - erreurs humaines ou erreurs logicielles, y compris de cartographie.

Mais je pense qu’un débutant a tout intérêt a commencer avec un GPS simple.
Avec un GPS simple, une carte papier et une vraie boussole, le randonneur reste le patron : c’est lui qui choisit, qui décide, en disposant pour cela de tous éléments nécessaires.

B. Les Bugs de la cartographie et des fonctions de guidage.

Intimement liés …
Une petite erreur ou omission dans la cartographie => grosse erreur de guidage, que l’humain détecterait d’un simple coup d’oeil.

Compliqués par le paramétrage plus ou moins délicat de la fonction guidage, aussi bien dans le GPS que dans le logiciel cartographique. En principe, Base Camp permet d’utiliser les mêmes paramètres et la même cartographie que dans le GPS - c’est déjà celà, mais il faut se farcir BC …

Guidage en suivi de trace : faut avoir confiance … :frowning:

C. Les « bugs » des capteurs

Boussole électronique : précieuse pour rester orienté à l’arrêt ou à faible vitesse.
Traîtresse parfois :

  • les anciennes boussoles « 2D » demandaient à être tenues parfaitement horizontales - un peu du « Guess work », précision effective de l’ordre de 10°, pas mieux.
  • les nouvelles boussoles « 3D » … tout un roman! Beaucoup mieux en théorie, mais quelques soucis en pratique :
    ° elles nécessittent des calibrations fréquentes (tout un cinéma) ;
    ° cafouillent dès que la tension baisse (battery low => équivalent de « compass unreliable » (parole!);
    ° leur comportement réel est déterminé par le logiciel - ce qui peut donner des résultats bizarres.
    Le compas de mon eTrex 30 fonctionnait impeccablement en version 2.7, bloquait fréquemment « plein nord » en version 2.8 et fonctionne à nouveau correctement en version 2.9 …)

L’altimètre barométrique : impeccable dans sa fonction d’altimètre auto-calibré.
Traitre dans sa fonction baro …
Il peut être « optimiste » de facilement 15 hP en plein été, et se dérégler de 5 hp (mb) au cours d’une ascension de 1000 m. Bref, indiquer une pression de 1025 (signe théorique de beau temps) alors que la pression à prendre en compte serait en fait de 1010 ou 1015 - ce qui est moins encourageant …
(Bien sûr, c’est la même problématique pour tous les altimètres barométriques, mais l’altimètre barométrique intégré au GPS donne de si beaux graphiques …)
Rares sont les randonneurs qui connaissent les corrections à appliquer.
Rares sont les randonneurs qui connaissent les manips et réglages nécessaires pour que la graphique « Pression barométrique en fonction du temps » fonctionne normalement pendant la nuit - et que, par la même occasion, l’altitude reste juste « au réveil ».

En conclusion : Plaidoyer pour un GPS simple !

En tous cas pour les débutants …

  • pour apprendre à tirer le meilleur parti des fonctions de base : positionnement absolu (coordonnées) et positionnement relatif (rho thêta par rapport à des poingts de repère bien choisis);
  • en se concentrant sur l’essentiel, sans nécessairement se prendre la tête ou dépenser des fortunes avec une myriade d’outils et de logiciels;
  • pour apprendre à utiliser l’appareil en confiance, sans voir cette confiance ébranlée par des questions trop complexes, et les bugs divers qui sont le lot des GPS sophistiqués (Pensons à l’incapacité de Garmin pour trouver les bons « adjustements » en matière de cumuls de dénivelés plus d’un an après la mise sur le marché de l’eTrex 30 …)

A l’inverse, quand on se met à utiliser avec intelligence, en toute connaissance des limitations, des erreurs systématiques ou potentielles, un GPS « complet » (positionnement + carto + boussole + alti), quand on maîtrise vraiment la navigation « aux instruments » … ben on tient en main un instrument de liberté .

Attention : la navigation aux instruments repose sur trois grands principes :
Check
Recheck
Crosscheck
Cela fait 42 ans qu’un vieil instructeur l’on m’a inculqué celà …

PS : la maîtrise d’un instrument aussi fantastique, personnellement m’a beaucoup « libéré » en rando. Je peux désormais partir en me laissant guider tout simplement par le terrain …

Posté en tant qu’invité par Géo:

[quote=« Bis47, id: 1513888, post:17, topic:133637 »]L’altimètre barométrique : impeccable dans sa fonction d’altimètre auto-calibré.
Traitre dans sa fonction baro …
Il peut être « optimiste » de facilement 15 hP en plein été, et se dérégler de 5 hp (mb) au cours d’une ascension de 1000 m. Bref, indiquer une pression de 1025 (signe théorique de beau temps) alors que la pression à prendre en compte serait en fait de 1010 ou 1015 - ce qui est moins encourageant …
(Bien sûr, c’est la même problématique pour tous les altimètres barométriques, mais l’altimètre barométrique intégré au GPS donne de si beaux graphiques …)
Rares sont les randonneurs qui connaissent les corrections à appliquer.
Rares sont les randonneurs qui connaissent les manips et réglages nécessaires pour que la graphique « Pression barométrique en fonction du temps » fonctionne normalement pendant la nuit - et que, par la même occasion, l’altitude reste juste « au réveil ».[/quote]

Si je n’ai rien raté, l’altimètre barométrique de mon etrex fonctionne comme tous les altimètres barométriques. Je ne vois pas bien où serait le problème (du moins pour une personne pratiquant les sports de montagne et utilisant un altimètre barométrique depuis des années/décennies).

Je lis ceci dans l’article :

Cela me paraît un peu bizarre.
À ma connaissance, il n’y pas un fuseau « 31 nord » et un fuseau « 31 sud »
La différentiation hémisphère nord / hémisphère sud se fait par l’intermédiaire de l’indication du secteur.
De mémoire, il y 20 secteurs en latitude.
Même dans l’hémisphère sud, on parle toujours de northing, et les coordonnées restent croissantes vers le nord.

Bon courage pour la suite …

[quote=« Bis47, id: 1513898, post:19, topic:133637 »]Je lis ceci dans l’article :

Cela me paraît un peu bizarre.
À ma connaissance, il n’y pas un fuseau « 31 nord » et un fuseau « 31 sud »
La différentiation hémisphère nord / hémisphère sud se fait par l’intermédiaire de l’indication du secteur.
De mémoire, il y 20 secteurs en latitude.
Même dans l’hémisphère sud, on parle toujours de northing, et les coordonnées restent croissantes vers le nord.

Bon courage pour la suite …[/quote]

Il faut voir avec l’auteur de cette ligne : /articles/diff/427764/fr/42/41 a priori c’est Kryst@f. tu peux lui faire un petit mail ou mp.

Je rappel que l’article est collaboratif :slight_smile: