Liste des sorties proposées:

Circuit du bois d'Annelle

• Massif : Mercantour
• Activité : Randonnée
• Durée : 4h
• Dénivelé : + 630 m / - 630 m
• Difficulté : moyen
• Infos TC: Rando bus ligne 740. Départ de Nice Vauban à 7h15, arivée à Saint-Etienne-de-Tinée vers 9h10. Pour le retour, départ du bus à 17h, arrivée à Nice Vauban vers 19h.

Depuis le collège J. Franco et le clocher de l’ancien Couvent des Trinitaires, on emprunte le tracé du GR5 pour s’élever dans les campagnes ensoleillées du quartier d’Ublan. On progressera parmi la végétation abondante et variée vers le col d’Anelle avant de découvrir l’univers frais du Bois d’Anelle. Après la boucle dans le bois on retrouve la balise 81 avant le retour vers le village.

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Circuit de Sélasse

• Massif : Mercantour
• Activité : Randonnée
• Durée : 4h30
• Dénivelé : + 690 m / - 690 m
• Difficulté : moyen
• Infos TC : Rando bus ligne 740. Départ de Nice Vauban à 7h15, arrivée à Saint-Etienne-de-Tinée à 9h10. Pour le retour, départ du bus à 17h, arrivée à Nice Vauban vers 19h.

Depuis le pont St Antoine, on s’élèvera rapidement sur un sentier empierré pour dominer le village et la vallée de la Tinée. Itinéraire ombragé avec flore abondante et couvert forestier de feuillus et de résineux. Circuit intéressant avec architecture de montagne, faune variée et fraîcheur du vallon encaissé du Ténibre. La redescente du circuit s’effectue sur le versant de Fournels avec arrivée à l’ancien lavoir du Tenibre.

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Plateau de Sestrière

• Massif : Mercantour
• Activité : Randonnée
• Durée : 4h
• Dénivelé : + 510 m / - 510 m
• Difficulté : moyen
• Infos TC : Rando bus ligne 740. Départ de Nice Vauban à 7h15, arrivée à Saint-Dalmas-le-Selvage à 9h20. Pour le retour, départ du bus à 16h45, arrivée à Nice Vauban vers 19h.

Depuis la passerelle qui enjambe le torrent qui descend du vallon de Sestrière, on s’élève doucement pour dominer le village si caractéristique de St Dalmas le Selvage on progressera parmi les terrasses autrefois cultivées et coté “végétation” on pourra découvrir les pruniers sauvages avant d’entrer dans le royaume des mélèzes et des épicéas. Après le passage du pont , sur le versant à l’adret on trouvera l’alpage avec ses prairies fleuries, et ses granges traditionnelles avant d’arriver au plateau de Sestrière. La redescente peut se faire par le même itinéraire ou par la petite route qui chemine dans la forêt avant de reprendre la balise n^o51.”

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Le vallon de Giarlogue et le Bois de Ville

• Massif : Mercantour
• Activité : Randonnée
• Durée : 3h
• Dénivelé : + 572 m / - 572 m
• Difficulté : moyen
• Infos TC : Rando bus ligne 740. Départ de Nice Vauban à 7h15, arrivée à Saint-Dalmas-le-Selvage à 9h20. Pour le retour, départ du bus à 16h45, arrivée à Nice Vauban vers 19h.

Depuis le village, prendre vers l'E, jusqu'à la balise 67. À partir de cette balise, suivre la piste du vallon de Gialorgue qui remonte ce magnifique vallon de montagne. À la balise 72, prendre à gauche et quitter la piste pour franchir le torrent. S’initie alors une montée à l’ombre des résineux jusqu’à la « Maisonnette » qui offre un joli site pour faire une halte. Débute alors une jolie descente en direction du point de départ (à la balise 69b, prendre l’itinéraire de gauche), qui rejoint la piste du Col d’Anelle à la balise 69a (GR5), puis le village. Un itinéraire accessible, au cœur d’un environnement de toute beauté.

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Circuit de Roure

• Massif : Mercantour
• Activité : Randonnée
• Durée : 4h
• Dénivelé : + 630 m / - 630 m
• Difficulté : facile
• Infos TC : Rando bus ligne 740. Départ de Nice Vauban à 7h15, arrivée à Saint-Sauveur-sur-Tinée à 8h40. Pour le retour, départ du bus à 17h30, arrivée à Nice Vauban vers 19h.

Remonter la rue centrale de Saint-Sauveur (500 m) jusqu’au bout du village et suivre la petite route qui descend puis franchir la Tinée sur un ancien pont romain ; à l’angle du cimetière, prendre le chemin du milieu (GR5) qui s’élève par de nombreux lacets en coupant à plusieurs reprises la route RD.30.

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Boucle de Louch

• Massif : Mercantour
• Activité : Randonnée
• Durée : 3h
• Dénivelé : + 350 m / - 350 m
• Difficulté : facile
• Infos TC : Rando bus ligne 740. Départ de Nice Vauban à 7h15, arrivée à Isola Village à 8h55. Pour le retour, départ du bus à 17h15, arrivée à Nice Vauban vers 19h.

Depuis le village d’Isola on traversera la Tinée par le pont face au village. En rive droite de la rivière, on prendra à gauche l’ancienne piste militaire pour s’élever rapidement au-dessus du village face au grand vallon de la Guerche. On arrivera alors au plateau de Louch, hameau aux granges dispersées. Le retour se fera depuis la balise 4 par un sentier parfois chaotique qui ramène au village par de nombreux lacets. Cet itinéraire pédestre original remonte le long de la cascade. Il est jalonné de nombreux pupitres d’information sur le thème de l’eau, de la faune, de la flore, de la géomorphologie ou encore du patrimoine. Une passerelle spectaculaire perchée à plus de 100 m au-dessus du canyon permet de franchir la cascade.

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Le canal de la Châtaigneraie

• Massif : Mercantour
• Activité : Randonnée
• Durée : 3h
• Dénivelé : + 350 m / - 350 m
• Difficulté : facile
• Infos TC : Rando bus ligne 740. Départ de Nice Vauban à 7h15, arrivée à Isola Village à 8h55. Pour le retour, départ du bus à 17h15, arrivée à Nice Vauban vers 19h.

Depuis le village d’Isola, on traverse la Guerche par le pont à l’entrée du village. À partir de la balise 67, suivre l’itinéraire jalonné «Canal de la Chataigneraie ». Un sentier d’interprétation avec des énigmes longe l’ancien canal d’irrigation au cœur de la châtaigneraie. Le canal du vertige nous amène en fin de parcours vers un belvédère spectaculaire situé en pleine falaise. Ce canal taillé à même la roche est un vestige extraordinaire du travail et de la technicité des anciens.

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Lacs de Prals

• Massif : Mercantour
• Activité : Randonnée
• Durée : 4h
• Dénivelé : + 530 m / - 530 m
• Difficulté : moyen
• Infos TC : Rando bus ligne 730. Départ du Rando Bus de Nice-Vauban à 7h15, arrivée à Saint-Martin-Vésubie vers 8h50. Prendre la navette Madone de Fenestre pour vous rendre au départ. Pour le retour, prendre la navette vers Saint-Martin-Vésubie à 16h15 à la Madone de Fenestre. Départ du Rando bus vers Nice à 17h00. Arrivée à Nice-Vauban vers 18h45.

Parvenu à l’aplomb du sanctuaire de Fenestre (1 820 m), suivre le large chemin horizontal qui démarre à la balise 361 dans une belle forêt de mélèzes et d’épicéas épars. On atteint bientôt le vallon de Prals (1 823 m - bal. 362) qu’on traverse à gué ou par une passerelle sommaire. Remonter alors la rive gauche du vallon, puis la rive droite jusqu’au Plan de Prals (bal. 363, 364). Le sentier permet de gravir le déversoir et d’atteindre le vaste replat où se nichent les lacs de Prals étagés dans la prairie entre 2 260 m et 2 280 m. Monter ensuite à la toute proche baisse des Cinq Lacs (2 330 m - bal. 366), puis descendre versant opposé le vallon du Ponset par un sentier soutenu jusqu’au vallon de Fenestre (bal. 367, 359, 360), au bord duquel croissent quelques vieux mélèzes.

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Circuit du Pic de la Colmiane

• Massif : Mercantour
• Activité : Randonnée
• Durée : 2h30
• Dénivelé : + 460 m / - 460 m
• Difficulté : moyen
• Infos TC : Rando bus ligne 730. Départ du Rando Bus de Nice-Vauban à 7h15, arrivée à La Colmiane vers 9h10. Pour le retour, prendre la navette vers Saint-Martin-Vésubie à 16h15 à la Madone de Fenestre. Départ du Rando bus vers Nice à 17h00. Arrivée à Nice-Vauban vers 18h45.

Depuis le parking de La Colmiane prendre la large piste à côté de l’Office de Tourisme (1500 m – bal. 93), qui mène au Col du Suc
(1581 m – bal. 312a) poursuivre en direction de la cime de Colmiane, arrivée au point coté 1740. Cette piste descend sur le village de Venanson, on la quitte par la gauche pour rejoindre la Cime de Colmiane (1800 m – bal. 311) afin de profiter de la vue panoramique. Passer devant l’oratoire Notre-Dame des Colmianes jusqu’au col de Colmiane (1641 m –bal. 312) puis rejoindre le sommet du Conquet (1776 m – bal. 313) par un sentier versant S et longer la crête jusqu’à la balise 314.

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Baus de la Frema

• Massif : Mercantour
• Activité : Randonnée
• Durée : 4h30
• Dénivelé : + 750 m / - 750 m
• Difficulté : assez difficile
• Infos TC : Rando bus ligne 730. Départ du Rando Bus de Nice-Vauban à 7h15, arrivée à La Colmiane vers 9h10. Pour le retour, départ du rando vers 16h40, arrivée à Nice-Vauban vers 18h45.

Depuis le parking de La Colmiane (1500 m - bal. 91) prendre la route de la via ferrata. Après le premier lacet vous trouvez la balise (bal. 91a) prendre à droite le sentier en direction de la balise 91b puis continuer à droite sur le sentier en direction de la balise (bal. 89) qui s’élève en lacets vers les alpages jusqu’au Petit Collet (bal. 90). Gagner rapidement le sommet rocheux du Baus de la Frema (2246 m). Retour par le même itinéraire.

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Le lac Autier

• Massif : Mercantour
• Activité : Randonnée
• Durée : 4h30
• Dénivelé : + 610 m / 610 m
• Difficulté : assez difficile
• Infos TC : Rando bus ligne 730. Départ du Rando Bus de Nice-Vauban à 7h15, arrivée à Corniglion Molinier vers 8h35. Prendre la navette Gordolasque/Merveilles pour vous rendre au départ. Pour le retour, prendre la navette pour Corniglion Molinier vers 16h. Départ du rando bus vers Nice à 17h15, arrivée à Nice-Vauban vers 18h45.

Depuis le Pont du Countet, remonter le torrent par le sentier à plat qui longe sa rive droite. À la balise 413, prendre à droite et descendre pour traverser le torrent puis remonter par une série de marches jusqu'à l'ancienne route (plate-forme d'atterrissage pour hélicoptères). On remarquera la magnifique vue sur la Cascade de l’Estrech. À la balise 414, le sentier, bien tracé et balisé monte en zigzag avec une pente régulière en direction du remarquable Lac Autier.

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Circuit de Trecolpas

• Massif : Mercantour
• Activité : Randonnée
• Durée : 4h
• Dénivelé : + 500 m / - 500 m
• Difficulté : moyen
• Infos TC : Départ du Rando Bus Ligne 730 de Nice-Vauban à 7h15, arrivée à Saint-Martin-Vésubie vers 8h50. Prendre la navette Boréon Salèse pour vous rendre au départ. Pour le retour, prendre la navette vers Saint-Martin-Vésubie à 16h15 au parking supérieur du Boréon. Départ du Rando Bus vers Nice à 17h00. Arrivée à Nice-Vauban vers 18h45.

Du parking supérieur du Boréon (1 670 m - bal. 420), prendre le large chemin qui remonte la rive gauche orographique du vallon. Laisser bientôt à droite le sentier de la Maïris (bal. 421), puis après l’entrée dans le Parc National, continuer vers le chalet Vidron (bal. 422) et le pont de Peïrastrèche (1 838 m – bal. 423). Poursuivre l’ascension régulière dans le mélézin clairsemé en laissant à gauche le vallon de Sangué et le sentier des lacs Bessons (bal. 424) pour atteindre facilement le Gias de Peïrastrèche (1 936 m - bal. 425). Un ressaut plus raide avec un sentier parfois hésitant mène au refuge de Cougourde (2 100 m). Traverser ensuite le torrent (bal. 426) issu du lac des Sagnes et par un sentier en balcon légèrement descendant, puis ascendant, rejoindre le déversoir du lac de Trécolpas (bal. 427). Au retour, suivre le tracé du GR52 (bal. 427) qui plonge par de nombreux lacets sur le vallon du Boréon; franchir celui-ci sur une passerelle (bal. 425) et reprendre l’itinéraire suivi à la montée.

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Lac Nègre, Pas du Préfouns

• Massif : Mercantour
• Activité : Randonnée
• Durée : 4h
• Dénivelé : + 720 m / - 720 m
• Difficulté : difficile
• Infos TC : Départ du Rando Bus Ligne 730 de Nice-Vauban à 7h15, arrivée à Saint-Martin-Vésubie vers 8h50. Prendre la navette Boréon Salèse pour vous rendre au départ. Pour le retour, prendre la navette vers Saint-Martin-Vésubie à 16h au parking de Salèse. Départ du Rando Bus vers Nice à 17h00. Arrivée à Nice-Vauban vers 18h45.

Du parking de Salèse (1 670 m - bal. 434), suivre le tracé du GR52 qui passe aux abords de l’ancienne vacherie de Salèse (1 724 m), longe deux lacets de la route et continue à travers mélèzes et arolles. Après avoir dépassé la source de Chardole (1 924 m) et frôlé un lacet de la piste de Mollières, rejoindre cette dernière (bal. 435) avant de l’utiliser brièvement jusqu’au col de Salèse (2 031 m – bal. 436). Du col, descendre 400 m environ sur la piste, puis prendre à droite (bal. 268) le confortable chemin muletier du lac Nègre qui s’élève tranquillement jusqu’au pied du déversoir (bal. 269, 270). Un court ressaut assez raide donne accès au lac (2 354 m) avec en fond le Pas du Préfouns (2 615 m), frontière avec l’Italie et variante possible pour compléter la randonnée (compter 1h30 aller-retour depuis le lac). Descente par le même itinéraire avec une brève remontée sous le col de Salèse.

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Circuit des Adus

• Massif : Mercantour
• Activité : Randonnée
• Durée : 5h
• Dénivelé : + 700 m / - 700 m
• Difficulté : difficile
• Infos TC : Départ du Rando Bus Ligne 730 de Nice-Vauban à 7h15, arrivée à Saint-Martin-Vésubie vers 8h50. Prendre la navette Boréon Salèse pour vous rendre au départ. Pour le retour, prendre la navette vers Saint-Martin-Vésubie à 16h au parking de Salèse. Départ du Rando Bus vers Nice à 17h00. Arrivée à Nice-Vauban vers 18h45.

Du parking de Salèse (1 670 m - bal. 434), suivre le tracé du GR52 jusqu’au col de Salèse (2 031 m - bal. 435, 436). Bifurquer à gauche et remonter (W, puis S) le petit sentier qui flirte avec le bord de la crête étroite dominant les vallons de Salèse et de Mollières. Continuer dans un paysage de pelouses et de clapiers jusqu’à la balise 437, longer la base de la face E du Caïre Archas et gagner de niveau le col de la Vallette des Adus (2 356 m - bal. 394). Redescendre sur le même versant, mais en direction NE vers le petit lac des Adus (2 130 m), entouré de mélèzes. Rallier la crête des Petits Adus (bal. 395, 396), passer au refuge privé, puis amorcer la descente par le sentier dit "des chasseurs". On rejoint ainsi par un tracé à la déclivité régulière le vallon de Salèse (bal. 397) et le parking de départ (bal. 434).

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Circuit de Fenestre

• Massif : Mercantour
• Activité : Randonnée
• Durée : 4h
• Dénivelé : + 660 m / 660 m
• Difficulté : difficile
• Infos TC : Départ du Rando Bus Ligne 730 de Nice-Vauban à 7h15, arrivée à Saint-Martin-Vésubie vers 8h50. Prendre la navette vers Madone de Fenestre pour vous rendre au départ. Pour le retour, prendre la navette vers Saint-Martin-Vésubie à 16h15 pour vous rendre à la Madone de Fenestre. Départ du Rando Bus vers Nice à 17h00. Arrivée à Nice-Vauban vers 18h45.

Du sanctuaire de Fenestre (1 903 m - bal. 357), suivre le large chemin militaire (GR52) qui déroule ses placides lacets sur les flancs de l’Agnellière. Quitter bientôt le tracé du GR52 qui mène au Pas des Ladres (bal. 368) et continuer à droite toujours sur un excellent chemin, jusqu’au petit lac de Fenestre (2 266 m). Continuer l’ascension plein N par un sentier en lacets qui passe à proximité de blockhaus où s’abritent volontiers les jeunes bouquetins. Après une bifurcation (bal. 369), on atteint le col panoramique de Fenestre (2 474 m) souvent garni de névés jusqu’en milieu d’été sur son versant italien. Redescendre jusqu’à la balise 369, puis bifurquer à droite pour suivre tantôt en descente, tantôt en montée, le large chemin dallé qui rejoint en encorbellement le Pas des Ladres (2 448 m - bal. 428). Descendre alors par le tracé assez rapide et très sinueux du GR 52 qui ramène à la Madone de Fenestre via la balise 368.

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Tête du Garnier

• Massif : Mercantour
• Activité : Randonnée
• Durée : 4h
• Dénivelé : + 490 m / - 490 m
• Difficulté : moyen
• Infos TC : Départ du Rando Bus Ligne 770 de Nice-Vauban à 7h15, arrivée à Beuil vers 9h15. Pour le retour, départ du Rando Bus vers Nice à 17h10. Arrivée à Nice-Gare SNCF Thiers vers 19h05.

De la sortie du village de Beuil (1 442 m - bal. 31), s’élever par un sentier jusqu’au hameau du Clot.

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Mont Mounier

• Massif : Mercantour
• Activité : Randonnée
• Durée : 6h
• Dénivelé : + 1100 m / - 1100 m
• Difficulté : Très difficile
• Infos TC : Départ du Rando Bus Ligne LR770E de la gare SNCF de Nice à 7h15, arrivée à Valberg - Péone station vers 9h20. Pour le retour, départ du Rando Bus vers Nice à 17h00. Arrivée à Nice Vauban vers 19h15.
  Les horaires de la ligne LR770E

Du parking du col de l’Espaul (1 748 m – bal. 7), suivre la piste de la Colle sur 1 km jusqu'à la balise 8.

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Sentier planétaire

• Massif : Mercantour
• Activité : Randonnée
• Durée : 5h
• Dénivelé : + 300 m / - 300 m
• Difficulté : facile
• Infos TC : Départ du Rando Bus Ligne 770 de Nice-Vauban à 7h15, arrivée à Valberg vers 9h20. Pour le retour, départ du Rando Bus vers Nice à 17h00. Arrivée à Nice Vauban vers 19h15.

De la place de Valberg, rejoindre le pré du Garibeuil (1 680 m - bal. 9), point de départ du sentier planétaire.

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Traversée de Sospel à la Turbie par le col du Farguet, le col de la Madone et la Cime des Cabanelles

• Massif : Mercantour
• Activité : VTT
• Durée : journée
• Dénivelé : + 1650 mètres
• Distance parcourue : 50 kilomètres
• Itinéraire suivi : La Turbie > La Trinité Victor (Gare) > Sospel (par le train) > Pas de l'Agrée > Col du Farguet > Pas d'Ongrand > Col de la Madone > Cime des Cabanelles > La Turbie par le Flanc W
• Infos TC : Ligne TER n°05 --> Nice - Breil - Cuneo avec un arrêt à Sospel.

Départ de la gare SNCF de la Trinité Victor. La durée de voyage jusqu'à Sospel est de 35 minutes.Depuis Sospel, la première grosse montée se profile, mais la piste du Pas de l'Agréé est parfaite pour grimper régulièrement. Arrivés au Pas de l'Agréé, prendre la direction du Col de Braus et celui du Farguet. Au Col du Farguet, plusieurs possibilités d'itinéraire pour descendre. À titre d'information,la descente la plus directe est la plus technique, surtout quand le sol est bien trempé avec un sentier à la fois cassant et glissant. Bref passage à la chapelle St Siméon pour y déjeuner, puis enchaînement par la suite de la descente. Pense ensuite la remontée à la Cime des Cabanelles depuis le Pas d'Ongrand. Une fois le Col de la Madone atteint pousser jusqu'à la cime des Cabanelles pour finir en beauté par du très connu. Puis amorcer la descente pour finir.

Fort de La Revère

Une idée de balade à pied et en train pour observer les oiseaux au Fort de la Revère.

• Activité : randonnée pédestre
• Durée : 3h
• Dénivelé : + 350 m
• Distance parcourue : 3.7km

Carte IGN: "Nice-Menton" Côte d'Azur TOP 25 n° 3742 OT
**
Informations TC: **Train jusqu'à la gare SNCF d'Eze (depuis Nice ou autre)

Description: De la gare d'Eze, un sentier vous attend pour atteindre le fort; il est agréable, bien dessiné, avec des pavets en pierre à certains endroits, car ancien, et longeant des murs en pierre. Au fur et à mesure de la montée, la pente est assez raide, vous apercevez en dessous une mer d'un bleu intense, ainsi que les rades de Villefranche et Beaulieu.
Le charme de ce sentier avait déjà été apprécié par le philosophe Nietzche, car à l'arrivée au village d'Eze, se trouve une plaque où est gravée une phrase de ce dernier indiquant le plaisir de l'avoir emprunté.
Pour atteindre le fort, au-dessus d'Eze, le sentier est toujours agréable, car la vue y est très belle, le randonneur dominant l'église et le château d'Eze sur fond de mer.
Près du fort, belle vue sur le Mercantour et la mer, des amis les oiseux vous feront découvrir en automne la migration.
**
Remarques: **Une seule fausse note, à 800 m sous le fort, côté N passe l'autoroute et ses camions vers l'Italie.

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• Le picto 'autoroute' permet de sélectionner un itinéraire parmi ceux que vous avez coché pour une utilisation hors ligne.
• Le picto 'localisation' permet d'enregistrer un point de passage au cours de votre périple (cf. section 'Ajouter un point de passage').
• Le picto 'photo' permet de prendre une photo et de l'associer ultérieurement à votre sortie (cf. section 'Associer une photo à votre sortie')

En cliquant sur 'Voir la carte', un picto vous localise sur la carte, affiche la trace en cours, la trace de l'itinéraire sélectionné (s'il en possède une), ainsi que les points de passage de l'itinéraire. Il est conseiller d'avoir ouvert les itinéraires lorsque vous avez une bonne connexion (e.g; WiFi, 4G) pour que l'application charge le fond de carte dans le téléphone.

Ajout d'un point de passage

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Créer votre sortie/point de passage/itinéraire à partir de votre enregistrement

Après avoir arrêter l'enregistrement, l'application vous demande alors si vous souhaitez créer une sortie, un point de passage ou un itinéraire. Par exemple, en cliquant sur 'sortie', l'application ouvre le formulaire de création d'une sortie (le même que sur le site classique) en pré-remplissant les informations extraites de l'enregistrement de la trace (horaire de démarrage, distance, dénivelé, trace GPS, itinéraire (s'il a été choisi auparavant, sinon il faut l'associer(idem site classique))). Une fois vos informations saisies, il y a 2 modes d'enregistrement:

• carnet de notes (picto 'carré avec une flèche vers le bas'): cette option permet de sauvegarder les informations de votre sortie pour les modifier ultérieurement ou si vous n'avez pas de connexion pour transférer votre sortie. Il est recommandé d'utiliser ce mode pour ne pas perdre vos informations. Cf. section 'Comment utiliser le carnet de notes'.
• téléchargement direct sur le site (picto 'nuage avec une flèche vers le haut'): transfère directement votre sortie sur le site classique. Il est indispensable d'avoir une connexion au réseau (3Gg ou WiFi).
  ( cf. Enregistrer une trace)

Le mode de fonctionnement est identique pour les points de passage et les itinéraires.

Comment utiliser le carnet de notes

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Le carnet de notes permet de stocker les documents que vous avez créés (sorties, itinéraires, points de passages) pour les modifier ultérieurement et/ou les télécharger sur le site lorsque vous avez une connexion réseau (e.g. au retour d'une sortie en montagne).

Pour ouvrir un document dans le carnet de notes, il faut cliquer sur le type de document (sortie, point de passage ou itinéraire), puis sélectionner celui qui vous intéresse. Cela ouvre le formulaire d'édition et vous donne l'opportunité de modifier/compléter votre saisie. Vous pouvez alors mémoriser votre modification dans le carnet de notes en cliquant sur le bouton en bas à gauche (picto avec une flèche vers le bas), ou alors transférer votre document sur le site en 'cliquant sur nuage' (picto avec une flèche vers le haut).
Si vous transférez une sortie, l'application vous permettra de sélectionner des photos que vous voulez associer à votre sortie.

Bien configurer le GPS

Menu général >> Options >> Options du GPS
Les réglages du gps dépendent de vos besoins. Si votre objectif est d'avoir une trace la plus précise possible indépendamment de l'utilisation de la batterie, les paramètres ne seront pas les mêmes que si vous désirez avoir une trace moins précise mais qui économisera la batterie.

Concrètement moins le seuil de précision et la fréquence d'enregistrement sera basse, plus l'application consommera de batterie.

Exemple de paramètre pour une trace optimale:
seuil de précision: 0
distance entre 2 points: 25
fréquence d'enregistrement: 20

Exemple de paramètre pour économiser la batterie:

Seuil de précision: 100
distance entre 2 points: 100
fréquence d'enregistrement: 300

Vider le cache

Menu général >> Options >> Options générales
L'application enregistre un nombre important d'information dans votre téléphone, notamment avec la mise en cache (a.k.a mémoire) des cartes lorsque vous les consultez.
Si vous désirez effacer ces données pour redonner de la mémoire à votre téléphone, il faut vous rendre dans les options puis dans "Options générale" et enfin appuyer sur le bouton "VIDER".
Le cache sera alors immédiatement effacé.

Signaler un problème ou faire une suggestion

Pour rapporter un bug, un défaut ou pour faire une suggestion, utilisez le forum Appli Mobile.

La Slackline a gagné en popularité ces dernières années. Initialement mise au point par les grimpeurs dans la vallée du Yosemite, il existe quatre disciplines principales : la longline (longues slacklines), la trickline (sauts, tricks et figures en tout genre), la waterline (au-dessus de l'eau) et enfin la highline (une slackline tendue en hauteur nécessitant un système d'assurage). Les highlines sont souvent installées dans un environnement de montagne.

Topos slackline / highline

Les topos de slackline sont disponibles dans l'onglet "Itinéraires" de la catégorie topoguide : Topos de slackline
En utilisant les filtres, vous pouvez sélectionner le type de topos que vous recherchez (Highline / Waterline / Longline) et également filtrer les topos par longueur.

Ajouter un nouveau topo

Vous avez ouvert une nouvelle ligne et souhaitez partager le topo avec le reste de la communauté ? Cool !

Dans la catégorie topoguide de Camptocamp, les topos de slackline sont représentés comme des itinéraires. Chaque itinéraire doit être liée à un point de passage. Ça peut par exemple, être un sommet, un lac, un point d'accès ou un spot de slackline. Donc, avant de créer un nouveau topo de slackline, vous devrez choisir un point de passage.

Choisir un point de passage

• Trouver un point de passage existant : Ouvrez la page points de passages dans "topoguides" et vérifiez si un point de passage n'existe pas déjà à l'emplacement de votre ligne. Ouvrez la page de détail du point de passage.
• Créer un nouveau point de passage : si vous ne trouvez pas de point de passage existant, créez en un nouveau.

Sur la page de détail du point de passage existant ou de votre nouveau point de passage, faites défiler jusqu'à la section Itinéraires associés et cliquez sur Ajouter un nouvel itinéraire.

Créer un itinéraire (topo)

L'outil de création d'itinéraires est divisé en 3 onglets : Itinéraire & Associations, Données et Commentaires.

Itinéraire & Associations

• Titre : Écrivez ici le nom que vous avez donné à votre ligne. Comment avez-vous envie de l'appeler ?
• Langue : Un topo de slackline peut être traduit dans plusieurs langues.
• Trace : Si c'est possible, dessinez la ligne sur la carte pour en montrer la position exacte. Changer le type de carte peut aider à mieux y voir (par exemple, essayez Bing).

Données

• Activités : Selectionnez Slackline/Highline.
• Longueur : La longueur de votre ligne. Aujourd'hui l'unité est le km, saisir 0,025 pour une ligne de 25 m. A la consultation, il est affiché "0 km" (arrondi au km le plus proche). C'est un défaut qui sera corrigé.
• Hauteur : Si c'est une highline, sa hauteur maximale par rapport au sol.
• Type : Highline, waterline ou slackline.

Commentaires

• Résumé: Une petite description simple de la ligne.
• Description: Ou se trouve la ligne ? Comment y accéder ? Des conseils et astuces pour l'installation ? Ou pour le passage de la ligne ?
• Ancrage 1 / Ancrage 2: Description des ancrages. Comment accéder aux ancrages ? À quoi ressemblent-ils ? Arbre, IPN, goujons à expansion, à scellement chimique ?
• Remarques: Toute remarque à faire concernant le spot ou la ligne.
• Historique de l'itinéraire: Qui a ouvert la ligne ? Quand ? Qui a été le/la premier/ère à la traverser ?
• Matériel spécifique: Du matériel spécifique requis pour l'installation ? (Par exemple, faut-il apporter les plaquettes ?)
• Ressources externes: Des liens vers des photos/vidéo ou topo annexe que vous voulez partager ?

Quand vous éditez un topo, le bouton Prévisualiser est très partique. Une fois le topo créé, vous pouvez le compléter en téléchargeant des photos.

Nous étions 4, nous avons loué un camping-car à Tromso, du 12 au 24 avril 2017

Voici les 4 sommets réalisés sur l'île de Kvaloya
- Buren (802 m)
- Store Hollendaren (1017 m) (avec glacier)
- Skitntinden (1042 m)
- Lille Blamannen (844 m)

Voici les 6 sommets réalisés dans les Alpes de Lyngen
- Kavringtinden (1289 m)
- Storgalten (1219 m)
- Russelvfjellet (794 m)
- Tafeltinden (1395 m) (avec glacier)
- Daltinden (1533 m)
- Svartnestinden (1214 m)

Tous ses sommets permettent d'avoir de superbes vues notamment sur les fjords et de faire du très bon ski si les conditions de neige sont là !!

Si vous voulez en voir plus en photos et vidéos et connaitre les avantages et inconvénients du camping-car, l'article détaillé sur mon blog pourra vous aider : http://lespiedssurterre.blog/fr/2017/05/01/ski-randonnee-camping-car-les-alpes-de-lyngen/

Les Lory sont dessinateurs, peintres, graveurs et aquarellistes et illustrent des récits de voyages comme :

Le "Voyage pittoresque de Genève à Milan, par le Simplon" - 1811, texte de Jean Frédéric d'Ostervald (1773-1850) , illustré par G. Lory père, fils et Maximilien de Meuron (1785-1868)

"Picturesque tour through the Oberland in the canton of Berne, in Switzerland".- 1823, , illustré par G. Lory fils

Simon Daniel Lafond 1763-1831 est un graveur Bernois. Ses œuvres représentent des paysages de nature et de montagne ou des scènes rurales.

En 1842, Maximilien de Meuron fonde la Société des Amis des Arts de Neuchâtel. Les tableaux qu'il donne en 1816 fondent la collection du musée d'art et d'histoire de Neuchâtel.

Albanis Beaumont est né Savoyard en 1753, à Chambéry. Il étudie pendant 4 ans à Paris puis se déplace en Bourbonnais.
Revenu en 1775 en Savoye, il passe au service de Victor-Amédée III. Il participe à des travaux d'infrastructure du comté de Nice.
Le 30 avril 1780, Il est inscrit comme architecte civil de l'Université de Turin.

Il voyage avec le duc de Gloucester, William Frederick de Hanovre, dans son Tour d'Europe (Allemagne, Italie, France et Suisse). Il est chargé ensuite de l'éducation des enfants du Duc. Il s'installe alors en Grande-Bretagne et épouse une anglaise protestante.

En 1796, il retourne en Savoye et s'installe en 1798 à Thônex près de Genève. En 1810, il meurt à Sixt dans le monastère qu'il a acquis.

Jean-François Albanis Beaumont illustre lui-même ses ouvrages de voyage:

Voyage pittoresque aux Alpes pennines : (1787) sur la région du Mont Blanc et du Grand-Saint-Bernard.
Voyage historique et pittoresque au Comté de Nice : (1787).
Voyages à travers les Alpes rhétiques en 1786 : (Travels through the Rhaetian Alps in the year 1786) .Voyage de Venise au Tyrol.
Vues sélectionnées des antiquités et des ports du Sud de la France : (Select Views of the Antiquities and Harbours in the South of France).
Voyages à travers les Alpes maritimes : (Travels through the Maritime Alps), à partir des notes prises lors d'un voyage depuis Nice jusqu'à Lyon.
Voyages dans les Alpes Lépontine depuis la France vers l'Italie : (Travels through the Lepontine Alps, from France to Italy) (1800).
https://www2.unil.ch/viatimages/index.php?module=search&projet=viaticalpes#/ouvrage-99
Description des Alpes graies et cotiennes : (1802 et 1806) sur les régions du Petit-Saint-Bernard à l'Iseran, et du Mont-Cenis au Viso.

Liens externes :
http://www.hls-dhs-dss.ch/textes/f/F41442.php
https://fr.wikipedia.org/wiki/Albanis_Beaumont

Marc-Théodore Bourrit illustre les Voyages dans les Alpes d'Horace-Bénédict de Saussure en 1786.

Il illustre également ses propres volumes:

Description des glacières, glaciers et amas de glace du Duché de Savoye, 1773
https://www2.unil.ch/viatimages/index.php?lang=de&projet=viaticalpes&#/ouvrage-107
Description des Alpes pennines et rhétiennes, 2 vols, 1781
https://www2.unil.ch/viatimages/index.php?lang=de&projet=viaticalpes&#/ouvrage-183
Nouvelle description des glacières, vallées de glace et glaciers qui forment la grande chaîne des Alpes de Suisse, d'Italie et de Savoye, Genève, Barde, 1785
https://www2.unil.ch/viatimages/index.php?lang=de&projet=viaticalpes&#/ouvrage-124
Itinéraire de Genève, Lausanne et Chamouni, 1791
Descriptions des cols ou passages des Alpes, 2 vols, 1803
https://www2.unil.ch/viatimages/index.php?lang=de&projet=viaticalpes&#/ouvrage-117

Marc-Théodore Bourrit voyage dans les Alpes:

En 1761 il monte au sommet des Voirons
Dès 1766, il va à Chamonix et y retourne souvent.
En 1775, il fait l'ascension du mont Buet (3 096 m) par Vallorcine, où il dessine un panorama circulaire.
De 1775 à 1787, il tente l'ascension du mont Blanc, mais n'a jamais la chance d'aller au sommet.
En 1787, il fait la traversée du col du Géant après Charles-François Exchaquet et après Jean-Michel Cachat avec Jean-Michel Tournier.
En 1795, il surveille la construction de l'hospice de Montenvers, subventionné par la France.

Cet article s'inscrit dans le cadre de l'article sur l'évolution des glaciers alpins.

Il s'agit de s'intéresser au glacier des Étançons en face S de la Meije.

Cet article s'inscrit dans le cadre de l'article sur l'évolution des glaciers alpins.

Il s'agit de s'intéresser aux glaciers de la face N de la Meije, à savoir le glacier du Tabuchet, le glacier de la Meije et le glacier du Râteau.

EDWARD WHYMPER (In memoriam par T.G. Bonney, extrait du Alpine journal de 1912)

Edward Whymper, born April 27, 1840, was the son of Josiah W. Whymper by his first wife, Elizabeth Daridge. His father, the son of an Ipswich brewer, was himself of an artistic temperament. He walked up to London with the traditional few shillings in his pocket, made an improvident marriage and became the father of eleven children. But his talent overcame all obstacles and justified his choice of a career. He made a name both as an etcher-engraver and as an original artist, and died a Member of the Royal Society of Painters in Water-Colours, leaving behind him a well-established business for the production of book illustrations. Among his pupils were Frederick Walker, A.RA., and Keene — one of the finest draughtamen of his time well known afterwards from his contributions to Punch

Edward Whymper, né le 27 avril 1840, est le fils de Josiah W. Whymper et de sa première épouse, Elizabeth Daridge. Son père, fils d'un brasseur d'Ipswich, était lui-même d'un tempérament artistique. Il se rendit à Londres avec les quelques shillings traditionnels en poche, fit un mariage improbable et devint le père de onze enfants. Mais son talent a surmonté tous les obstacles et justifié son choix de carrière. Il s'est fait un nom à la fois en tant que graveur à l'eau-forte et en tant qu'artiste original, et il est mort membre de la Royal Society of Painters in Water-Colours, laissant derrière lui une entreprise bien établie pour la production d'illustrations de livres. Parmi ses élèves figuraient Frederick Walker, A.RA., et Keene - l'un des meilleurs dessinateurs de son époque bien connu par la suite grâce à ses contributions à Punch

Edward was the second born in this large family. He was privately educated. While still a youth he entered his father's business in Lambeth and in time succeeded to its control. For many years he maintained its reputation for the production of the highest class of book illustrations until towards the close of the last century the improvement in cheap photographic processes destroyed the demande for such work. His hand may be recognised in many books of travel between 1865 and 1895 ; among his more important productions may be mentioned Wolf's * Wild Animals,* and * Picturesque Europe.' He superintended for a short time the artistic branch of Messrs. Cassell's business as publishers.

Edward est le deuxième né de cette famille nombreuse. Il a reçu une éducation privée. Alors qu'il était encore jeune, il est entré dans l'entreprise de son père à Lambeth et a fini par en prendre le contrôle. Pendant de nombreuses années, il a maintenu la réputation de l'entreprise pour la production d'illustrations de livres de la plus haute qualité, jusqu'à ce que, vers la fin du siècle dernier, l'amélioration des procédés photographiques bon marché réduise à néant la demande pour ce type de travail. On peut reconnaître sa main dans de nombreux livres de voyage entre 1865 et 1895 ; parmi ses productions les plus importantes, on peut citer Wolf's Wild Animals, et Picturesque Europe. Il a supervisé pendant une courte période la branche artistique de l'activité d'éditeur de MM.

Edward, although he seldom exhibited, was, like his father, a water-colour artist of considerable ability, and it was to this gift that he owed a commission that proved a tuning point in his life. In 1860 William Longman, afterwards President of the Alpine Club a member of the firm of publishers — needed illustrations of the then little-known mountains of Dauphine for the second series of ' Peaks, Passes, and Glaciers, and young Whymper was sent out to make drawings for this purpose. He states (' Alpine Journal,' vol. v. p. 161) that he saw in the chance of going to the Alps a step towards training himself for employment in Arctic exploration, an object of his early ambition. In the following year he proved his ability as a mountaineer Climbing Mt. Pelvoux (' Peaks, Passes, and Glaciers, 2^d Series). • In seasons of 1862-65 by a series of brilliant climbs on peaks and passes he made himself one of the leading figures in the onquest of the Alps. In 1804 he took part in the first ascents of the highest mountain in Dauphine, the Pointe des Écrins, and of several peaks in the chain of Mont Blanc. In 1865 he climbed the W. peak of the Grandes Jorasses and the Aiguille Verte.

Edward, bien qu'il ait rarement exposé, était, comme son père, un aquarelliste très doué, et c'est à ce don qu'il doit une commande qui a marqué un tournant dans sa vie. En 1860, William Longman, futur président du Club Alpin et membre de la maison d'édition, avait besoin d'illustrations des montagnes du Dauphiné, alors peu connues, pour la deuxième série de "Peaks, Passes, and Glaciers "*, et le jeune Whymper fut envoyé pour faire des dessins dans ce but. Il déclare ("Alpine Journal", vol. v. p. 161) qu'il voyait dans la possibilité d'aller dans les Alpes un pas vers la formation d'un emploi dans l'exploration de l'Arctique, objet de ses premières ambitions. L'année suivante, il prouva ses capacités d'alpiniste en escaladant le mont Pelvoux ("Peaks, Passes, and Glaciers", 2^e série). - Au cours des saisons 1862-65, par une série d'ascensions brillantes de pics et de cols, il s'est imposé comme l'une des figures de proue de la conquête des Alpes. En 1804, il participe à la première ascension de la plus haute montagne du Dauphiné, la Pointe des Écrins, et de plusieurs sommets de la chaîne du Mont Blanc. En 1865, il gravit le sommet W des Grandes Jorasses et l'Aiguille Verte.

Whymper's fixed ambition, however, during this period, was to conquer the reputedly inaccessible Matterhom. In this he had formidable rivals in Prof. Tyndall and the famous Italian guides, the Carrels of Val Tournanche. He made no fewer than seven attempts on the mountain from the Italian side, which were all foiled by the continuous difficulties of the climb, or by bad weather. In one of these, while climbing alone he met withi a serious accident. At last the plan of trying the Zermatt ridge was adopted and succees was gained at the first attempt. The details of the tragiq sequel are well known. The party, from no fault of Whymper's, was too large and ill-Constituted for such an adventure. The youngest member of it, a lad inexperienced in rock-cimbing, fell on the descent and dragged over with him three of his companiona, among them the famous guide Michel Croz. The rope broke and Whymper was left with the two Taugwalders clinging to the mountain side, while his compamons disappeared from sight over the precipice. Investigation showed that the rope that broke was a spare piece of inferior quality. Whether it was accidentally used by the Taugwalders is a point which has never been satisfactorily cleared up, and on which Whymper himself never expressed a positive opinion.

L'ambition fixe de Whymper, cependant, pendant cette période, était de conquérir le Matterhom, réputé inaccessible. Tyndall et les célèbres guides italiens, les Carrels du Val Tournanche. Il fit pas moins de sept tentatives sur la montagne du côté italien, qui furent toutes déjouées par les difficultés constantes de l'ascension ou par le mauvais temps. Lors de l'une d'entre elles, il fut victime d'un grave accident alors qu'il grimpait seul. Finalement, le plan d'essayer l'arête de Zermatt fut adopté et le succès fut au rendez-vous dès la première tentative. Les détails de la suite tragique sont bien connus. Le groupe, sans que ce soit la faute de Whymper, était trop nombreux et mal constitué pour une telle aventure. Le plus jeune membre du groupe, un garçon inexpérimenté en escalade, tomba pendant la descente et entraîna dans sa chute trois de ses compagnons, dont le célèbre guide Michel Croz. La corde s'est rompue et Whymper s'est retrouvé avec les deux Taugwalder accrochés au flanc de la montagne, tandis que ses compagnons disparaissaient dans le précipice. L'enquête a montré que la corde qui s'est rompue était un morceau de rechange de qualité inférieure. La question de savoir si elle a été utilisée accidentellement par les Taugwalder n'a jamais été élucidée de manière satisfaisante et Whymper lui-même n'a jamais exprimé d'opinion positive à ce sujet.

This terrible catastrophe gave Whymper an European reputation in connexion with the Matterhom, which was extended and maintained by the volume in which, six years afterwards, he told the story with dramatic skill and emphasis. It terminated. however, his active career as an Alpine climber, thought he often subsequently visited the Alps and once repeated his ascent of the Matterhorn for literary purposes.

Cette terrible catastrophe donna à Whymper une réputation européenne en relation avec le Cervin, qui fut étendue et maintenue par le volume dans lequel, six ans plus tard, il raconta l'histoire avec une habileté et une emphase dramatiques. Elle mit cependant fin à sa carrière active d'alpiniste, bien qu'il se soit souvent rendu dans les Alpes par la suite et qu'il ait refait une fois l'ascension du Cervin à des fins littéraires.

In 1867 he turned his attention to Greenland with the idea of ascertaining the nature of the interior and, if possible, crossing it. A second preliminary trip in 1872 convinced him that the task was too great for his private resources. The literari and scientific results of his journey were three entertaining papers in the * Alpine Journal ' (vols, v. and vi.), a lecture to the British Association (39th Report, 1869) and a paper by Prof. Heer (' Philosophical Transactions/ 1869, p. 445) on the fossils, trees and shrubs collected. The chief practical result was to show that the interior of Greenland was a snowy plateau which could be traversed by sledges provided the start was made sufficiently early in the season, and thus to pave the way for Nansen's success in 1888.

En 1867, il se tourne vers le Groenland avec l'idée de déterminer la nature de l'intérieur et, si possible, de le traverser. Un second voyage préliminaire en 1872 le convainc que la tâche est trop importante pour ses ressources personnelles. Les résultats littéraires et scientifiques de son voyage furent trois articles divertissants dans l'"Alpine Journal" (volumes v. et vi.), une conférence à l'Association britannique (39e rapport, 1869) et un article du professeur Heer ("Philosophical Transactions" 1869, p. 445) sur les fossiles, les arbres et les arbustes collectés. Le principal résultat pratique fut de montrer que l'intérieur du Groenland était un plateau enneigé qui pouvait être traversé en traîneau à condition de partir suffisamment tôt dans la saison, ouvrant ainsi la voie au succès de Nansen en 1888.

In 1880 Whymper turned his attention to the Andes of Ecuador. At that date the still unsettled problem of the power of resistance, or adaptation, of the human frame to the atmosphere of high altitudes was being vigorously discussed. Whymper proposed as his main object to make experiments at heights abont and over 20,000 ft. The results he obtained, if they did not settle a question complicated by many physical, local and personal variations, served to advance our knowledge and have been in important respects confirmed by the experiences of Dr. Longstaff, Dr. Keilas, the Duke of the Abruzzi and others at still higher levels between 20,000 and 25,000 ft.

En 1880, Whymper s'intéressa aux Andes de l'Équateur. À cette date, le problème encore non résolu du pouvoir de résistance ou d'adaptation de l'organisme humain à l'atmosphère des hautes altitudes faisait l'objet de vives discussions. Les résultats qu'il a obtenus, s'ils n'ont pas résolu une question compliquée par de nombreuses variations physiques, locales et personnelles, ont permis de faire progresser nos connaissances et ont été confirmés, à des égards importants, par les expériences du Dr Longstaff, du Dr Keilas, du duc des Abruzzes et d'autres personnes à des niveaux encore plus élevés, entre 20.000 et 25.000 pieds.

From a climber's point of view the expedition was completely successfuI. The summits of Chimborazo, and six other mountains of between 15,000 and 20,000 ft., were reached for the first time. A night was spent on the top of Cotopaxi, and the features of that great volcano were thoroughly studied. Shortly after his return Whymper read a paper on his explorations in the Andes at a meeting of the Club which was honoured by the présence of the then Prince of Wales, Edward YII. From the wider point of view of the geographer and the general traveller Whymper brought home much valuable material which was carefully condensed and embodied in the volume published twelve years later (1892). Its value was recognised by the Council of the Royal Geographical Society, which in 1892 conferred on Whymper one of their gold medals in recognition of the fact that — apart from his mountaineering exploits — ' he had largely corrected and added to our geograpliical and physical knowledge of the mountain systems of Bonador, fixed the position of all the great Ecuadorian monntains, produced a map constructed from original theodolite observations extending over 250 miles, and ascertained seventy altitudes by means of three mercurial barometers.*

Du point de vue de l'alpiniste, l'expédition a été une réussite totale. Les sommets du Chimborazo et de six autres montagnes de 15 000 à 20 000 pieds ont été atteints pour la première fois. Une nuit fut passée au sommet du Cotopaxi, et les caractéristiques de ce grand volcan furent étudiées en détail. Peu après son retour, Whymper présenta un exposé sur ses explorations dans les Andes lors d'une réunion du Club qui fut honorée par la présence du Prince de Galles de l'époque, Edward YII. Du point de vue plus large du géographe et du voyageur en général, Whymper a rapporté beaucoup de matériel précieux qui a été soigneusement condensé et incorporé dans le volume publié douze ans plus tard (1892). Sa valeur a été reconnue par le Conseil de la Société royale de géographie qui, en 1892, a décerné à Whymper l'une de ses médailles d'or en reconnaissance du fait que, outre ses exploits d'alpiniste, "il a largement corrigé et ajouté à nos connaissances géographiques et physiques des systèmes montagneux de Bonador, fixé la position de toutes les grandes montagnes équatoriennes, produit une carte construite à partir d'observations originales au théodolite s'étendant sur plus de 250 miles, et déterminé soixante-dix altitudes au moyen de trois baromètres mercuriels*.

The Society also made a grant to the family of his leading guide J. A. Carrel of Val Tournanche, ' to mark their appreciation of the high services he had rendered to geographical science.'

For these enlorations Whymper devised the form of mountain tent, known by his name, which is still in general use with explorers. He also suggested sundry improvements in aneroïd barometers.

In 1901 and several subsequent summers, Whymper visited the Canadian Rocky Mountains, but did not make any extensive explorations or publish any account of his journeys.

La Société a également accordé une subvention à la famille de son principal guide, J. A. Carrel, du Val Tournanche, pour marquer leur reconnaissance des grands services qu'il a rendus à la science géographique.

Pour ces explorations, Whymper conçut la forme de tente de montagne, connue sous son nom, qui est toujours utilisée par les explorateurs. Il proposa également diverses améliorations aux baromètres anéroïdes.

En 1901 et au cours des étés suivants, Whymper se rendit dans les montagnes Rocheuses canadiennes, mais n'effectua pas d'explorations approfondies et ne publia pas de compte-rendu de ses voyages.

With strangers Whymper's manner was apt to be reserved and sometimes self-assertive. But amongst acquaintances and persons interested in the same topics with himself his talk was shrewd, instructive and entertaining. He was by instinct both a craftsman and an artist. With these gifts he coupled great physical endurance and intellectual patience and perseverance, qualities which he displayed both on the mountains and in his business. In everything he aimed at thoroughness, he would never, if he could help it, put up with inferior material or indifferent workmanship. To his own volumes he devoted years of careful preparation, finding his craft practically brought to an end Whymper employed his leisure mainly in compiling and keeping up to date two local handbooks to Chamonix and Zermatt. Well illustrated, and not devoted of personal and picturesque touches, these attained high popularity and passed in his lifetime through fifteen editions. In the autumn of 1911 Whymper paid his last visit to the Alps and made what was destined to be a final round of his old familiar haunts. He first stayed some time at Zermatt, where he met various old friends, and then crossed to Grindelwald and Bern, where he paid promised visits to Br. Coolidge and Dr. Diibi. From Bern he went on to Chamonix where he died suddenly on September 16th. His health had been manifestly failing for some time previously and his broken appearance in the spring had given cause for serious anxiety to his friends. He was buried in the churchyard of the English Church at Chamonix, being carried to his grave by members of the Corporation des Guides.

Avec les étrangers, Whymper a tendance à être réservé et parfois à s'affirmer. Mais entre connaissances et personnes intéressées par les mêmes sujets que lui, son discours était perspicace, instructif et divertissant. D'instinct, il était à la fois artisan et artiste. À ces dons s'ajoutaient une grande endurance physique et une patience et une persévérance intellectuelles, qualités dont il faisait preuve aussi bien en montagne que dans ses affaires. En toute chose, il visait à la perfection et ne s'accommodait jamais, s'il le pouvait, d'un matériel de qualité inférieure ou d'une exécution indifférente. Whymper a consacré des années de préparation minutieuse à ses propres volumes et a pratiquement mis fin à son activité professionnelle. Il a principalement consacré ses loisirs à la compilation et à la mise à jour de deux guides locaux sur Chamonix et Zermatt. Bien illustrés et non dépourvus de touches personnelles et pittoresques, ils atteignirent une grande popularité et connurent de son vivant quinze éditions. À l'automne 1911, Whymper effectua sa dernière visite dans les Alpes et fit ce qui était destiné à être une dernière tournée de ses vieux lieux familiers. Il séjourna d'abord quelque temps à Zermatt, où il rencontra plusieurs vieux amis, puis se rendit à Grindelwald et à Berne, où il rendit des visites promises au frère Coolidge et au docteur Diibi. De Berne, il s'est rendu à Chamonix où il est mort subitement le 16 septembre. Sa santé était manifestement chancelante depuis un certain temps et son apparence brisée au printemps avait suscité de sérieuses inquiétudes chez ses amis. Il a été enterré dans le cimetière de l'église anglaise de Chamonix, porté dans sa tombe par des membres de la Corporation des Guides.

Whymper was, as stated above, a Gold Medallist of the Royal Geographical Society ; from 1872 to 1874 he served as a Vice-President of the Alpine Club. In 1872 he was created a knight of the Italian Order of St. Maurice and St. Lazarus. He was an Honorary Member of the French Geographical Society and of most of the principal mountaineering Clubs of Europe and North America. He married iu 1906 Edith Mary Lewin, by whom he left a daughter.

Whymper était, comme indiqué plus haut, médaillé d'or de la Royal Geographical Society ; de 1872 à 1874, il a été vice-président de l'Alpine Club. En 1872, il est nommé chevalier de l'ordre italien de Saint-Maurice et Saint-Lazare. Il était membre honoraire de la Société géographique française et de la plupart des principaux clubs d'alpinisme d'Europe et d'Amérique du Nord. Il a épousé en 1906 Edith Mary Lewin, qui lui a laissé une fille.

These is a good photograph of him in his later year at the Alpine Club. His portrait also appears in several of the illustrations to his
books. ' Whymper's principal published works were :
* Scrambles amongst the Alps,' 1871 ;
' The Ascent of the Matterhorn '1880 ;
' How to use the Aneroid Barometer ' 1891 ;
* Travels amongst the Great Andes of the Equator ' 1892 ;
* Guide to Chamonix and Mont Blanc ' 1896 ;
' Guide to the Zermatt District and the Matterhorn ' 1897 ;
articles on Greenland, ' Alpine Journal ' vols. v. and vi

Il s'agit d'une bonne photographie de lui dans sa dernière année au Club Alpin. Son portrait apparaît également dans plusieurs des illustrations de ses
livres. Les principaux ouvrages publiés par Whymper sont :
* Scrambles among the Alps,' 1871 ;
L'ascension du Cervin, 1880 ;
Comment utiliser le baromètre anéroïde' 1891 ;
* Voyage dans les grandes Andes de l'équateur' 1892 ;
* Guide de Chamonix et du Mont Blanc ' 1896 ;
Guide du district de Zermatt et du Cervin ' 1897 ;
articles sur le Groenland, ' Alpine Journal ' vol. v. et vi

THE SCIENTIFIC WORK OF EDWARD WHYMPER,

F.R.S.E. AND F.R.G.S.

Though Edward Whymper, so far as I know, never received any scientific training, he made very considerahle additions to natural knowledge, which perhaps were a little thrown into the shade by his repute as a mountaineer. Thoroughness and tenacity of purpose characterised his work, whatever that might be ; he was a careful collector and a keen observer, who might be trusted not to miss anything worthy of notice. He spared no pains before a journey in making all the preparations which should contribute to its success, or after it in working out the results, so that the accounts of his travels will for long be valuable as books of référence for certain districts. These are four : the Alps, Western Greenland, the Ecuadorian Andes, and the mountains of Western Canada. By treating them separately we can the better show the nature of the work wich he accomplished in each.

Bien qu'Edward Whymper, pour autant que je sache, n'ait jamais reçu de formation scientifique, il a apporté à la connaissance de la nature des compléments très importants, qui ont peut-être été un peu relégués dans l'ombre par sa réputation d'alpiniste. La rigueur et la ténacité caractérisaient son travail, quel qu'il soit ; c'était un collectionneur soigneux et un observateur attentif, auquel on pouvait faire confiance pour ne rien manquer de ce qui méritait d'être remarqué. Il n'épargnait ni les préparatifs avant un voyage pour en assurer le succès, ni les résultats après le voyage, de sorte que les récits de ses voyages resteront longtemps des ouvrages de référence pour certaines régions. Ces régions sont au nombre de quatre : les Alpes, le Groenland occidental, les Andes équatoriennes et les montagnes du Canada occidental. En les traitant séparément, nous pouvons mieux montrer la nature du travail qu'il a accompli dans chacune d'elles.

His first published volume — * Scrambles amongst the Alps ' — at once made it clear that he was fax more than a lover of a particular type either of gymnastics or of scenery, and its third chapter affords an excellent indication of his mental characteristics. This gives a description of the ' Fell railway * which had been carried across the Mont Cenis pass to bridge over the gap in the railway from Paris to Turin, while the tunnel between Modane and Bardoneche was being made. His account of the plan, construction, and machinery could not well be more precise and clear, and will always be valuable as the history of an important episode in the progress of mountain railways. Scattered through the book are interesting notices of the habits of the people, which in the earlier days of his travels had but little changed, in some districts of the French and Italian Alps, from the end of the previous century ; together with notes on the bouquetin, the chamois, and flowers growing at high altitudes ; but he keeps most constantly in view the sculpturing action of running water and of ice. These, which are especially described in the sixth chapter, receive further illustration from his experiences in Greenland, which he had visited after his chief expeditions in the Alps, but before publishing the book. It would be difficult to find clearer or more accurate accounts of the forms resulting from the action of torrents and of glaciers, and his conclusions are adverse, not only to the lake-excavating hypothesis of Ramsay and the valley-making one of Tyndall, which at that day chiefly occupied attention, but also to the resuscitation of the last, varieties of which have rather suddenly won so many adherents among the geologists of North America and Europe, not forgetting our own islands. Whymper, reasoning from his own wide and varied experience, utterly discredits (by anticipation) the ' plucking,' * sapping,* and other digging powers now so freely claimed for glaciers, and comes to the conclusion ' that glaciers, in their life as well as after their death, either considered by themselves or in comparison with other powers, should be regarded as eminently conservative in their acts and in their intentions' ( Scramble p. 164). Besides this he paid considerable attention to the veined structure of glacier ice, the explanation of which had led to much controversy, especially between Forbes and Tyndall, and he gave another example of the thoroughness of his methods by employing men to dig a pit into the snow at the top of the Col de Valpelline. Though the results, from various causes, one being the extrême badness at the weather, were less succeasfol than he had hoped, the excavation was carried to a depth of about 22 feet and showed some interesting facts illustrative of the passage from snow to blue ice.

Le premier volume qu'il publia - "Scrambles among the Alps" - montra d'emblée qu'il n'était pas seulement un amateur d'un type particulier de gymnastique ou de paysage, et son troisième chapitre fournit une excellente indication de ses caractéristiques mentales. Il y décrit le "chemin de fer de Fell" qui a été construit au col du Mont-Cenis pour combler la lacune de la voie ferrée de Paris à Turin, pendant la construction du tunnel entre Modane et Bardoneche. Sa description du plan, de la construction et de la machinerie ne pourrait être plus précise et plus claire, et sera toujours précieuse en tant qu'histoire d'un épisode important dans le progrès des chemins de fer de montagne. Le livre est parsemé de notes intéressantes sur les habitudes des habitants, qui, au début de ses voyages, n'avaient guère changé depuis la fin du siècle précédent dans certaines régions des Alpes françaises et italiennes, ainsi que de notes sur le bouquetin, le chamois et les fleurs qui poussent à haute altitude ; mais c'est l'action sculptante de l'eau courante et de la glace qu'il garde le plus constamment à l'esprit. Celles-ci, qui sont particulièrement décrites dans le sixième chapitre, sont illustrées par ses expériences au Groenland, qu'il a visité après ses principales expéditions dans les Alpes, mais avant de publier le livre. Il serait difficile de trouver des comptes rendus plus clairs ou plus précis des formes résultant de l'action des torrents et des glaciers, et ses conclusions sont défavorables, non seulement à l'hypothèse de l'excavation des lacs de Ramsay et à celle de la création de vallées de Tyndall, qui à l'époque occupaient principalement l'attention, mais aussi à la résurrection de la dernière, dont les variétés ont assez soudainement gagné tant d'adhérents parmi les géologues d'Amérique du Nord et d'Europe, sans oublier nos propres îles. Whymper, raisonnant à partir de sa propre expérience large et variée, discrédite complètement (par anticipation) les pouvoirs d'arrachage, de sape et autres pouvoirs de creusement si librement revendiqués pour les glaciers, et arrive à la conclusion " que les glaciers, dans leur vie comme après leur mort, qu'ils soient considérés par eux-mêmes ou en comparaison avec d'autres puissances, devraient être considérés comme éminemment conservateurs dans leurs actes et dans leurs intentions " ( Scramble p. 164). En outre, il accorda une grande attention à la structure veinée de la glace des glaciers, dont l'explication avait suscité de nombreuses controverses, notamment entre Forbes et Tyndall, et il donna un autre exemple de la rigueur de ses méthodes en employant des hommes pour creuser une fosse dans la neige au sommet du col de Valpelline. Bien que les résultats, pour diverses raisons, l'une d'entre elles étant l'extrême mauvais temps, n'aient pas été à la hauteur de ses espérances, l'excavation a été menée jusqu'à une profondeur d'environ 22 pieds et a révélé quelques faits intéressants illustrant le passage de l'eau dans la neige.

He visited Greenland in 1867 and 1872. In the first of these journeys he made an attempt to discover the mysteries of the inland ice, which, however, from causes beyond his own control, met with but little success. Still it and his other studies made some interesting and important additions to his knowledge of ice action in a région where it forms a sheet instead of valley glaciers, and he made a good collection representative of the ' stone âge ' in Greenland, which only came to an end about a couple of centuries ago.
Another purpose of his jouiney was to obtain a large series of specimens of the fossil plants which occur in Disco Bay. In this he was very successful, and brought to England a collection which was afterwards described, with extracts item Whymper's * Report on the Geology/ by Professor 0. Heer in the 'Philosophical Transactions' for 1869 (vol. 159, p. 445). It contained eighty species, twenty-five of which were new.

Il s'est rendu au Groenland en 1867 et en 1872. Lors du premier de ces voyages, il tenta de découvrir les mystères de la glace intérieure, mais, pour des raisons indépendantes de sa volonté, il n'obtint que peu de succès. Néanmoins, ce voyage et ses autres études ont apporté des ajouts intéressants et importants à sa connaissance de l'action de la glace dans une région où elle forme une nappe au lieu de glaciers de vallée, et il a fait une bonne collection représentative de l'"âge de pierre" au Groenland, qui n'a pris fin qu'il y a environ deux siècles.
Un autre objectif de son voyage était d'obtenir une grande série de spécimens de plantes fossiles présentes dans la baie de Disco. Il y parvint avec succès et rapporta en Angleterre une collection qui fut ensuite décrite, avec des extraits du rapport de Whymper sur la géologie, par le professeur 0. Heer dans les "Philosophical Transactions" de 1869 (vol. 159, p. 445). Elle contenait quatre-vingts espèces, dont vingt-cinq nouvelles.

But his journey in the Andes of Ecuador, which occupied several months of 1880, was his most important piece of scientific work, for which he made all possible preparations and secured the aid of Jean Antoine and Louis Carrel. Whymper's chief aim, in addition to investigating those volcanic giants, which crown the elevated plateau where Quito stands at well over 9000 feet above sea-level, was to study the effect of a much dimmished atmospheric pressure Upon the human frame (a subject on which very contradictory opinions then prevailed), to compare the values of bolling-point observations, the aneroid and the mercurial barometers, in the measurements of heights, and to collect rocks, plants, and animals from the greater altitudes. His efforts were successful. He made scientific surveys of important areas ; twelve times reached positions more than fifteen thousand feet above sea-level, gaining two summits above 17,000 feet, three above 19,000 feet, and twice ascending Chimborazo, which is well over 20,000 feet, and, like more than half the others, had not been previously climbed. He spent a night on the summit of Cotopaxi. and afterwards saw it bust into sudden eruption during his second ascent of Chimborazo, where he watched the cloud of dark dust from its crater as it drifted through the upper air till at last, while lie was seated on the summit, it came down and sullied the snow after an aerial journey of more than sixty miles. He brought back to England a number of rook specimen and volcanic dusts representative of the several mountains, which were described by the writer in five papers published in the * Proceedings of the Boyai Society ' (Noe. 229-234), together with collections of plants, insects, and other animals. To a description of these and other scientific results the supplementary volume to his ' Travels among the Great Andes of Ecuador ' (1892) is more especially devoted, but of them, important as they were, a very brief summary must suffice. Among the insects collected from the level of the sea up to 8000 feet, 16 per cent, were new to science ; of the 160 species from 8000 feet upwards, 60 per cent, were previously unknown ; all taken higher than 15,000 feet being new. Crustacea appear to be scarce, and only five representatives were obtained, all of which were previouslv known. The reptilia were represented by three species of lizards and two of snakes, only one of the former ranging up to 12,000 feet ; the amphibia by four species of frogs. He also brought a number of specimens of the fish which, according to Humboldt, was sometimes ejected from Cotopaxi, a report which Whymper gives good reason for discrediting. These specimens showed that pimelodus cydopum had figured under five or six names. His zooloizieal collections, as Mr. II. W. Bates pointed out have an important bearing on questions relating to the migration of species, and he also brought back sundiy objects of ethnological interest.

Mais son voyage dans les Andes de l'Équateur, qui a duré plusieurs mois en 1880, a été son travail scientifique le plus important, pour lequel il a fait tous les préparatifs possibles et s'est assuré l'aide de Jean Antoine et de Louis Carrel. Le but principal de Whymper, outre l'étude de ces géants volcaniques qui couronnent le plateau élevé où se trouve Quito à plus de 9000 pieds au-dessus du niveau de la mer, était d'étudier l'effet d'une pression atmosphérique beaucoup plus faible sur le corps humain (un sujet sur lequel des opinions très contradictoires prévalaient à l'époque), de comparer les valeurs des observations du point de sondage, de l'anéroïde et du baromètre mercuriel, dans la mesure des hauteurs, et de collecter des roches, des plantes et des animaux à des altitudes plus élevées. Ses efforts ont été couronnés de succès. Il effectua des relevés scientifiques dans des régions importantes ; douze fois, il atteignit des positions situées à plus de quinze mille pieds au-dessus du niveau de la mer, gagnant deux sommets au-dessus de 17 000 pieds, trois au-dessus de 19 000 pieds, et faisant deux fois l'ascension du Chimborazo, qui dépasse largement les 20 000 pieds et qui, comme plus de la moitié des autres, n'avait jamais été escaladé auparavant. Il passa une nuit au sommet du Cotopaxi et le vit ensuite entrer en éruption soudaine lors de sa seconde ascension du Chimborazo, où il observa le nuage de poussière sombre provenant de son cratère qui dérivait dans l'air supérieur jusqu'à ce qu'enfin, alors qu'il était assis au sommet, il redescende et souille la neige après un voyage aérien de plus de soixante miles. Il ramena en Angleterre un certain nombre de spécimens de corbeaux et de poussières volcaniques représentatifs des différentes montagnes, qui furent décrits par l'auteur dans cinq articles publiés dans les "Proceedings of the Boyai Society" (Noe. 229-234), ainsi que des collections de plantes, d'insectes et d'autres animaux. Le volume supplémentaire de ses "Voyages dans les grandes Andes de l'Équateur" (1892) est plus particulièrement consacré à la description de ces résultats scientifiques et d'autres, mais il suffit de les résumer très brièvement. Parmi les insectes recueillis depuis le niveau de la mer jusqu'à 8 000 pieds, 16 % étaient nouveaux pour la science ; sur les 160 espèces recueillies à partir de 8 000 pieds, 60 % étaient inconnues auparavant ; toutes les espèces prises à plus de 15 000 pieds étaient nouvelles. Les crustacés semblent être rares, et seuls cinq représentants ont été obtenus, qui étaient tous connus auparavant. Les reptiles sont représentés par trois espèces de lézards et deux de serpents, dont un seul s'élève à 12 000 pieds ; les amphibiens par quatre espèces de grenouilles. Il apporta également un certain nombre de spécimens du poisson qui, selon Humboldt, était parfois éjecté du Cotopaxi, rapport que Whymper a de bonnes raisons de discréditer. Ces spécimens montraient que le pimelodus cydopum avait figuré sous cinq ou six noms. Ses collections zoologiques, comme l'a souligné M. II. W. Bates, ont une incidence importante sur les questions relatives à la migration des espèces, et il a également rapporté de nombreux objets d'ethnologie.

His journeys among the mountains traversed by the Canadian PacificRailway enable him to make additions to scientific knowledge, though these, as he was but rarely on untrodden ground, were necessarily less numerous than in the Ecuadorian visit. But he brought back from the lce River valley a set of specimens representing a beautiful sodalite rock and its associates, and a more miscellaneous one from several other points of interest, which were described by the ptesent writer in the * Geologifial Magasne ' for 1902 (pp. 199 and 544), together with a collection of Middle Cambrian fossils, chiefly trilobites, from Mount Stephen, of which Dr. H. Woodward has given a full account in the same volume (pp. 502 and 529). Whymper's knowledge of geology and natural history generally, though the pressure of his professional work obliged him to remain among the amateurs, was wide enough to show him what was worth recording or carrying away. This was very noteworthy when he brought back rook specimens from any place of interest. Most climbers collect pretty or curious odds and ends, such as bits of minerals or vein-stones, which help a geologist but little. Whymper always laid hold of what was characteristic and useful, and his remarks upon what he had seen were shrewd and suggestive. Had he been able to devote himself wholly to geology or some other branch of natural history I belive he would have risen to a high position among men of science.

Ses voyages dans les montagnes traversées par le Chemin de fer Canadien Pacifique lui permettent d'apporter des compléments aux connaissances scientifiques, bien que ceux-ci, étant donné qu'il ne se trouvait que rarement en terrain vierge, soient nécessairement moins nombreux que lors de sa visite en Équateur. Mais il rapporta de la vallée de la rivière Ice un ensemble de spécimens représentant une belle roche de sodalite et ses associés, et un autre plus varié provenant de plusieurs autres points d'intérêt, qui ont été décrits par l'auteur actuel dans le * Geologifial Magasne ' de 1902 (pp. 199 et 544), ainsi qu'une collection de fossiles du Cambrien moyen, principalement des trilobites, provenant du Mont Stephen, dont le Dr. H. Woodward a donné un compte rendu complet dans le même volume (pp. 502 et 529). Les connaissances de Whymper en matière de géologie et d'histoire naturelle en général, bien que la pression de son travail professionnel l'ait obligé à rester parmi les amateurs, étaient suffisamment vastes pour lui permettre de savoir ce qui valait la peine d'être enregistré ou emporté. Cela était particulièrement remarquable lorsqu'il ramenait des spécimens de rochers de n'importe quel endroit intéressant. La plupart des alpinistes collectionnent de jolies choses ou des objets curieux, comme des morceaux de minéraux ou des pierres filoniennes, qui ne sont pas d'une grande utilité pour un géologue. Whymper, lui, s'emparait toujours de ce qui était caractéristique et utile, et ses remarques sur ce qu'il avait vu étaient perspicaces et suggestives. S'il avait pu se consacrer entièrement à la géologie ou à une autre branche de l'histoire naturelle, je crois qu'il se serait élevé à un rang élevé parmi les hommes de science.

T. G. BONNEY.

En 1802, il ouvre son atelier à Genève. Ses œuvres les plus populaires représentent les environs de Genève et les montagnes de Savoie.
Il se spécialise dans la représentation fine de paysages de montagne et vends aux premiers touristes alpins.
Il dessine sur site, grave les dessins à l'eau forte sur cuivre pour une impression en série. Les gravures sont colorées à l'aquarelle ou à la gouache.

Ski Drômois, ou chronique d'un hiver pourri

Du ski de randonnée dans la Drôme, quelle idée saugrenue ! En 1970, Alain avait skié la face Ouest du Roc de Toulau, et Manu le couloir du château à Crussol. Deux descentes extraordinaires qui m'ont fait rêver quelques soirées d'automne.
En cet hiver 1999, avec ses conditions exceptionnelles, le ski dans la Drôme était de nouveau chose possible. Souvenez-vous, le Dimanche 10 janvier, la neige s'abat sur la Drôme, provoquant bien des soucis chez EDF. Le samedi suivant, avec Olivier, nous nous rendons au bout de la route à Omblèze. Objectif: la face Ouest du Roc de Toulau, mais en partant de la vallée, pas du col de la Bataille! La chance est avec nous: il y a assez de neige pour skier jusqu'à la voiture. La surprise aussi: il y a déjà deux traces, visiblement de la veille, un skieur et un monoskieur. Mais ils sont partis faire un grand tour par le fond du vallon pour gagner l'épaule sur le bord gauche de la face. Nous tracerons un itinéraire plus direct, par le ravin et sortie de la face juste à gauche du sommet.
Le Lundi soir, à la lumière de la ville, Christophe ira en Ardèche s’offrir le couloir sous le château de Crussol en guise de promenade digestive.
Puis, les perturbations se succèdent en février, on atteint le risque 4 sur le Vercors pendant 3 semaines, vous imaginez sur Belledonne et les Alpes du Nord ! Et l'envie de skier qui est là… Il y a longtemps, en automne, j'avais suivi les bouquetins dans le couloir au bout de la vire d'Archiane. Le descendre à skis un jour? Encore faut-il de la neige… En janvier, j'avais acquis la certitude en examinant le carte, que la bonne descente du Glandasse était sur Archiane par la combe Veyranche. Enfin, le 27 février, le beau temps est de mise. C'est parti pour Archiane avec Christophe et Olivier. Nous n'avons aucune idée des conditions de neige ni de la limite d'enneigement skiable, donc encore moins de la course que nous allons réaliser. La chance est décidément avec nous, puisque nous réaliserons les deux descentes (2000m de dénivellée) dans des conditions exceptionnelles: 10 mn de portage pour le couloir des bouquetins qui navigue entre poudreuse et transformée, et déchaussage au torrent d'Archiane pour le Glandasse, en poudreuse tassée et transformée regelante vu l'heure tardive pour un versant Est. Au fait, pour la combe Veyranche, il faudra revenir: un couloir beaucoup plus direct (donc plus raide) et nettement plus esthétique (il surplombe Archiane) a irrésistiblement attiré nos spatules…

Le 6 mars, la météo est encore pourrie et le risque fort. Mais à 10 jours de la Pierra Menta, avec Olivier, il faut bien s'entraîner. Aujourd'hui, ce sera les Trois Becs, en traversée allée-retour avec descente et remontée du pas de Picourère, çà fait 9 manips, parfait pour l'entraînement. Et encore du ski dans la Drôme.

Le 7 mars, nous partons vers le Sud avec Thierry, le nez au vent et les skis sur le toit. Au nord il fait mauvais et nous avons envie de skier au soleil. Crest, Saou, Bourdeaux, Crupies, Bouvières, il fait mauvais sur la montagne d'Angèle et il est déjà 10 heures. En face, la montagne de Miélandre est au soleil et semble nous offrir un couloir nord-ouest enneigé. En fait d'enneigement, il est surtout dans la face nord-est: 30 cm de poudreuse sur de l'herbe, et vue sur la forêt de Saou par le sud et la vallée du Rhône. Du ski à la frontière de la Provence! Nous la skierons par trois fois, pour amortir le portage: Thierry soucieux de ses semelles préfera finir la descente à pied. Quant à mes vieux skis-fromage, ils me permettront de repousser les limites de l'enneigement skiable… jusqu'à la voiture!

Enfin, le 24 mars, grâce à un enneigement encore abondant, un vieux rêve se réalise: atteindre le Grand Veymont par le pas de Chabrinel et la plaine de la Queyrie. Et comme la face sud-est convoitée n'est qu'une énorme plaque posée sur un plan de glissement, nous nous rabattrons vers un couloir juste au sud, plus stable nivologiquement et un tantinet plus intéressant techniquement. Et enfin des photos de ski avec le Mont Aiguille en second plan.

Voilà comment transformer un hiver pourri en saison exceptionnelle: un brin de nivologie, un peu d'audace et un zeste de chance pour les conditions. Attention, un niveau minimal de descente est recommandé: j'ai passé sous silence les parties en forêt, plutôt touffues dans la Drôme, car je les ai déjà oubliées. Mais à chaque fois, c'est une aventure: pas de topo, et cet ineffable parfum d'inconnu.
Promis l'hiver prochain: la montagne d'Angèle c'est superbe, et j'ai encore repéré 2 ou 3 autres spots d'enfer…

Eduard Spelterini (1852–1931, né Eduard Schweizer dans le canton de Saint-Gall) survole les Alpes et les photographie à partir de 1893. De la nacelle de son ballon, il a fixé sur plaques de verre les premères vues aériennes des Alpes.
En 1898, le premier voyage part de Sion, passe au-dessus des Alpes Vaudoises et fini vers le Jura. Ce vol en aerostat sera suivi de plus de 500 autres en Europe.
Ses vues sont libres de droit d'auteur depuis 2002.

Le 30 octobre 1908, Henri Farman fait le premier voyage en avion : 27 km du Camp de Châlons à Reims.
Il faudra la Grande Guerre et moins de 20 ans, pour que l'armée de l'air (le 35e RAO basé à Lyon-Bron) organise un service de missions de prise de vue aériennes des Alpes en avion.
Les plus connues de ces vues ont été prises par le Lt Fleury Seive (1896-1972), passager opérateur sur Breguet 14. La prise de vue en avion est un travail d'équipe entre l'opérateur photo qui cadre et déclenche et le pilote qui ordonne ses passages pour permettre la prise de vue.
Elles seront publiées dès 1928, par Arthaud à Grenoble: Les Alpes Françaises à vol d'Oiseau, texte par le géographe Raoul Blanchard et photos par le Capitaine Fleury Seive.
Ces vues sont réalisées dans le cadre de missions militaires, comme observation et amélioration de la connaissance du terrain. C'est un complément à la cartographie, dans les zones de reliefs en particulier.

Pourquoi donner un titre aux photos :

• Le rattachement d'une photo à une sortie et sa localisation ne suffit pas à décrire ce qu'on voit sur l'image quand on ne connait pas l'itinéraire.
• Les photos sans titre ne peuvent être recherchées que par localisation, quand elles sont localisées.
• Le plus souvent il suffit de citer les lieux, faces ou les portions d'itinéraire vus sur l'image, sans s'étendre.

Pourquoi publier une photo en collaboratif :

• Une photo collaborative peut être améliorée par un autre utilisateur. Il n'y a pas de risque, l'historique des versions est conservé
• Une photo collaborative peut être copiée par un autre utilisateur, par exemple pour y tracer des itinéraires
• Une photo collaborative peut être attachée par un autre utilisateur à un Point, à un Itinéraire ou un Article.

les principaux défauts à éviter à la prise de vue ou à corriger dans un logiciel adapté (Gimp ou autre) avant de publier sur internet:

1: Pas de photo floue / pas de trop gros fichier: on réduit le format pour diminuer le flou et la taille de fichier. Dit autrement, pas de photo grand format, si cela fait apparaitre des défauts (flou, grains, compression)
Avec Gimp, menu Image > Echelle et taille de l'image ; choisir l'interpolation Sinc (Lanczos3) pour une meilleure qualité

2: On respecte autant que possible horizontales et verticales, ou on corrige (une image inclinée modifie les pentes et les hauteurs relatives)
Avec Gimp, Outils > Outils de transformation > rotation, puis recadrage (voir point 3)
ou Avec Gimp, Outils > Outils de transformation > perspectives, puis recadrage (voir point 3)

3: Si la photo est mal cadrée, on retaille (part trop grande de ciel, sujet trop décentré ou au contraire trop centré, sujet parasite sur le bord)
Avec Gimp, sélectionner la partie rectangulaire de l'image à conserver, puis menu Image > découper la sélection

4: Si la photo est trop claire, trop sombre, pas assez contrastée, on décale le spectre lumineux vers le blanc ou vers le noir, mais pas avec les fonctions automatiques qui modifient les couleurs.
Avec Gimp, menu Couleur > Niveaux , puis on règle avec modération les 3 curseurs sous le graphique (noir, densité, blanc)

5: Si la photo a des dominantes de couleurs, on décale séparément les spectre lumineux Rouge Vert et Bleu (RVB) vers le blanc ou vers le noir, avec modération.
Avec Gimp, menu Couleur > Niveaux , on sélectionne chaque couleur de base (RVB) puis on règle les curseurs sous le graphique pour chaque couleur séparément

PS: Si on publie une photo avec des défauts, il reste la solution de publier la photo en collaboratif. Un autre utilisateur pourra améliorer la photo. Les photos personnelles n'ont pas la possibilité d'être améliorées par d'autres.

Structure du topoguide

Comme sur la V5, le topoguide est composé de documents de différents types (un seul type par document).

Point de passage

Le type Point de passage (waypoint en anglais) remplace tous les types d'objets ponctuels de la V5 : sommet, col, lac, falaise, site d'escalade, refuge, bivouac, camping, accès, produit local, ...
Les anciens types de la V5 deviennent des types de point de passage (champs obligatoire à la création).
De nouveaux types sont apparus avec la V6 :

• cascade : utilisé principalement pour décrire un secteur de cascade de glace
• décollage / atterrissage parapente
• station météo
• webcam
• virtuel : remplace le type "raid", et permettra par ailleurs d'autres utilisations

Itinéraire

Un itinéraire doit obligatoirement être associé à au moins un point de passage. À la différence de la V5, le point de passage associé n'est pas obligatoirement un "sommet" :

• il peut être un refuge (itinéraire d'accès au refuge)
• il peut être un accès (itinéraire sans objectif ponctuel, comme une boucle dans une forêt autour d'un parking)
• il peut être un site d'escalade, etc.

Bien sûr, on peut toujours associer d'autres points de passage, mais on n'est pas obligé de commencer par un "sommet".
On n'est pas non plus obligé de passer par la page d'un point de passage pour créer un itinéraire : on pourra associer un point de passage dans la page de création de l'itinéraire.

Sortie

Une sortie doit obligatoirement être associée à au moins un itinéraire.
De plus, on ne peut plus associer une sortie à un site d'escalade pour décrire une sortie couenne/bloc, il faut passer par un itinéraire. Voir l'aide : Saisir une sortie couenne ou bloc sur la V6.

Incidents/Accidents

La base incidents/accidents n'a pas changé. Des évolutions sont prévues.

Article

Pas de changement par rapport à la V5.

Image

Pas de changement par rapport à la V5.

Livre

Pas de changement par rapport à la V5.

Région

Pas de changement par rapport à la V5.

Carte papier

Les documents "carte" existent mais ne sont plus modifiables.
Les cartes sont automatiquement associées aux points de passage et itinéraires.

Profil

Il existe un profil topoguide et un profil forum. Comme sur la V5, mais sur la V5 le profil forum n'était pas public, et comportait juste les préférences utilisateur du forum.
Le profil topoguide reprend la description du profil topoguide de la V5.

Activités

La V6 reprend les activités de la V5, et en ajoute trois :

• VTT
• Via ferrata
• slackline

Le VTT et la Via ferrata existaient déjà sur la V5 en marge des activités rando pédestre et escalade.
La création de ces activités permet de mieux les gérer dans le topoguide, entre autres pour éviter qu'une recherche d'itinéraire rando ou escalade renvoie des itinéraires VTT de 80 km ou des via ferrata avec pont de singe.

Filtre de recherche

Le filtre de recherche de chaque type de document présente la même structure et des fonctionnalités communes.
Il est composé de 3 parties :

Carte

• La carte comporte des pictos correspondant aux résultats de la recherche.
• Par défaut, il y a un filtre géographique correspondant à la partie visible de la carte. En décochant la case "Limiter la recherche à la carte visible", on peut rechercher sur le monde entier tout en conservant le zoom de la carte.
• Pour zoomer plus rapidement, on peut faire une recherche sur un lieu-dit (certains sommets sont connus), ou sélectionner un rectangle via Shift + sélection à la souris.
• On peut choisir le fond de carte en cliquant sur le bouton "Esri World Topo Map " (fond de carte par défaut). Les fonds de carte Google ne sont plus disponibles (incompatibilité de l'outil carto, ou incompatibilité des fonds de carte Google, selon le point de vue que l'on préfère).

Critères de recherche et boutons

• Sur la partie gauche, 3 critères de recherche en haut.
• Un bouton pour déplier d'autres critères.
• Un bouton pour supprimer tous les critères quand il y en a.
• Un bouton pour cacher la liste, afin d'étendre la carte sur la largeur. Réciproquement, sur la carte il y a un bouton permettant de cacher la carte afin d'étendre la liste sur toute la largeur.
• Une liste de choix pour changer de type de document. Lors d'un changement, on perd tous les filtres, ainsi que le zoom de la carte.
• Un bouton [+] pour créer un document (pour les types de documents pour lesquels c'est autorisé).

Liste des résultats

En dessous des boutons se trouve la liste des résultats, sous forme de "cards".

• La liste comporte 30 résultats. Des boutons permettent de naviguer dans les différentes pages de résultat. Seuls les résultats de la page courante sont affichés sur la carte (pictos).
• Quand on passe la souris sur une card d'un résultat, le picto correspondant sur la carte est mis en évidence. Et inversement.
• Lorsqu'on ajoute ou modifie un critère de recherche, la liste des résultats est mise à jour "en direct", en fait quelques secondes plus tard.

Permalien

• Lorsqu'on ajoute ou modifie un critère de recherche, l'url du filtre est modifiée dans la barre d'adresse. Le permalien du filtre se trouve donc dans la barre d'adresse.
• Lorsqu'on revient sur le filtre par un permalien, les critères prennent les valeurs présentes dans le permalien. On peut les modifier à nouveau, comme si la séance de recherche n'avait pas été interrompue.

Consultation

La page d'un document comporte :

• Le titre du document, suivi d'un bouton avec le type du document. Ce bouton comporte un lien vers le filtre de recherche centré sur le document. Cela permet de voir et filtrer les documents de même type à proximité.
• Une carte, avec un encart jaune à droite comportant la liste des régions associées au document (avec des liens vers les pages des régions).
  On peut choisir le fond de carte.
• Les données "chiffrées".
• Un résumé (texte) : il pourra être affiché dans les listes de document.
• Les champs texte. Chaque champ est repliable (utile pour ne pas imprimer certains champs).

Édition

• La page d'édition d'un document peut être divisé en 2 ou 3 onglets ou étapes.
  Pour naviguer entre les étapes, cliquer sur le titre de l'étape en haut, ou sur les flèches bleues à droite et à gauche.
• Pour prévisualiser, cliquer sur le bouton bleu "œil" à droite.
• Pour enregistrer, cliquer sur le bouton orange.
• Pour annuler, cliquer sur le bouton gris. Attention, toutes les données saisies seront perdues (pour une édition d'un document existant, aucune modification n'est enregistrée).
• Lors de l'enregistrement, un pop-up s'affiche, demandant de renseigner la complétude. La complétude correspond à l'état d'avancement du document : remplissage des champs chiffrés, qualité du texte, présence de photos insérées, présence d'une trace GPX.

Sorties

• Affichage de toutes les sorties sur la carte du filtre de recherche. Sur la V5, seules les sorties avec trace GPX étaient affichées.
• A l'édition, possibilité de dessiner l'itinéraire de la sortie sur la carte.
• Possibilité de donner une date de début et une date de fin, pour les sorties sur 2 jours (typiquement avec une montée en refuge et un sommet le lendemain), les raids sur plusieurs jours, les expés, ou même les voyages.
• Les participants membres ainsi que les différents itinéraires empruntés doivent être associés à l'édition de la sortie.
  Ils peuvent aussi être dissociés en éditant la sortie, sans faire appel aux modos.
• Ajout d'un champ Nombre de participants, permettant de donner le nombre de participants d'un groupe au lieu d'énumérer les 15 prénoms/pseudos qu'on ne connaît pas forcément, ou qu'on ne veut pas dévoiler sur le net.
  L'information la plus utile pour ceux qui recherchent des infos sur les conditions est de toute façon le nombre de participants, et non le détail des prénoms ou pseudos. C'est particulièrement vrai en ski : si un groupe de 8 a descendu un couloir, ce n'est pas pareil qu'un groupe de 2, ça donne une idée rapide de l'état du couloir.
  Cela permettra par ailleurs plus tard de retrouver les sorties "collectives" auxquelles on a participé, ou au contraire ses sorties solo.
• Pour les activités ski, alpi neige et cascade : ajout de 2 champs Quantité de neige ou glace et Qualité de neige ou glace, permettant d'éviter le dilemme du choix de la qualité des conditions quand il y a de la super poudre mais sans sous-couche, ou un ressaut rarement comblé dans un couloir mais ravagé par une coulée (et idem en cascade).
  Le champ Qualité des conditions a été renommé Évaluation des conditions, et est toujours présent pour les activités ci-dessus. La plupart du temps, on mettra la moyenne de la valeur des 2 nouveaux champs, mais on peut y inclure d'autres aspects.
• Suppression du champ Qualité de la trace. La qualité de la trace étant très subjective et très changeante (on peut faire une belle trace qui sera ravagée par quelqu'un d'autre ou par le soleil 1h plus tard), et la définitions des niveaux étant très floue, l'info était le plus souvent inutilisable.

Itinéraire

• Affichage de tous les itinéraires sur la carte du filtre de recherche. Sur la V5, seuls les itinéraires avec trace GPX étaient affichés.
• A l'édition, possibilité de dessiner l'itinéraire sur la carte.
• Les Points de passage peuvent être associés à l'édition de l'itinéraire.
• Introduction de la notion de Point de passage principal. Un seul point de passage principal peut être défini pour un itinéraire, mais il peut n'y en avoir aucun.
  L'intitulé du point de passage principal est repris pour former l'intitulé complet de l'itinéraire :
  Intitulé du point de passage principal : intitulé de l'itinéraire
  Sur la V5, c'était obligatoirement l'intitulé du sommet le plus haut associé à l'itinéraire, qui était utilisé pour former l'intitulé complet.
  Sur la V6, on peut choisir quel point de passage sera utilisé, ou alors qu'aucun point de passage ne soit utilisé. C'est utile pour une traversée d'un col possédant une variante consistant en un aller-retour jusqu'à un sommet plus haut que le col (le col est mis en point de passage principal), ainsi que pour les raids ou pour les itinéraires dont le seul point de passage est un accès (aucun point de passage principal).
• Ajout d'un champ texte Résumé, permettant de décrire brièvement l'itinéraire, en plus des infos chiffrées et des cotations. Ce résumé pourra être affiché dans une liste d'itinéraire.
  Lors de la migration V5 > V6, le contenu des balises [abs] présentes dans la description, a été déplacé dans le champ Résumé.
• Le champ Orientation est désormais à choix multiples : plusieurs orientations principales peuvent être indiquées. Lors d'un tour d'un sommet, il faut considérer les orientations principales des pentes empruntées et ne pas sélectionner les 8 orientations.
• Le champ Type d'itinéraire est désormais à choix multiple. Si une voie peut se descendre en rappel mais qu'il est conseillé de descendre à pied, on sélectionnera aller-retour et boucle.
• Le champ Type d'itinéraire a été enrichi de 2 options : raid et expédition, permettant de retrouver facilement les itinéraires raids (traversée sur plusieurs jours) et les itinéraires d'expédition (plusieurs jour pour atteindre un objectif, et plusieurs jours pour en revenir).
  Il y a plus de 300 raids et expéditions à corriger.
• Le champ Durée est désormais à choix multiple. Si un itinéraire se fait souvent à la journée à ski, mais en 2 jours en alpi, on sélectionnera 1 jour et 2 jours.
• Ajout du Dénivelé de l'approche : utile pour toutes les activités comportant aussi un Dénivelé des difficultés.
• Ajout du champ Type de voie pour l'escalade, permettant de différencier les grandes voies, les couennes et les blocs. Ce champ sera obligatoire sauf pour les itinéraires d'escalade facile (comportant les activités escalade et randonnée pédestre).
• Ajout du Type de rocher (calcaire, granit, ...) pour les activités alpi neige, rocher haute montagne, escalade et via ferrata.
• Ajout d'une Cotation exposition pour la randonnée pédestre et le VTT, sur 4 niveaux. Le principe est similaire à l'exposition ski, en considérant les conséquence d'une chute. E1 : aucune conséquence à part celle d'une chute au sol, E2 : blessure probable, E3 : blessure grave ou mort probable, E4 : mort certaine.
• Ajout des champs pour le VTT : Cotation VTT montée, Cotation VTT descente, Distance goudronnée, Distance sur sentier, Dénivelé de portage.
• Ajout de la Cotation Via-ferrata : K1 à K6 (définition à venir).

Point de passage

à venir

Plusieurs moyens permettent de rejoindre le pied de la montagne. On laissera dans tous les cas sa voiture au village de Wadi Rum, au-delà il n'y a en effet plus d'asphalte. Restent pour la poursuite du voyage à disposition les voitures 4*4 des bédouins, les pieds, le dromadaire, et pourquoi pas aussi le vélo (seul moyen de locomotion que je n’aurai pas pu observer sur place).

En considérant que la montagne est à près de 25 km à vol d’oiseau de Rum Village, le 44 est le moyen le plus rapide de s’y rendre et aussi à privilégier si l’on ne veut ou ne peut pas bivouaquer dans le désert. On trouvera des bédouins prêts à monnayer leur 44 et leurs services au poste d’entrée dans la réserve (5JD de frais d’entrée) peu avant le village de Wadi Rum. Sans doute aussi directement à l’entrée du village. Pour ma part, j’avais réservé 1 jour à l’avance suite à un contact fourni par mon logeur à Petra. Prix de départ pour ma négociation : 140JD, soit au cours du moment près de 180 EURO. Cela inclut le véhicule avec un chauffeur qui connait le désert comme sa poche, plus toute la boucle des principales « curiosités recommandées par le guide du routard », pour qui voudrait/devrait voir le Wadi Rum en une très courte journée (pour ma part, Umm Frutt Bridge, Burda Rock Bridge (de loin), le Mushroom, Burrag Canyon, etc. Une boucle pour une journée commençant à 06h (lever du soleil en décembre) et se finissant vers 17h avec le coucher de soleil, qui n’est pas « standard » vu que la très grande majorité des touristes ne sont pas intéressés par l’ascension de la montagne la plus haute de Jordanie. Après négociation au téléphone, prix réduit à 100 JD (130 EURO) pour le programme complet. 100 JD sont apparemment le prix demandé (avant négociation) pour la simple excursion au Djebel Umm ed Dami.

Bref, départ vers 06h30 du matin (le bédouin/chauffeur vit a Rum Village, il me récupérait au camp en dur dans le désert où j’avais passé la nuit, à 5-10 minutes de Rum Village. Puis 1h05 de pistes, globalement très roulantes en sable tassé, parfois quand même quelques parties sablonneuses mais passant sans grosse difficulté avec un 4*4. Le pied de la montagne est pile au S de Wadi Village sur une carte, mais il y a une pléthore de pistes de partout, qui se rejoignent, se re-séparent, etc. Et toutes les montagnes sont plus ou moins de la même hauteur « vu d’en bas », donc sans guide mieux vaut avoir les coordonnées exactes de la montagne pour encaper dans la bonne direction et savoir quelle montagne contourner et par quel côté. On aperçoit la bonne montagne aux ¾ du parcours, cachée qu’elle était par d’autres montagnes posées là sur le sable. On contourne notre montagne en l’approchant par la gauche, pour aller au plus court mais surtout retrouver ce qui semble être le seul chemin reliant le sommet. On arrive en cul-de-sac avec uniquement des roches devant nous, laisse la voiture au fond d’une rivière asséchée (d’où mon guide m’attendra le temps de l’ascension en elle-même), et il m’indique la voie à suivre au début. Pas facile de la discerner, même si (signe que la montagne est quand même fréquentée) on découvre rapidement des cairns de-ci de-là.

Après une cinquantaine de mètres pour rejoindre la roche (la montagne est optiquement une sorte de vaste éboulis), direction la crête en partant sur la droite. C’est du rocher qui passe bien, un peu crapahutant mais sans difficulté particulière. L’important est de rester (surtout au début de l’ascension) sur la voie sans se perdre dans les plus gros rochers risquant sinon de devenir de l’escalade. Donc on recherche les cairns là où le chemin est moins clair, mais la montée et l’orientation est de toute façon plus simple que lors de la descente. Arrivé sur la crête, on part sur la gauche, le sommet n’est alors plus bien loin. On a déjà une vue superbe sur ce coin de désert. Le chemin poursuit sur la droite de la crête, légèrement en contrebas. Puis reste sur la crête même, jusqu’au sommet, que l’on atteint rapidement. Gros tas de cailloux, avec un drapeau jordanien déchiqueté par le fort vent qui attend au sommet (et uniquement au sommet). Il fait froid au sommet, même si pour un mois de décembre le climat a été très clément avec moi.

Du sommet, superbe vue sur une vaste partie du désert du Wadi Rum. Rien que pour le paysage, le déplacement et le court effort mérite sont mérités. Du sommet, on voit enfin que cette montagne est vraiment la plus haute de Jordanie (d’une centaine de mètres par rapport aux montagnes avoisinantes). Il y a bien de plus hautes montagnes dans le coin, mais celles-ci sont alors de l’autre côté d’une frontière que l’on ne doit pas essayer de franchir. Mon bédouin m’explique que même pour les bédouins, le point de passage avec l’Arabie Saoudite est via Aqaba, donc sur la cote. Une route (a priori non asphaltée) est aménagée le long de la frontière, coté saoudien. On aperçoit 2 postes frontières blancs. Bref, on surveille, mais on ne franchit pas la frontière ici. Sinon, aucun signe de vie de ce côté-là mis à part les douaniers, alors que du côté jordanien on voit de temps en temps des 4*4 de bédouins ou de touristes sillonner de-ci de-là.

L’ascension m’a pris 40 minutes, sans trop trainer, mais 1 heure semble suffisant en allant tranquillement. Le retour s’effectue par le même chemin. La partie basse, jusque avant de rejoindre la voiture, est peut-être un moment un peu plus délicat, car on ne voit pas toujours bien dans quelle direction poursuit le chemin. Il faut donc bien observer les cairns, heureusement bien nombreux, et tirer vers la droite. A la voiture, mon bédouin attend avec le thé prêt, et un pain qu’il vient de cuire pour le petit déjeuner. Nous sommes seuls, les touristes ne s’aventurent en effet jamais ici (sauf ceux qui veulent faire l’ascension de ce sommet). Une tente de bédouins est à un km de là.

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How to get its user ID

You can get your user ID from the URL of your profile. Go to https://www.camptocamp.org and open the user menu and select my profile.

For example https://www.camptocamp.org/profiles/123456/fr corresponds to ID 123456.

Query your profile

Command:

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Query outings

https://api.camptocamp.org/outings

Possible filters

There are flags that allow the user to filter results.

Construction of the request

The URL should look like https://api.camptocamp.org/outings?flag1=criteria1&flag2=criteria2&…

Flags

u=USERID Get outings associated with this (or these) user(s)
limit=INT Limits the number of results to the desired integer
l=LANG Get only the selected language

Intro

L’idée est de lister le cdc en version « technique » : les problèmes de normalisation des schémas, les bonnes pratiques de réalisation d’un topocouenne, etc, etc… ne sont par exemple pas évoqués -> aux modos couenne de faire l’aide qui va bien pour cela.

Pourquoi changer le topo couenne ?

L’escalade a toute sa place sur c2c, le pb étant qu’aujourd’hui, le topoguide ne décolle pas. L’outil ne répond donc pas au besoin de nos utilisateurs.
- pas de possibilité de faire son carnet de croix ;
- pas de possibilité d’améliorer facilement le topoguide
- pas de possibilité de s’exprimer facilement sur les voies, il faut actuellement le mettre en commentaire sur la sortie globale, cela ne favorise pas l’échange et le regroupement des infos sur les voies.

Schéma

Le besoin des shémas modifiables et «versionnables » étant commun à beaucoup des activités de c2c, ce n’est pas spécifique au cdc couenne, et ce n’est donc pas traité ici. Si quelqu'un se dévoue pour faire un cdc propre, you’re welcome.
A intégrer ds cette réflexion :

• gestion des schéma/photos avec le reste du topo (lien vers les voies ?)
• nom des voies
• numéros
• cotations ?

Cotation

« La cotation c2c est donnée pour un enchaînement en tête, par la méthode la plus facile. Elle ne prend pas en compte la difficulté à trouver la méthode la plus facile. Les dégaines sont supposées en place pour les voies où la pose des dégaines modifie significativement la difficulté. »

Organisation des documents

Principe général

• Création d’itinéraires de couenne (aussi utilisables pour les blocs).
• Les itinéraires de couennes sont regroupés au sein de secteurs de couenne (les sites secteurs)
• L’ensemble du site d’escalade est un « sur-sommet » et regroupe les différents secteurs (GV ou couenne)
• Le « sur sommet » site principal est de type « sommet de type zone d’escalade ». Intérêt de créer un nouveau type de Sommet (en plus de pt culminant, vallon, lac,…) :

Rechercher des secteurs/zones/GV

Il faut que lors de la recherche de site de grimpe, celle-ci ne se fasse pas dans toute la table des sommets, mais dans le truc restreint "sommet de type zone d'escalade" -> tu tombes alors sur la fiche principale du site, dans laquelle est décrite et explicitée l'ensemble des secteurs (ss frome de point culminants (GV) ou de site (couenne et blocs)).
donc si tu es grimpeur et que tu cherches un site, c'est top de commencer par la présentation globale de ce dernier, et de faire ensuite ton shopping dans les différents secteurs.

Si tu es alpiniste, avec plus une approche sommet que site : tu continues les recherches comme avant. si on restreint la recherche aux sommets "qui ne sont pas de la forme zone d'escalade" pour ne pas être poluer, tu retrouves ta liste de sommet classique, auxquels sont raccroché directement les itis.

Conclusion

L’organisation aurait donc cette forme :
- Site principal : sommet
- Secteur de GV : sommet
- Secteur de couenne : site-secteur

Les voies couennes ne pourraient s'ajouter que sur les site-secteurs : pas possible d'ajouter une couenne sur un site principal.
Par contre une GV pourrait s'ajouter sur un site principal ou un secteur GV, vu qu'il n'y a pas de différence.
Pour les sites hiérarchisés en site + secteurs GV + secteur couenne, il faut faire attention à mettre les GV au bon endroit.
Pour les sites simples hiérarchisés en site + secteur couenne, les GV sont associées directement au site.

Site principal : quelles infos ?

Champs remplis lors de l'édition du doc

• La description générale, comportant entre autre un lien vers le club ou organisme qui gère le caillou.

Champs remplis par extraction dans les documents fils

• Type de rocher
• Nbre de secteur de couennes
• Nbre de secteurs de bloc
• Nbre de secteur de grandes voies
• Nbre de voies "couenne"
• Nbre de voies "bloc"
• Nbre de grandes voies
• Liste des secteurs OK pour les infants
• Graphe Nbre voies couenne / difficulté
• Graphe Nbre voies bloc / difficulté
• Graphe Nbre grandes voies / cot globale
• Génération automatique d’une phrase d’intro :
  Cette zone d’escalade est composée de X secteurs de GV (a, b, c,..) et de Y secteurs de couennes (f, e, g,…).
  Avec les liens cliquables qui vont bien, si ça peut être fait sous forme d’un schéma, c’est encore mieux, sinon, les contributeurs en feront un à la mano s'ils jugent ça utile pour les gros sites complexes (presles, ailefroide,..)

Secteur de grandes voies

Comme aujourd’hui, rien ne change, c’est un sommet « point culminant » avec des itis GV attachés.
Il peut y avoir d’autres type d’iti sur ce sommet.

Secteur de couenne ou bloc

Champs remplis lors de l'édition du doc

• Les champs actuels des sites (modif du champ « type de site » : enlever grande voie et terrain d’aventure)
• Durée de l’approche du parking le plus proche (champ subdivisé 0min, 5min, 15min, 30min, 45min, 1h, 1h30, 2h etc...)
• Utilisation de Pictogrammes : Enfants, Pluie
• Meilleures périodes : 3 niveaux avec un affichage "J F M A M J J A S O N D" avec les bons moins en coloris x, les mois moyens en coloris y et les mauvais mois en coloris z. Coloris à choisir en cohérence avec la charte graphique. Le vert, orange, rouge est le plus simple à comprendre.

Champs remplis par extraction dans les documents liés

Les champs sur les cot’, hauteurs… sont extraits automatiquement :

• Nbre de voies "couenne"
• Nbre de voies "bloc"
• Nbre de grandes voies
• Graphe Nbre voies couenne / difficulté
• Graphe Nbre voies bloc / difficulté
• Graphe Nbre grandes voies / cot globale

Affichage de la partie topo du secteur

• Les itinéraires couennes sont affichés sous forme d’un tableau ordonné (reste à définir quel ordre, de gauche à droite semblant le plus simple et le plus compréhensible)
• les principales infos sur les itis sont reprises ds ce tableau (cot, beauté, nbre point, patine, longueur, style)
• quand on clique sur l’iti, cela ouvre sa page et on a tout le descriptif
• possibilité d’insérer le shéma modifiable et cliquable de la falaise (solution à trouver pour l’ensemble des activités sur c2c : couenne, GV, ski, alpi,…)
• cas des voies de plusieurs longueurs au sein des sites de couenne :
• 2 longueurs : la deuxième décrite la ligne en dessous dans le tableau, une précision dans le commentaire et zou !
• 3 longueurs : pareil si c'est rare sur le secteur, secteurs dédié s'il y en a pas mal.
• 4 longueurs ou plus -> grdes voies à part entière. On décrit la première longueur comme une couenne, et on met le lien dans le commentaire pour accéder directement au topo de la GV. un peu comme on fait quand, dans le descriptif d'un topo, on met le lien pour une course qui pourrait s'enchaîner au topo qu'on est entrain de consulter.

Iti de couenne

Champs remplis lors de l'édition du doc

• Hauteur
• Nbre de point
• Style (dièdre, dalle,…)
• Équipeur et historique + « première ascension » (grimpeur + année)
• Un commentaire/description rentré dans l'itinéraire
• Un lien vers les commentaires issus des infos rentrées sur les sorties -> impossible, fait en auto
• Pluie : 3 niveaux
• Une "cotation dangerosité" déclinée en 3 niveaux (rien, R, X) suivant la cotation équipement
  P1 R= Engagé (au sens grimpe) X = Exposé (au sens grimpe)
  P2, P3, P4 http://en.wikipedia.org/wiki/Yosemite_Decimal_System

R: Runout, some protection placements may be very far apart (possibility of broken bones, even when properly protected).
X: No protection, extremely dangerous (possibility of death even when properly protected).

Champs remplis par extraction dans les documents liés

• Cotation (issue de la moyenne des votes lors des sorties, type de moyenne à définir) + graphe de répartition des votes
• Une note de « beauté » de la voie issue de la moyenne des votes lors des sorties, type de moyenne à définir) + graphe de répartition des votes

Comment rentrer un iti de couenne

Les voies sont insérées dans le topoguide en rentrant de nouveaux itinéraires. On privilégie les itinéraires associés à des sorties, mais on n’empêche pas de rentrer des topos sans sortie associées : fonctionnement classique du topoguide c2c.

Fonctionnement du champ cotation

1. Tant qu'il n'y a pas eu de sortie, une cotation indicative dans le descriptif de la voie (si elle existe ; supprimable par les modos si ça sent le plagiat - par exemple 10 voies consécutives avec même cote que le topo papier).
2. A chaque sortie, le contributeur se voit obligé de proposer sa cotation dans la sortie (champ prérempli par défaut à la cotation actuelle du descriptif).
   Si tu n'y touches pas, ça vaut acceptation (et ta "voix" est prise en compte).
   Aucune contrainte !
3. Les cotations/beauté sont recalculées avec une moyenne à définir. La proposition de cotation initiale est alors «écrasée»
4. En cliquant sur la cotation du descriptif, on obtient l'historique des cotations (répartition cotation / nbre de vote + graphe de l’évolution de la cot’ dans le temps)
5. /!\ il faut pouvoir repartir à zéro dans le calcul de la cotation lors d'une modif notable de la voie (prise cassée, modif d'équipement qui ajoute ou enlève un pas, etc...)

Difficulté technique

Trouver un système qui permette de facilement donner l’info : voie située entre la voie « dièdre fumeux » et la voie « zapi la zapette » -> Ordonnancement automatique du tableau/topo sur le document « secteur de couenne »
(solution de type « cliquer/glisser » à prévoir ?)

Les sorties couennes

(pas de changement pour les sorties GV)

Orga

Le point d’entrée est le document « Zone d’escalade »

Il a les champs habituels qui s’offrent à lui.

Dessous, sous forme d’un tableau, les listes des voies, organisées par secteurs (repliables, avec des +/-)

Une ligne, une voie.

Sur chaque ligne, sont présents les champs suivants :

Nom de la voie (pas modifiable) / type d’essais / cotation (préremplie) / beauté / petit commentaire.

Champs à menu prédéfini

• Champ type d’essais : il contient les propositions suivantes :
  à-vue | flash | après travail | sortie mais non enchaînée en tête | non sortie en tête | enchaînée en moul' | sortie mais non enchaînée en moul' | non sortie en moul’
• Cotation : les cotations définies sur c2c
• Beauté : note de 1 à 5

Carnet de croix

Visibilité

• Choix possible par le c2csiste : infos visibles ou non dans son profil
• Par contre, il ne peut « cacher» ces infos par l’internaute cherchant via la liste des sorties des documents iti, secteur,…

Quelles infos

Le carnet de croix doit pouvoir :
- tableau de la liste des voies réalisées, triable par type de réalisation (à-vue | flash | après travail | sortie mais non enchaînée en tête | non….), site, année.
- avoir les graphes : cotation/ nbre de voie pour les catégories principales (à vue, flash, après travail,en moul’)
- pouvoir faire ses graphes sur des périodes et des sites et donc se faire des comparaison (comparer ses étés par exemple, pour voir si l'âge se fait sentir )

Impression

L’idéal étant de pouvoir imprimer la totalité d'un site en 1 clic (schéma + texte).

Intro

L’idée est de lister le cdc en version « technique » : les problèmes de normalisation des schémas, les bonnes pratiques de réalisation d’un topocouenne, etc, etc… ne sont par exemple pas évoqués -> aux modos couenne de faire l’aide qui va bien pour cela.

Pourquoi changer le topo couenne ?

L’escalade a toute sa place sur c2c, le pb étant qu’aujourd’hui, le topoguide ne décolle pas. L’outil ne répond donc pas au besoin de nos utilisateurs.

• pas de possibilité de faire son carnet de croix ;
• pas de possibilité d’améliorer facilement le topoguide
• pas de possibilité de s’exprimer facilement sur les voies, il faut actuellement le mettre en commentaire sur la sortie globale, cela ne favorise pas l’échange et le regroupement des infos sur les voies.

Schéma

Le besoin des shémas modifiables et «versionnables » étant commun à beaucoup des activités de c2c, ce n’est pas spécifique au cdc couenne, et ce n’est donc pas traité ici. Si quelqu'un se dévoue pour faire un cdc propre, you’re welcome.
A intégrer ds cette réflexion :

• gestion des schéma/photos avec le reste du topo (lien vers les voies ?)
• nom des voies
• numéros
• cotations ?

Cotation

« La cotation c2c est donnée pour un enchaînement en tête, par la méthode la plus facile. Elle ne prend pas en compte la difficulté à trouver la méthode la plus facile. Les dégaines sont supposées en place pour les voies où la pose des dégaines modifie significativement la difficulté. »

Organisation des documents

Principe général

• Création d’itinéraires de couenne (aussi utilisables pour les blocs).
• Les itinéraires de couennes sont regroupés au sein de secteurs de couenne (les sites secteurs)
• L’ensemble du site d’escalade est un « sur-sommet » et regroupe les différents secteurs (GV ou couenne)
• Le « sur sommet » site principal est de type « sommet de type zone d’escalade ». Intérêt de créer un nouveau type de Sommet (en plus de pt culminant, vallon, lac,…) :

Rechercher des secteurs/zones/GV

Il faut que lors de la recherche de site de grimpe, celle-ci ne se fasse pas dans toute la table des sommets, mais dans le truc restreint "sommet de type zone d'escalade" -> tu tombes alors sur la fiche principale du site, dans laquelle est décrite et explicitée l'ensemble des secteurs (ss frome de point culminants (GV) ou de site (couenne et blocs)).
donc si tu es grimpeur et que tu cherches un site, c'est top de commencer par la présentation globale de ce dernier, et de faire ensuite ton shopping dans les différents secteurs.

Si tu es alpiniste, avec plus une approche sommet que site : tu continues les recherches comme avant. si on restreint la recherche aux sommets "qui ne sont pas de la forme zone d'escalade" pour ne pas être poluer, tu retrouves ta liste de sommet classique, auxquels sont raccroché directement les itis.

Conclusion

L’organisation aurait donc cette forme :

• Site principal : sommet
• Secteur de GV : sommet
• Secteur de couenne : site-secteur

Les voies couennes ne pourraient s'ajouter que sur les site-secteurs : pas possible d'ajouter une couenne sur un site principal.
Par contre une GV pourrait s'ajouter sur un site principal ou un secteur GV, vu qu'il n'y a pas de différence.
Pour les sites hiérarchisés en site + secteurs GV + secteur couenne, il faut faire attention à mettre les GV au bon endroit.
Pour les sites simples hiérarchisés en site + secteur couenne, les GV sont associées directement au site.

Site principal : quelles infos ?

Champs remplis lors de l'édition du doc

• La description générale, comportant entre autre un lien vers le club ou organisme qui gère le caillou.

Champs remplis par extraction dans les documents fils

• Type de rocher
• Nbre de secteur de couennes
• Nbre de secteurs de bloc
• Nbre de secteur de grandes voies
• Nbre de voies "couenne"
• Nbre de voies "bloc"
• Nbre de grandes voies
• Liste des secteurs OK pour les infants
• Graphe Nbre voies couenne / difficulté
• Graphe Nbre voies bloc / difficulté
• Graphe Nbre grandes voies / cot globale
• Génération automatique d’une phrase d’intro :
  Cette zone d’escalade est composée de X secteurs de GV (a, b, c,..) et de Y secteurs de couennes (f, e, g,…).

Avec les liens cliquables qui vont bien, si ça peut être fait sous forme d’un schéma, c’est encore mieux, sinon, les contributeurs en feront un à la mano s'ils jugent ça utile pour les gros sites complexes (presles, ailefroide,..)

Secteur de grandes voies

Comme aujourd’hui, rien ne change, c’est un sommet « point culminant » avec des itis GV attachés.
Il peut y avoir d’autres type d’iti sur ce sommet.

Secteur de couenne ou bloc

Champs remplis lors de l'édition du doc

• Les champs actuels des sites (modif du champ « type de site » : enlever grande voie et terrain d’aventure)
• Durée de l’approche du parking le plus proche (champ subdivisé 0min, 5min, 15min, 30min, 45min, 1h, 1h30, 2h etc...)
• Utilisation de Pictogrammes : Enfants, Pluie
• Meilleures périodes : 3 niveaux avec un affichage "J F M A M J J A S O N D" avec les bons moins en coloris x, les mois moyens en coloris y et les mauvais mois en coloris z. Coloris à choisir en cohérence avec la charte graphique. Le vert, orange, rouge est le plus simple à comprendre. (C'est aussi le plus moche...)

Champs remplis par extraction dans les documents liés

Les champs sur les cot’, hauteurs… sont extraits automatiquement :

• Nbre de voies "couenne"
• Nbre de voies "bloc"
• Nbre de grandes voies
• Graphe Nbre voies couenne / difficulté
• Graphe Nbre voies bloc / difficulté
• Graphe Nbre grandes voies / cot globale
  Bof, et si la personne ne rentre que deux voies du site ? (xbrr)

Affichage de la partie topo du secteur

• Les itinéraires couennes sont affichés sous forme d’un tableau ordonné (reste à définir quel ordre, de gauche à droite semblant le plus simple et le plus compréhensible)
• les principales infos sur les itis sont reprises ds ce tableau (cot, beauté, nbre point, patine, longueur, style)
• quand on clique sur l’iti, cela ouvre sa page et on a tout le descriptif
• possibilité d’insérer le shéma modifiable et cliquable de la falaise (solution à trouver pour l’ensemble des activités sur c2c : couenne, GV, ski, alpi,…)
• cas des voies de plusieurs longueurs au sein des sites de couenne :
• 2 longueurs : la deuxième décrite la ligne en dessous dans le tableau, une précision dans le commentaire et zou !
• 3 longueurs : pareil si c'est rare sur le secteur, secteurs dédié s'il y en a pas mal.
• 4 longueurs ou plus -> grdes voies à part entière. On décrit la première longueur comme une couenne, et on met le lien dans le commentaire pour accéder directement au topo de la GV. un peu comme on fait quand, dans le descriptif d'un topo, on met le lien pour une course qui pourrait s'enchaîner au topo qu'on est entrain de consulter.

Iti de couenne

Champs remplis lors de l'édition du doc

• Relais (Chaîne, 2 points, ...)
• Longueur Hauteur
• Nbre de points
• Type de point (spit, goujon, scellement...)
• Style (dièdre, dalle,…)
• Type d'effort (bloc, résistance, continuité ..)
• Équipeur et historique + « première ascension » (grimpeur + année)
• Un commentaire/description rentré dans l'itinéraire
• Un lien vers les commentaires issus des infos rentrées sur les sorties -> impossible, fait en auto
• Pluie : 3 niveaux
• Une "cotation dangerosité" déclinée en 3 niveaux (rien, R, X) suivant la cotation équipement :
• P1 : R = Engagé (au sens grimpe) X = Exposé (au sens grimpe)
• P2, P3, P4 : http://en.wikipedia.org/wiki/Yosemite_Decimal_System
  R: Runout, some protection placements may be very far apart (possibility of broken bones, even when properly protected).
  X: No protection, extremely dangerous (possibility of death even when properly protected).

Champs remplis par extraction dans les documents liés

• Cotation (issue de la moyenne des votes lors des sorties, type de moyenne à définir) + graphe de répartition des votes
• Une note de « beauté » de la voie issue de la moyenne des votes lors des sorties, type de moyenne à définir) + graphe de répartition des votes
• Patine

Comment rentrer un iti de couenne

Les voies sont insérées dans le topoguide en rentrant de nouveaux itinéraires. On privilégie les itinéraires associés à des sorties, mais on n’empêche pas de rentrer des topos sans sortie associées : fonctionnement classique du topoguide c2c.

Fonctionnement du champ cotation

1. Tant qu'il n'y a pas eu de sortie, une cotation indicative dans le descriptif de la voie (si elle existe ; supprimable par les modos si ça sent le plagiat - par exemple 10 voies consécutives avec même cote que le topo papier).
2. A chaque sortie, le contributeur se voit obligé de proposer sa cotation dans la sortie (champ prérempli par défaut à la cotation actuelle du descriptif).
   Si tu n'y touches pas, ça vaut acceptation (et ta "voix" est prise en compte).
   Aucune contrainte !
3. Les cotations/beauté sont recalculées avec une moyenne à définir. La proposition de cotation initiale est alors «écrasée»
4. En cliquant sur la cotation du descriptif, on obtient l'historique des cotations (répartition cotation / nbre de vote + graphe de l’évolution de la cot’ dans le temps)
5. /!\ il faut pouvoir repartir à zéro dans le calcul de la cotation lors d'une modif notable de la voie (prise cassée, modif d'équipement qui ajoute ou enlève un pas, etc...)

Difficulté technique

Trouver un système qui permette de facilement donner l’info : voie située entre la voie « dièdre fumeux » et la voie « zapi la zapette » -> Ordonnancement automatique du tableau/topo sur le document « secteur de couenne »
(solution de type « cliquer/glisser » à prévoir ?)

Les sorties couennes

(pas de changement pour les sorties GV)

Orga

Le point d’entrée est le document « Zone d’escalade »

Il a les champs habituels qui s’offrent à lui.

Dessous, sous forme d’un tableau, les listes des voies, organisées par secteurs (repliables, avec des +/-)

Une ligne, une voie.

Sur chaque ligne, sont présents les champs suivants :

Nom de la voie (pas modifiable) / type d’essais / cotation (préremplie) / beauté / petit commentaire.

Champs à menu prédéfini

• Champ type d’essais : il contient les propositions suivantes :
  à-vue | flash | après travail | sortie mais non enchaînée en tête | non sortie en tête | enchaînée en moul' | sortie mais non enchaînée en moul' | non sortie en moul’
• Cotation : les cotations définies sur c2c
• Beauté : note de 1 à 5

Carnet de croix

Visibilité

• Choix possible par le c2csiste : infos visibles ou non dans son profil
• Par contre, il ne peut « cacher» ces infos par l’internaute cherchant via la liste des sorties des documents iti, secteur,…

Quelles infos

Le carnet de croix doit pouvoir :

• tableau de la liste des voies réalisées, triable par type de réalisation (à-vue | flash | après travail | sortie mais non enchaînée en tête | non….), site, année.
• avoir les graphes : cotation/ nbre de voie pour les catégories principales (à vue, flash, après travail,en moul’)
• pouvoir faire ses graphes sur des périodes et des sites et donc se faire des comparaison (comparer ses étés par exemple, pour voir si l'âge se fait sentir )

Impression

L’idéal étant de pouvoir imprimer la totalité d'un site en 1 clic (schéma + texte).

Module/étape de développement

1. Module document_itinéraire

2. Module Drag&drop itinéraire dans document_site (applicable également aux restants du topo-guide) + réalisation document_site

3. Module document_sortie permettant de renseigner les différents champs informations itinéraires dans la sortie (à relier à la problématique conditions de visu)

4. Module statistiques : calcul des champs des itinéraires/sites à partir des informations prises respectivement dans les sorties/itinéraires

Principes généraux

• Création d’itinéraires de couenne/bloc
• Les itinéraires couenne/bloc sont associés aux documents "sites". Si le site d'escalade est découpé en secteur, les itinéraires sont associés à des documents "sites" considérés comme "site-secteurs". Les documents "site-secteurs" sont regroupés/associés à un document "site" considéré comme un "sur-site".

L’organisation est  :
*> site

itinéraire couenne*

ou
*> sur-site

site-secteur
> itinéraire couenne*

Site

Ce paragraphe concerne les sur-site, site ou site-secteur

Partie Informations

Ces informations générales sont remplies lors de l'édition du document.

Ces champs sont éditables.

• Longitude, Latitude, Altitude idem actuel
• Nombre de voies idem actuel
• Cotation maximale idem actuel
• Cotation minimale idem actuel
• Cotation médiane idem actuel Hauteur
• Longueur maximale idem actuel Hauteur
• Longueur minimale idem actuel Hauteur
• Longueur médiane idem actuel Hauteur
• Qualité de l'équipement en place idem actuel
• Styles d'escalade idem actuel
• Pluie idem actuel

• Orientations idem actuel

• Type de site d'escalade : idem actuel (couenne, bloc, SAE + anciennes options pour les modos)

• Type de rocher idem actuel
• Meilleures périodes idem actuel
• Enfant : idem actuel.

Nouveaux champs

• Durée de l’approche champ unique
  1 0min
  5 5min
  15 15min
  30 30min
  45 45min
  60 1h
  90 1h30
  120 2h
  150 2h30
  180 3h

Partie Description

• Description : idem actuel
• Remarques : idem actuel
• Accès pédestre : idem actuel
• Descente des voies : idem actuel
• Bibliographie et webographie : idem actuel
• Historique du site : idem actuel

Nouveaux champs

• Gestionnaire de la falaise champ texte
  liens vers le club ou organisme qui gère la falaise.
• Restriction d'escalade champ texte

Affichage des itinéraires dans la page site

Itinéraire = couenne ou bloc.

Ordonnancement des itinéraires drag&drop

Les itinéraires sont classés dans un tableau/topo, par exemple de gauche à droite.
Le système drag&drop (voir cahier des charges V5) se trouve sur une autre page que celle du document site, par exemple la page d'édition du site ou sur une page dédiée, permettant d'archiver les versions à la fin de chaque modification.

Informations affichés

• Les principales informations sont reprises dans ce tableau (cotation, beauté, nombre point, patine, longueur, style)
• La page de l'itinéraire, avec toutes les informations, s'ouvre en cliquant sur son nom dans le tableau.
• Possibilité d’insérer le schéma de la falaise (agrandi en cliquant dessus).

Itinéraire de plusieurs longueurs dans un site d'escalade de couenne

(ne concerne pas le code)

• 2 longueurs : la deuxième longueur est décrite dans un autre itinéraire.
• 3 longueurs : idem si le nombre de voies en 3 longueurs est faible sur le secteur, secteurs dédiés s'il y en a beaucoup.
• 4 longueurs : voir Grandes Voies avec sommet et itinéraires dédiés. La première longueur est aussi décrite comme une couenne, associée à la grande voie.

Itinéraire

Les itinéraires sont des couennes ou des blocs

Champs remplis lors de l'édition du document

Itinéraire

Les itinéraires sont des couennes ou des blocs.
Schéma http://www.camptocamp.org/images/346879/fr/itineraire-couenne-bloc voir sur le site et pas sur content

Champs remplis lors de l'édition du document

Classe
- nom de classe : Line
- nom de module : lines (pas le choix, c'est le nom de classe + s)
- associations possibles : site, grande voie (routes), sortie, article, image

• nom/name Champs texte

• type/line_type : choix unique obligatoire
  1 : couenne/crag
  2 : bloc/boulder

• Longueur/length nb entier
  développé de la voie ou hauteur du bloc

• nb de mouvements/move_quantity nb entier
  uniquement couenne bloc

• climbing_styles : choix multiple : idem sites (mettre à jour la config des sites)
  2 slab
  3 vertical
  4 overhanging wall
  6 roof
  8 small pillar
  10 dihedral
  12 fingercrack
  14 fist crack
  16 offwidth
  18 chimney
  20 dyno

• Type d'effort/power_type choix multiple
  2 force/power
  4 résistance/power endurance
  6 continuité/endurance

• Relais/Belay choix unique
  2 no anchor
  4 one bolt
  6 two unlinked bolts
  8 two linked bolts
  10 two linked bolts with maillon ou quick link
  [p]

• Nbre de points/Number of bolts nb entier
  uniquement couenne

• Type de point/Type of bolts choix multiple
  uniquement couenne
  2 pitons
  4 cheville autoforeuse
  6 expansion bolts
  8 stainless steal expansion bolts
  10 glue-in bolts

• Cotation/rock_rating idem site

• Exposition idem GV

• Équipement idem GV

• Pluie/rain_proof idem site

• intérêt/interest : choix unique
  2 : *
  4 : **
  6 : ***
  8 : *
  10 : **

• Beauté/scenery : choix unique
  2 : *
  4 : **
  6 : ***
  8 : *
  10 : **

• Patine/polish_rating choix unique
  2 : very polished
  4 : polished
  6 : unpolished

• qualité rocher/rock_quality choix unique
  2 : awful quality
  4 : poor quality
  6 : mean quality
  8 : good quality
  10 : excellent quality

• description/description Champs texte

• affichage commentaires des sorties

• historique/line_history idem GV

http://content-factory.dev.camptocamp.org/articles/127051/fr/itineraire

Comment rentrer un itinéraire

C'est le fonctionnement classique du topo-guide.

Sorties

Version 1

C'est la même chose que les sorties actuelles.

Version 2 (Module 3 de développement) À voir ultérieurement

Système de saisie des sorties
http://www.camptocamp.org/forums/viewtopic.php?pid=1668018#p1668018
http://www.camptocamp.org/forums/viewtopic.php?id=151286

Dessous, sous forme d’un tableau, les listes des voies, organisées par secteurs (repliables, avec des +/-)
Une ligne, une voie.
Sur chaque ligne, sont présents les champs suivants :
Nom de la voie (pas modifiable) / type d’essais / cotation (préremplie) / beauté / petit commentaire.

Champs à menu prédéfini

• Champ type d’essais : il contient les propositions suivantes :
• à-vue
• flash
• après travail
• sortie mais non enchaînée en tête
• non sortie en tête
• enchaînée en moul'
• sortie mais non enchaînée en moul'
• non sortie en moul’
• Cotation : les cotations définies sur c2c
• Beauté : note de 1 à 5

Impression

La totalité des informations d'un site (texte général + descriptions textuels des voies + schéma des voies) s'imprime en une étape.

Options

Affichage - Pictogramme

• Enfants : pictogrammes
• Pluie : pictogrammes
• Orientations : rose des vents.
• Meilleures périodes : 3 niveaux avec un affichage "J F M A M J J A S O N D" avec les bons moins en coloris vert, les mois moyens en orange, les mauvais mois en rouge.

Site - Informations calculées

Ces informations sont calculés à partir des itinéraires couennes/blocs réellement associés au document site. Ces informations sont différentes des informations générales remplies lors de l'édition de la page site.
Ces informations sont calculées à chaque MAJ des itinéraires couennes/blocs et archivées dans la base de donné. Ces informations à jours sont affichées dans la dernières version du document site. Une nouvelle version du document site n'est pas créée lors d'une mise à jour de ces données.
Les champs ne sont pas éditables.

• Nombre de voies couenne/bloc
• Nombre de voies couenne/bloc versus difficulté
• Cotation maximale :
• Cotation minimale :
• Cotation médiane moyenne en nombre
• Longueur maximale :
• Longueur minimale :
• Longueur médiane moyenne en nombre
• Champ Enfant dans les sur_site : calculer et mettre dans la base la valeur minimum des sites_secteurs => non éditable pour les sur-sites
  Option (?)

Si le nb de couennes associées est égale ou supérieur au nb de couennes indiqué à la main :

• Seules les données calculées sont affichées
• Les données calculées sont sauvegardées dans les nouveaux champs non éditables ET dans les anciens champs éditables (s'il existe un ancien champ identique)
• A l'édition, les anciens champs ne sont plus affichés, sauf le nb de voies qui est visible pour les modos (permettant de revenir à l'affichage double en cas d'erreur sur le nb de voie total indiqué initialement)

Graphique Nombre voies couenne/bloc versus difficulté

Code de couleur
- Bloc :
- 2 : beige
- 3 : jaune
- 4 : vert
- 5 : bleu
- 6 : rouge
- 7 : noir
- 8 : blanc
- Couenne :
- 3 : beige
- 4 : jaune
- 5 : vert
- 6 : bleu
- 7 : rouge
- 8 : noir
- 9 : blanc

Fonctionnement du champ cotation - votation

Champs remplis par extraction dans les documents liés

• Cotation (issue de la moyenne des votes lors des sorties, type de moyenne à définir) + graphe de répartition des votes
• Une note de « beauté » de la voie issue de la moyenne des votes lors des sorties, type de moyenne à définir) + graphe de répartition des votes

• Patine

• Tant qu'il n'y a pas eu de sortie, une cotation indicative dans le descriptif de la voie (si elle existe ; supprimable par les modos si ça sent le plagiat - par exemple 10 voies consécutives avec même cote que le topo papier).

• A chaque sortie, le contributeur se voit obligé de proposer sa cotation dans la sortie (champ prérempli par défaut à la cotation actuelle du descriptif).
  Si tu n'y touches pas, ça vaut acceptation (et ta "voix" est prise en compte).
  Aucune contrainte !
• Les cotations/beauté sont recalculées avec une moyenne à définir. La proposition de cotation initiale est alors «écrasée»
• En cliquant sur la cotation du descriptif, on obtient l'historique des cotations (répartition cotation / nbre de vote + graphe de l’évolution de la cot’ dans le temps)
• /!\ il faut pouvoir repartir à zéro dans le calcul de la cotation lors d'une modif notable de la voie (prise cassée, modif d'équipement qui ajoute ou enlève un pas, etc...)

Statistique - Carnet de croix

Les statistiques ne sont pas affichés directement dans le profil. Le contributeur choisi, ou non, de les afficher.

• Tableau de la liste des voies réalisées, triable par type de réalisation (à-vue | flash | après travail | sortie mais non enchaînée en tête | non….), site, année.
• Graphique : cotation/ nbre de voie pour les catégories principales (à vue, flash, après travail,en moul’)
• Pouvoir faire ses graphes sur des périodes et des sites et donc se faire des comparaison (comparer ses étés par exemple, pour voir si l'âge se fait sentir )

Schéma

Le besoin des schémas modifiables et « versionnables » étant commun à beaucoup des activités de c2c, ce n’est pas spécifique au cdc couenne, et ce n’est donc pas traité ici. Si quelqu'un se dévoue pour faire un cdc propre, you’re welcome.
A intégrer ds cette réflexion :

• gestion des schéma/photos avec le reste du topo (lien vers les voies ?)
• nom des voies
• numéros
• cotations ?

Traversée de la Maurienne au Queyras

C'est un raid à ski bien sympa, qui se déroule sur 5 jours, depuis Valmeinier (Savoie) jusqu'à Guillestre-Montdauphin (Hautes Alpes) au travers des Cerces/Thabor et du Queyras. Il peut aussi se faire en randonnée pédestre en revoyant le découpage des étapes.

• Altitude min/max : Min : 900 m (à l'arrivée sur Saint Crépin, sinon tout le raid est >1500m) Max : 3178 m au Thabor
• Activité : Ski de randonnée
• Durée : 5 jours
• Type d'itinéraire : traversée
• Difficulté : peu difficile (ski 2.3) - dénivelée +7100 m, -7900 m.
• Points d'intérêt : un raid qui tangente des secteurs très courus, mais qui forme un ensemble assez sauvage
• Départ / Arrivée : Valmeinier 1800 / Saint Crépin - Guillestre Montdauphin
• Transports :
• Aller : Descendre à la gare SNCF de Saint Michel de Maurienne, prendre la Ligne M8 entre St Michel de Maurienne et Valmeinier 1800 (arrêt "maison de Valmeinier"). Horaires sur https://vente-bellesavoieexpress.fr/nos-lignes . Excellence correspondance avec le TER (5min d'attente)

• Retour : Depuis St Crépin, 5 km de stop jusqu'à la gare SNCF de Guillestre-Montdauphin. Le trajet Briançon/Gap puis Gap/Grenoble est un peu longuet en train, on pourra avoir avantage à passer par Briançon (ligne LER35 Briançon/Grenoble : https://www.transdevdauphine.com/fr/ligne-LER-35)

• Jr 1: De Valeinier 1800 au refuge de Terre Rouge 2182 m - 2h/2h30
  Alt min: 1700 m Alt max: 2200 m
  Au départ de Valmeinier 1800, prendre le sentier d'abord rive droite (balisage, généralement bien tracé), on passe rapidement rive gauche, pour finir rive droite. Petite chapelle sur un promontoire, juste avant l'arrivée au refuge de Terre Rouge.

• Jr 2: Du refuge de Terre Rouge aux Grandes de la Vallée Étroite - 8h00 avec les rallonges
  Alt min: 1500 m Alt max: 3178 m
  Du refuge de Terre Rouge, remonter le vallon jusqu'à la Pointe de Terre Rouge (3080 m, ou plus simplement au Passage du Thabor), faire une tangente au N du Pic du Thabor pour traverser le col du Peyron jusqu'au lac du Peyron, remonter au Mont Thabor et sa chapelle (3178 m). Plusieurs combes sont possibles pour rejoindre le Prat du Plan, puis les Granges de la Vallée Étroite, nous avons choisi celle du Lac Blanc. 2 refuges possibles dans la Vallée Étroite, I Rei Mage (mythique) et Tre Terzo Alpini (non moins mythique)

• Jr 3: Du refuge de la Vallée Étroite au Laus de Cervières 1750 m - 10h00 sans les rallonges
  Alt min: 1768 m Alt max: 2500 m
  Du refuge de la Vallée Étroite, descendre la piste de ski de fond jusqu'à Pian del Colle, remonter le vallon jusqu'au col des Acles (2277 m), descendre jusqu'aux chalets des Acles en suivant le chemin d'été, continuer jusqu'aux cols de Dormillouse et de la Lauze, rejoindre la station de Montgenèvre (épicerie possible). Avec un forfait rando, prendre le télémix des Chalmettes puis le télésiège des Gondrans, descendre versant S sur Cervières via le Mur des Aîttes. Remonter jusqu'au Laus (piste de ski de fond ou stop), gîte de l'Arpellin.
  Cette étape est longue, il est possible de la couper en deux en dormant à Montgenèvre.

• Jr 4: Du Laus de Cervières à Souliers 1820 m - 6h00
  Alt min: 1750 m Alt max: 2915 m
  Du Laus, prendre les pistes de ski de fond jusqu'au bois des Oulles, pour gagner le col des Portes (2915 m). Descendre S la Casse des Clausins jusqu'au gîte de Souliers.

• Jr 5: De Souliers à Saint Crépin 900 m - 8h00
  Alt min: 900 m Alt max: 2727 m
  De Souliers, prendre la piste de ski de fond jusqu'à Arvieux, remonter le vallon de Clapouse jusqu'au col 2727 m sous le Pic du Beal Traversier. Descendre W via Peyre Murenq où l'on retrouve une piste 4×4 qui nous mène jusqu'aux Guions où vous déchausserez si vous avez de la chance avec l'enneigement ! Puis finir par le sentier découverte jusqu'à St Crépin, et faire un coup de stop pour Guillestre (S) ou Briançon (N)

• Bonus: La Vallée Étroite, française depuis le traité de Paris (1947), vous plongera dans une sympathique ambiance italienne !

• Topo: https://www.camptocamp.org/outings/1089212/fr/traversee-valmeinier-guillestre-via-cerces-et-queyras-en-mobilite-douce

Traversée de la Vanoise en 2 jours par le Col de la Vanoise jusqu'à Val-Cenis

Une traversée dans la Vanoise qui conjugue randonnée et chantier d'installations obsolètes.

• Altitude min/max : Min : 1644 m Max : 2515 m
• Activité : Randonnée
• Durée : 2 jours de traversée, 4 en comptant le chantier
• Type d'itinéraire : traversée
• Difficulté : moyenne
• Dénivelé: +900 m / -900 m
• Points d'intérêt : De nombreuses marmottes et des glaciers jusqu'à juillet
• Départ / Arrivée : Pralognan-la-Vanoise / Lanslebourg-Mont-Cenis
• Transports :
  Aller: TGV Paris Chambéry, puis TER à Chambéry jusqu'à Moûtiers, puis la ligne de bus S66 jusqu'à Pralognan-la-Vanoise. Plus d'infos sur les cars Région Hors saison, peu de bus disponibles, il est toujours possible de faire du stop.
  Retour: Bus M12 de Lanslebourg-Mont-Cenis à Modane puis TER jusqu'à Chambéry puis TGV jusqu'à Paris

Jour 1 : Pralognan - Refuge d'Entre Deux Eaux (6h30 de marche, 17.4km, 1246D+, 550 D-)
Une fois arrivé à Pralognan, suivre la maison de la Vanoise. Trouver le GR55 et entrer dans la forêt, jusqu'à la magnifique cascade de la Fraiche, où il est possible de remplir les gourdes. Suivre le GR55 en forte montée à travers le bois de la Glière. Passer le refuge des Barmettes, puis poursuivre la montée jusqu'au lac des Vaches, que l'on traverse à gué sur un chemin de pierres. La montée nous mène jusqu'au refuge du Col de la Vanoise. Admirer les glaciers environnants et poursuivre dans la même direction, en longeant de petits lacs qui ont bien subis des effets de canicule. Suivre le GR55 dans une descente très importante, puis, après avoir franchi le Mont de Croé Vie, quitter le GR55 plein S, vers le refuge d'Entre Deux Eaux. Sur le chemin, nous avons vu de très nombreuses marmottes!
Nous avons dormi au refuge entre des glaciers.

Jour 2 : Refuge d'Entre Deux Eaux - Col du Mont Cenis (6h de marche, 24.7km, 1300D+, 1350 D-)
Départ tôt (6h) car menace d'orage l'après-midi. Douce marche jusqu'au pont de la Renaudière, où l'on retrouve le GR55 direction S. Montée abordable jusqu'au refuge du Plan du Lac, qui est très fourni en équipements pédagogiques pour découvrir la faune et la flore du Parc. Ensuite, longue descente en atteignant le lac, puis le parking de Bellecombe. Virer à gauche et suivre le long sentier en flanc d'alpage, avec une vue magnifique sur la vallée, surtout en fin de matinée. Une fois arrivé au Bois de Fontaniou, Lanslebourg sera indiqué, via un sentier à forte pente qui nécessite de quitter le GR55. Arrivée à Lanslebourg vers 12h, de nombreux restaurants et magasins de charcuterie pour déjeuner sur place.

Nous avons continué par la montée au Col du Mont-Cenis pour dormir à l'auberge du Col du Mont Cenis. La montée se fait en 1h30 de marche, par le chemin de la Ramasse (appelé ainsi car les porteurs "ramassaient" les voyageurs pour leur faire passer le col, avant la construction de la route de Lanslebourg au col).

Jours 3 & 4:
Nous avons pris le chemin de la Ramasse pour rejoindre le chantier de démantèlement des installations obsolètes au pas de la Beccia en étant bénévoles de l'association Mountain Wilderness. Le chantier est au pas de la Beccia (2710 m, encore une petite rando 😄!) se situe en face de l'auberge (2085 m), en passant devant le fort de Turra. Pour en savoir plus: La campagne Installations Obsolètes de retour en Maurienne
Au pas de la Beccia (photo AVANT & APRES), nous avons une vue sublime sur le lac du Mont Cenis! Plusieurs parcours de randonnée sont possibles à partir d'ici, nous sommes déjà ravis de revenir 😄 pour continuer ce trek!

Informations complémentaires :
Il existe une navette allant du refuge d'Entre Deux Eaux à Termignon (horaires à vérifier avant votre départ), si vous souhaitez faire uniquement la première journée (la plus belle, au milieu des glaciers). Le lac du Mont Cenis, par-delà le col, est magnifique, mais il n'y a pas de bus permettant de le rejoindre depuis Lanslebourg.

Le long de la Grande Casse

Randonnée au caractère brut, dominée par les seigneurs des lieux « la grande motte et la grande casse » il suffit néanmoins d'ouvrir les yeux pour en découvrir le charme et la magie : à commencer par "l'Œil de la Grande Casse", pli rocheux, situé sous la Grande Casse, en rive droite du torrent de la Leisse.

• Altitude min/max : Min : 1422 m Max : 2761 m
• Activité : Randonnée
• Durée : 2 jours
• Type d'itinéraire : traversée
• Difficulté : facile
• Points d'intérêt : Marmotte. Vue sur le Glacier des Grands Couloirs depuis le col de la Vanoise ainsi que lacs divers, Bouquetins.
• Départ / Arrivée : Tignes / Pralognan la Vanoise
• Transports :
• Aller : Descendre à la gare SNCF de Bourg-Saint-Maurice, prendre la Ligne T15 direction Tignes Val Claret, jusqu’au Lieu-dit Val Claret. Du 8 juillet au 25 août, 3 dessertes par jours.

• Retour : Prendre le bus T6 entre Pralognan et Moûtiers. Retour Gare de Moutier.
  Renseignements complémentaires (http://www.mobisavoie.fr/)

• Jr 1: De Val Claret au refuge d'Entre-Deux-Eaux - 6h30
  Alt min: 2130 m Alt max: 2761 m au col de la Leisse
  Au départ de Tignes Val Claret, on rejoint le GR 55 et on passe le col de la Leisse, puis le refuge de la Leisse
  Points d'intérêt: chamois sur la rive gauche du torrent de la Leisse, lagopèdes, fleurs d'altitude, paysage minéral (cargneules, gypse)

• Jr 2: Du refuge d'Entre-Deux Eaux à Pralognan la Vanoise -6h00
  Alt min: 1422 m Alt max: 2517 m
  Par le pont de Croé -Vie et le Col de la Vanoise, puis refuge des Barmettes et Pralognan
  Points d'intérêt: marmotte. Vue sur le Glacier de la Grande Casse au col de la Vanoise ainsi que lacs divers

• Bonus: Possibilité de dormir au refuge des Barmettes avant le retour sur Pralognan la Vanoise.
  Possibilité de faire le Tour de la Grande Casse en 5 jours

• Topo: www.vanoise-parcnational.fr/fr/download/file/fid/540

Randonnée entre le monolithe de Sardières et le télégraphe Chappe

• Altitude (m) Min : 1523 m Max : 1948 m
• Activité : Randonnée
• Durée : 4h30
• Dénivelé : 537 m
• Longueur : Boucle 8 km
• Difficulté : Facile (1)
• Transports : Desserte ferroviaire jusqu'à Modane. Renseignements : www.voyages-sncf.com
• Aller :
  De la gare de Modane, prendre la ligne M11 (Modane-Aussois). En été circule uniquement le samedi, en hors saison touristique les jours de semaine en lien avec le horaires des collégiens.
  Renseignements : http://vente.mobisavoie.fr/fr#/9730e792-73ce-4e38-402a-0f716d2d6b4a/booking/1/arrival-station (indiquer destination Aussois - Départ Modane)
  En dehors des horaires de circulation des cars ne pas hésiter à pratiquer l’autostop, Point Stop situé en aval de la gare à 1.3km, au rond-point prendre à gauche traverser le pont puis à droite se placer au pied de la montée vers Aussois.
  Renseignement : Rezopouce.fr.
  D’Aussois, prendre la direction de Val Cenis Sardières soit à pied soit en stop jusqu'au lieu-dit «  La Croix » (en amont de Val Cenis Sardières).

• Retour: Même schéma.

• Départ : Traverser le village en direction de Sardières. Après un kilomètre, se trouve un parking avec une croix et des panneaux d'information, c'est le point de départ.

• Informations : Office de tourisme - Aussois
  43 route des Barrages, 73500 Aussois
  http://www.aussois.com/
  info@aussois.com
  04 79 20 30 80

Circuit en forêt à la découverte du patrimoine géologique et historique
Les senteurs de pins et la couleur claire de la roche évoque le S, on entendrait presque la guitare de Nino Ferrer. Ici la Maurienne est bien le lieu de transition entre les Alpes du Nord et celles du S. La promenade dans ces forêts d'adret est apaisante, lorsque le Monolithe surgit brutalement au détour d'un virage, on est presque surpris, rien ne laisse ici attendre tant de verticalité. Une pause déjeuner au télégraphe Chappe invite le contemplateur à survoler la multitude de sommets à plus 3000 m formant la chaîne frontalière avec l'Italie. Peut-être aurez vous une pensée pour ces hommes chargés du fonctionnement du télégraphe qui stationnaient en ce lieu, des jours durant, scrutant l'horizon tel Giovanni Drogo attendant l'ennemi dans « Le désert des Tartares ».

• Départ / Arrivée : Parking du Plan de la Croix
  Communes traversées : AUSSOIS, VAL-CENIS

• Information complémentaire: À proximité de cette randonnée se trouve le Parc Archéologique des Lozes qui abrite des gravures rupestres du néolithique et de l’âge de fer, des visites guidées sont gratuites tous les mercredis après-midi durant l'été. Pour se rendre au Parc archéologique des Lozes depuis Aussois: Emprunter la Rue saint Nicolas jusqu'au Parking puis continuer tout droit sur le chemin. Ensuite, prendre le chemin qui par sur la gauche après l'épingle (celui qui monte). Il rejoint la route. Arriver a la route, prendre le chemin sur la droite, direction Parc archéologique des Lozes!

• Topo : www.camptocamp.org/routes/315078/fr/monolithe-de-sardieres-depuis-aussois
  http://rando.vanoise.com/pedestre/entre-le-monolithe-de-sardieres-et-le-telegraphe-chappe/

Tour du lac de la Plagne

• Altitude min/max : Min : 1559 m Max : 2316 m
• Activité : Randonnée
• Durée : 5h
• Dénivelé : 819 m
• Type d'itinéraire : Boucle de 15 km
• Difficulté : Facile (1)
• Transports : Desserte ferroviaire jusqu'à la gare de Landry. De là, prendre la Navette entre Landry et Peisey Nancroix (Ligne orange), puis descendre à l'arrêt “ les Amis” Et prendre une autre navette ( Ligne Bleu) de cet arrêt jusqu’à Rosuel (Terminus).
  Desserte par navettes gratuites, du 3 juillet au 1^er septembre, tous les jours. Même schéma pour le retour. 3 navettes par jour.
  Renseignement disponible directement la mairie de Peisey Valandry ou sur leur site internet: https://www.peisey-vallandry.com/ ou +33 (0)4 79 07 88 67

Renseignements : www.transavoie.com
Pensez également covoiturage avec www.mobisavoie.fr

• Départ / Arrivée : Parking du refuge porte de Rosuel
  Quitter le refuge porte de Rosuel en direction du fond de vallon sur le GR®5. On laisse le sentier de découverte sur la droite pour s'élever à travers des éboulis puis l'aulnaie. Le sentier de débonnaire devient vite assez raide avec quelques passages nécessitant toute notre attention. Le contournement des contreforts de l'Aiguille Motte (alt. 1916 m) marque l'infléchissement du chemin qui suit rive gauche le torrent du Ponturin. Le suivre jusqu'au lac de la Plagne puis au refuge d'Entre-le-lac. Juste au-dessus du refuge une bretelle permet de traverser rive droite sur le plan de la Grassaz. Après une courte montée on retrouve le GR®5 et l'on peut entamer la descente jusqu'au lieu-dit « des pertes du Ponturin ». Le sentier du retour est alors celui emprunté à la montée.

• Variante sur 2 jours : https://www.camptocamp.org/outings/858892/fr/le-tour-de-la-vallaisonnay

• Topo : http://rando.vanoise.com/pedestre/tour-du-lac-de-la-plagne/

Pointe de la Grande Glière : Arête S

Un circuit chargé d'histoire, des paysages grandioses, un cadre de haute montagne. Cet itinéraire ravira les amoureux de grands espaces. Laissez vous séduire par la succession de glaciers, lacs, cascades. Admirez ces fleurs colorées au pied des parois vertigineuses. Et, si la chance vous sourit, vous verrez peut-être planer dans ce décor somptueux, le fameux vautour **«casseur d'os », le gypaète barbu. **

• Altitude min/max : 2511 m / 3392 m
• Activité : Alpinisme rocheux
• Durée : 1 Jour (compter un peu plus avec la montée au refuge)
• Dénivelé : 1000 m
• Type d'itinéraire : Boucle
• Difficulté : Confirmé PD, III
• Points d'intérêt : Nombreux Bouquetins, La vue sur les principaux sommets de la Vanoise est superbe, en particulier sur la Grande Casse et les glaciers de la Vanoise, qui sont tout proches. Au loin, le Grand Paradis, les sommets italo-suisses, les Grandes Rousses, les Écrins ou le Viso sont également bien visibles
• Transports : Prendre la ligne T6 entre Moûtiers et Pralognan la Vanoise. Navette a réserver la veille avant 12h directement sur Mobisavoie.fr ou au 08 20 20 53 30. Durant l’été 2017: 2 dessertes par jour du Dimanche au vendredi, 1 seule desserte le samedi. Montée au refuge soit par le vallon de la Glière et le lac des Vaches, soit par le vallon de l'Arcelin et le lac des Assiettes (asséché).
  Renseignements : http://www.transdevsavoie.com/fr#/
  Réservation : https://www.altibus.com/reservation/garesDepart.aspx?gd=MOUTIERS

Depuis le refuge du col de la Vanoise : montée décrite dans le topo puis descente par le glacier jusqu'au lac des Vaches. Retour à Pralognan par le vallon de la Glière.

• Topo : https://www.camptocamp.org/outings/793833/fr/pointe-de-la-grande-gliere-arete-s-voie-normale-changer-d-approche-j1-j2

Pointe de la Fenêtre : Versant N

Une belle randonnée sur l'échine dorsale séparant le sauvage vallon des encombres de la plus aménagée vallée des Belleville.
Des crêtes au torrent, la rive gauche de la vallée des Encombres fait partie d'une réserve de chasse qui regroupe environ 1300 chamois ainsi que des chevreuils, des cerfs et des bouquetins. Très avalancheuse, cette vallée les préserve naturellement des dérangements hivernaux qui leur seraient fatals en cette période de repos. Les animaux occupent les pentes S durant la période froide car la neige n'y tient jamais longtemps. Sur ces pentes exposées au soleil, les avalanches dégagent rapidement l'herbe sèche dont ils se nourrissent. Au printemps, la verdure les attire près des ruines de Planlebon. Ils regagnent ensuite les hauteurs où ils se font plus discrets, mettant l'été à profit pour s'engraisser.

• Altitude min/max : 1339 m / 2268 m
• Activité : Raquette, ski de randonnée
• Durée : 1 jour
• Dénivelé : +929 m / -929 m
• Type d'itinéraire : aller-retour
• Difficulté : Confirmé (2)
• Points d'intérêt : Vue à 360° sur la Vanoise, les Encombres, Péclet-Polset

• Transports : Accès en train jusqu'à Moûtiers puis prendre la navette ligne T3 direction Val Thorens. Descendre à l'arrêt St Martin de Belleville Mairie puis marcher jusqu'au hameau du Châtelard par la route.
  Renseignements sur mobisavoie.fr ou au 08 20 20 53 30 pour réserver votre place ou au 0 820 205 330

• Montée
  Départ du hameau du Châtelard, commune de St Martin de Belleville. Du parking (1339 m, au centre du hameau), prendre au S un sentier balisé par des panneaux jaunes (direction Lachat). La progression se fait sans difficulté toujours au S dans des zones d'aulnes verts. Les indications par panneaux sont nombreuses. Suivre "Pralautray" puis "les Biolleys", ces lieux sont bien indiqués et toujours plein S. À partir de 1900 m se diriger dans un petit vallon qui mène au col de la Fenêtre. À proximité du col, apercevoir, sur la gauche, deux chalets d'alpage, puis après le col, dans un paysage devenu grandiose et dégagé, se diriger en direction SW dans un vallon à pente faible en tirant légèrement à droite. Le sommet marqué par une perche de bois est atteint en se dirigeant vers le N sur quelques dizaines de mètres de dénivelée.

• Descente
  La descente se fait par le même itinéraire, mais il est préférable d'éviter la zone d'aulnes verts sur la partie basse en passant par la combe indiquée "ruisseau des Vernes" sur la carte IGN.

• Remarques :
  Pas de difficulté majeure, orientation facile.
  Sauf dans le final, l'exposition est pratiquement toujours plein N, les pentes ne voient pas trop le soleil.
  Rochers affleurant en de nombreux endroits s'il n'y a pas beaucoup de neige.

• Topo : https://www.camptocamp.org/routes/52134/fr/pointe-de-la-fenetre-versant-n

Vallon de la Rocheure

• Altitude min/max : Min : 2199 m Max : 2414 m
• Activité : Randonnée, Raquette, ski de randonnée
• Durée : 6h30
• Dénivelé : 625 m
• Type d'itinéraire : aller-retour
• Difficulté : Facile
• Transports : Desserte ferroviaire jusqu'à Modane. Renseignements : www.voyages-sncf.com
  • Aller : De la gare de Modane , prendre la ligne M12 (Modane- Bonneval) et s’arrêter à Val Cenis Termignon. Ensuite, prendre la navette Gratuite (Ligne 2) entre Val Cenis Termignon et le parking de Bellecombe ( Direction Entre-deux-Eaux).
  • Renseignements : http://vente.mobisavoie.fr/fr#/9730e792-73ce-4e38-402a-0f716d2d6b4a/booking/1/arrival-station (indiquer destination Termignon - Départ Modane)
  Pour horaires ligne 2 : http://www.haute-maurienne-vanoise.com/fr/pratique/acces-transports ou Mairie de Val Cenis Termingnon : 04 79 20 51 49
  • Habituellement la ligne circule les deux derniers week end de juin, tout l'été, et les deux premiers week-end de septembre. Se renseigner auprès de la Mairie de Termignon-Valcenis.

En dehors des horaires de circulation des cars ne pas hésiter à pratiquer l’autostop, Point Stop situé en aval de la gare à 1.3km, au rond-point. Se placer au pied du panneau..
Renseignement : Rezopouce.fr
Retour : Même schéma

• Du parking de Bellecombe (alt. 2307 m), prendre la direction des refuges de Plan du Lac et de la Femma. Longer le Lac de Plan du Lac (alt. 2365 m) avant d'arriver au refuge du même nom. Prendre le sentier qui part au NE, en direction du refuge de La Femma. Ce sentier traverse un glacier rocheux puis s'oriente vers l'E au niveau du trou du Chaudron. Une traversée descendante amène au fond du vallon, au croisement avec la piste carrossable de La Rocheure (alt. 2180 m). Suivre la piste vers l'E, passer devant la chapelle Saint-Jacques puis traverser le pont qui enjambe le Doron avant d'arriver au chalet de La Rocheure (alt. 2250 m). Au chalet, la piste s'arrête pour se transformer en sentier facile jusqu'au refuge de La Femma (alt. 2352 m), but du circuit. Le retour se fait par le même chemin avec une variante possible.

• Refuge-porte de Plan du Lac labellisé « Tourisme et handicap » pour les 4 types de déficiences. Espace d'interprétation et outil audio-tactile pour faciliter l'accès au savoir des mal et non-voyants. Le refuge est ouvert de début juin à fin septembre, une gardienne s'y trouve en permanence, elle assure l'accueil et l'intendance du refuge.

Bonus: on peut rallonger d'une journée la ballade en dormant au refuge de la Femma et en allant jusqu'au col de la Rocheure, puis redescendant vers Val d'Isère via le refuge du Fond des Fours jusqu'au hameau du Manchet. Retour via navette ligne jaune Gare routière - Pont du Joseray (période avril-mai)horaires en attente pour la période estivale

• Topo : http://rando.vanoise.com/pedestre/vallon-de-la-rocheure/
  https://www.altituderando.com/Lac-de-la-Rocheure-et-Col-de-La

Dent Parrachée, Brèche de la Loza

Cette élégante et haute montagne brille sur une bonne partie de la Haute Maurienne. Elle impressionne avec ses lignes effilées et paraboliques qui projettent des piliers de calcaire jusqu’au ciel. Le versant S rocheux contraste avec le bassin N complètement glaciaire. Elle n’offre pas d’accès aisé et la brèche de la Loza est l’un des plus commodes. C’est une course à pratiquer avec de la neige, par météo fraiche. Le couloir orienté W donne accès au versant sommital S.

• Activité : Alpinisme neige et mixte
• Durée: 1 jour (+ 2h pour le refuge)
• Dénivelé positif: 1100 m depuis Aussois + 1200 m
• Altitude max: 3697 m
• Difficulté : confirmé PD, II, 40°
• Transports : Desserte ferroviaire jusqu'à Modane. Renseignements : www.voyages-sncf.com

Aller :
De la gare de Modane, prendre la ligne M11 (Modane-Aussois). En été circule uniquement le samedi, en hors saison touristique les jours de semaine en lien avec le horaires des collégiens.
Renseignements : http://vente.mobisavoie.fr/fr#/9730e792-73ce-4e38-402a-0f716d2d6b4a/booking/1/arrival-station (indiquer destination Aussois - Départ Modane)
En dehors des horaires de circulation des cars ne pas hésiter à pratiquer l’autostop, Point Stop situé en aval de la gare à 1.3km, au rond-point prendre à gauche traverser le pont puis à droite se placer au pied de la montée vers Aussois.
Renseignement : Rezopouce.fr.

Retour : même schéma

IGN - 3534OT - Les Trois Vallées - Modane - Parc National de la Vanoise
Plusieurs choix pour dormir, refuge FFCAM de la Dent Parrachée et du Fond d’Aussois, refuges privés de la Fournache et de Plan Sec. Gardé en général de février à septembre (cf http://www.refuges-vanoise.com).
Matériel nécessaire : crampons, piolet, encordement.
Itinéraire : remonter le vallon de la Fournache et repérer le couloir évident de la Loza dans l’arête S de la Dent Parrachée. Le couloir et orienté W (40°). Au sommet, prendre encore un peu de dénivelé avant de s’engager dans la face S. Rejoindre l’arête qui relie la Pointe de la Fournache avec la Dent Parrachée, puis la suivre jusqu’au sommet. Attention aux conditions de neige en face S, le réchauffement est à surveiller.
Descente : par le même itinéraire, si l’horaire le permet. Sinon prendre l’arête W de la voie normale. Elle est rocheuse et mène au col de la Dent Parrachée. La boucle par ses deux itinéraires représente une très belle course variée.
Patrimoine architectural : les barrages d'Aussois - Plan d'Aval et plan d'Amont
Patrimoine naturel : forêt de pins cembro (à proximité des barrages d'Aussois), flore alpine, les glaciers de la Vanoise.
Géologie : sommet composé de calcaire noir schisteux, en aval quartzite et cargneule, glacier rocheux.

• Topo: https://www.camptocamp.org/routes/46873/fr/dent-parrachee-par-la-breche-de-loza
  https://www.camptocamp.org/routes/53851/fr/dent-parrachee-voie-normale-et-descente-par-la-breche-de-la-loza
• Variante : La face N présente plusieurs couloirs en AD - 45/50° en neige et glace à pratiquer au printemps. À faire depuis le refuge de la Dent Parrachée et le col du Moine.

Le tour de Méan Martin et du Grand Roc Noir

• Altitude min/max : Min : 1301 m Max : 2976 m
• Activité : Randonnée
• Durée : 21h30 de marche sur 4 jours
• Dénivelé : 4930 m
• Type d'itinéraire : Boucle de 70 km
• Difficulté : Difficile (3)
• Transports : Desserte ferroviaire jusqu'à Modane. Renseignements : www.voyages-sncf.com
  Aller : De la gare de Modane , prendre la ligne M12 (Modane- Bonneval) et s’arrêter à Val Cenis Termignon. Ensuite, prendre la navette Gratuite (Ligne 2) entre Val Cenis Termignon et le parking de Bellecombe (Direction Entre-deux-Eaux).
  • Renseignements : http://vente.mobisavoie.fr/fr#/9730e792-73ce-4e38-402a-0f716d2d6b4a/booking/1/arrival-station (indiquer destination Termignon - Départ Modane)
  Pour horaires ligne 2 : http://www.haute-maurienne-vanoise.com/fr/pratique/acces-transports ou Mairie de Val Cenis Termignon : 04 79 20 51 49
  • Habituellement la ligne circule les deux derniers week-end de juin, tout l'été, et les deux premiers week-end de septembre.
  En dehors des horaires de circulation des cars ne pas hésiter à pratiquer l’autostop, Point Stop situé en aval de la gare à 1.3km, au rond-point. Se placer au pied du panneau.
  • Renseignement : Rezopouce.fr

Retour : Prendre la ligne M12 (Bonneval Modane) au Départ de Val Cenis Termignon

Randonnée de 4 jours (Marcheur moyen)

• Point de départ : refuge du Plan du Lac
  Pour marcheur moyen habitué à la randonnée en montagne. Sentiers balisés. À programmer à partir de juillet à fin septembre. Se renseigner sur l’état d’enneigement des cols, surtout de ceux dépassant 2900 m (auprès des gardiens de refuge notamment).
  Retour à Termignon.

• Étape 1 : du refuge du Plan du Lac au refuge du Fond des Fours - 7h -
  Altitudes minimale: 2307 m maximale: 2911 m
  Par la Chapelle St Jacques, le refuge de la Femma, le col de la Rocheure (2911 m). En cas de mauvais temps, descendre la vallée des Pissets jusqu'au parking du Manchet (2000 m), puis remonter au refuge du Fond des Fours. Vous croiserez sûrement des lagopèdes alpins et pourrez admirer la flore alpine et les lacs des Roches. La chapelle St Jacques constitue également un point d'intérêt.

• Étape 2 : du refuge du Fond des Fours au gîte de Bonneval Tralenta - 5h -
  Altitudes minimale: 2085 m maximale: 2976 m
  Par le Col des Fours (2976 m), le Pont de la Neige d'où l'on rejoint le GR5 et la Chapelle St Barthélémy. Vous parcourez ainsi le Vallon de la Lenta habité par les marmottes.

• Étape 3 : du gîte de Bonneval-Tralenta au refuge de Vallombrun - 5h30 -
  Altitudes minimale: 1695 m maximale: 2259 m
  Par le chemin du Petit Bonheur (GR5E) jusqu'au Villaron puis par Bessans où l'on retrouve l'itinéraire du GR5, le Collet et le Col de la Madeleine et la Chapelle St Antoine. Vous pourrez admirer les peintures rupestres au rocher du Château (entre Bonneval-Sur-Arc et Bessans)

• Étape 4 : du refuge de Villombrun à Termignon - 5h -
  Altitudes minimale: 1301 m maximale: 2409 m
  Par le sentier balcon: plan de la Cha, refuge du Cuchet d'où l'on suit le chemin qui redescend vers Lanslebourg - Mont -Cenis pour récupérer le sentier du Petit Bonheur (GR5E) à 1392 m. Suivre le sentier jusqu'au retour à Termignon (direction le refuge de la Para). Cette étape vous permettra de profiter d'un magnifique panorama sur les glaciers de la Vanoise. Un détour est possible par la Pierre aux Pieds (gravures rupestres). Compter 1h30 supplémentaire.

• Topo : http://www.parcnational-vanoise.fr/websig/uploads/documents/itineraires/aaaa3f9df74abe1b3ed44ef5a0d29b09fe944793.pdf

Route du sel et des fromages

• Altitude min/max : Min : 1296 m Max : 2525 m
• Activité : Randonnée
• Durée : 12h de marche sur 2 jours
• Dénivelé : 1542 m
• Type d'itinéraire : Traversée de 27.8 km
• Difficulté : Difficile (3)

• Transports :
  Aller : Desserte ferroviaire jusque Moûtiers. Renseignements : www.voyages- sncf.com
  Prendre la ligne T6 entre Moûtiers et Pralognan la Vanoise. Navette a réserver la veille avant 12h directement sur Mobisavoie.fr ou au 08 20 20 53 30. Durant l’été 2017: 2 dessertes par jour du Dimanche au vendredi, 1 seule desserte le samedi.
  Retour : Une fois arrivé à Termignon, prendre le bus M12 direction Modane. Pour les horaires se renseigner sur le site mobisavoie.fr

• Départ : Place du Barioz, Pralognan-la-Vanoise Arrivée : Place du village, Termignon
  Balisage : GR Parc
  Depuis la Maison du Parc et du tourisme, remonter l'avenue de Chasseforêt, suivre la rue de l'Elert. Sortir du village. Suivre le GR®55, via les hameaux des Bieux et des Fontanettes, le refuge des Barmettes, le lac des Vaches, et le refuge du Col de la Vanoise. Il est alors possible de s'y arrêter pour la nuit ! Passer le col de la Vanoise, entrer en Maurienne. Suivre le GR®55 jusqu'au pont de Croé-Vie. Après le pont, tourner à droite, pour suivre le GR®5, jusqu'au parking de Bellecombe, via le refuge d'Entre-Deux- Eaux et le refuge-porte de Plan du Lac. À l'entrée du parking, suivre le sentier direction « Termignon 2h30 ». Traverser le hameau de Chavière, passer devant la chapelle Sainte-Marguerite. Couper 5 fois la RD 106, avant d'arriver à l'oratoire Saint-Antoine. Faire environ 150 m de dénivelé. À une intersection de sentier avec un second oratoire Saint-Antoine, prendre le sentier de droite. À partir du hameau du Villard suivre la RD 83 jusqu'au second pont (pont des Gouilles). Traverser le pont et suivre le sentier jusqu'au village de Termignon. Depuis la chapelle Notre-Dame de la Visitation, prendre le pont sur le Doron de Chavière et remonter la 1^re rue à droite, sur environ 300 m. Sinon, suivre la RD 1006 vers le centre village, jusqu'à la Maison de la Vanoise.

• Topo : http://rando.vanoise.com/data/api/fr/treks/4188/route-du-sel-et-des-fromages.pdf

Traversée de Modane à Méribel par le Col d'Aussois et le col du Soufre

Le Parc national de la Vanoise
« Voici l'espace. Voici l'air pur. Voici le silence. Le royaume des aurores intactes et des bêtes naïves... » C'est avec ces mots que Samivel écrivait les commandements du Parc national à sa création en 1963. Vous entrez dans un espace protégé, « le grand jardin des Français », qu'il vous appartient de respecter pour le bonheur des générations futures.
**« Nous n'héritons pas de la terre de nos parents, nous l'empruntons à nos enfants. » **

• Altitude min/max : 1100 m / 2793 m
• Activité : Randonnée
• Durée : 3 jours
• Type d'itinéraire : Traversée
• Difficulté : Difficile (3)
• Points d'intérêt : Traversée d'alpages, vu sur la calotte glaciaire de la Vanoise et le glacier de Gébroulaz
• Transports :
  Aller : La Navette à partir de la gare de Modane direction Aussois (ligne M11) est desservie uniquement le samedi durant l’été. Pour les autres jours, et éventuellement aussi le samedi, proposition d’auto stop organisé entre Modane-Aussois-Parking des barrages. Renseignements sur mobisavoie.fr et Rezopouce.fr.”
  Retour : À Méribel, prendre la Ligne de bus T4 de Méribel Mottaret à Moûtiers. Renseignement sur mobisavoie.fr.

http://fondaussois.refuges-vanoise.com/ Refuge du fond d’Aussois (Nuit 1) 
http://www.pecletpolset.refuges-vanoise.com/ Refuge de Peclet Polset (Nuit 2)
http://refuge.orgere.free.fr/promenades.php Variante
Attention aux risques d'enneigement tardif, se renseigner auprès des gardiens de refuge.

• Étape 1: Aussois - refuge du Fond d'Aussois 3 - 4h
Monter au refuge du Fond d'Aussois par les lacs (artificiels) de Plan d'Aval et Plan d'Amont. Les marmottes sont souvent présentes après le Pont de la Sétéria. À cet endroit, la flore est particulièrement riche ; peuvent être citées parmi les fleurs les plus remarquables : l'arnica des montagnes, la gentiane de Koch, l'anémone des Alpes.

• Étape 2: Refuge du Fond d'Aussois - Refuge de Péclet Polset 7h
Du Refuge, monter au Col d'Aussois, puis descendre le versant N jusqu'au chalet d'alpage de Ritort.
Observation de bouquetins, flore alpine telle que l'Androsace des Alpes.
Vue spectaculaire à l'arrivée au Col D'Aussois : Au N le Mont Blanc, à l'E les glaciers de la Vanoise, au S le Massif des Écrins.
De Ritort, monter au refuge de Péclet Polset par la piste.

• Étape 3: Refuge de Péclet Polset - Méribel Mottaret, 6h
Direction le Lac Blanc puis monter au Col du Soufre.
Descente en suivant le glacier de Gébroulaz par la rive droite, puis la direction du refuge du Saut puis Méribel.

• À savoir : il est possible de moduler ce parcours en rajoutant 1 à 2 étapes supplémentaires au refuge du Saut et au refuge de l'Orgère.
  Le refuge de l'Orgère peut être une bonne option si vous ne voulez pas vous presser et que vous n'avez pas de train en fin de journée.

• Topo : https://www.camptocamp.org/routes/542846/fr/traversee-de-la-vanoise-de-modane-a-meribel-par-le-col-d-aussois-et-le-col-du-soufre

Randonnée Lac du Génépy

• Altitude (m) Min : 2007 m Max : 2887 m
• Activité : Randonnée
• Durée : 6h30
• Dénivelé : 952 m
• Longueur : Boucle 15 km
• Difficulté : Actif (4)
• Transports : Desserte ferroviaire jusqu'à Modane. Renseignements : www.voyages-sncf.com
  Renseignements : www.voyages-sncf.com
  Aller :
  De la gare de Modane, prendre la ligne M11 (Modane-Aussois). En été circule uniquement le samedi, en hors saison touristique les jours de semaine en lien avec le horaires des collégiens.
  Renseignements : http://vente.mobisavoie.fr/fr#/9730e792-73ce-4e38-402a-0f716d2d6b4a/booking/1/arrival-station (indiquer destination Aussois - Départ Modane)
  En dehors des horaires de circulation des cars ne pas hésiter à pratiquer l’autostop, Point Stop situé en aval de la gare à 1,3 km, au rond-point prendre à gauche traverser le pont puis à droite se placer au pied de la montée vers Aussois.
  Renseignement : Rezopouce.fr.

• D’Aussois, prendre la direction des Barrages soit en remontées mécaniques soit en stop , soit à pied..

De la cembraie au cirque glaciaire, un voyage de 3000 km vers le N en 3h de marche.
La date sur le calendrier indiquait pourtant bien le 14 juillet ce matin... Il n'y a pas une ride sur le plan d'eau du Génépy malgré les rafales de vent du N. Pour cause, une épaisse couche de glace recouvre le lac. La variété de couleur du monde minéral qui m'entoure tranche avec les tourbillons de neige fraîche. C'est cela de monter au lac du Génépy, partir de la forêt en manche courte et finir par croire parcourir les étendues rocheuses de l'Islande, où les plantes présentent les adaptations les plus folles pour se cramponner à ces amas de rocailles. Ici les oiseaux ne chantent plus mais seuls résonnent les cris sonores des chocards et les sons gutturaux du lagopède. Mathieu Beurier – Garde-moniteur du Parc national

• Départ / Arrivée : Site des barrages, commune d'Aussois.
  Du parking, suivre l'itinéraire du refuge de la dent Parrachée. Derrière ce dernier, le sentier est indiqué par les panneaux jaunes du Parc national. Suivre la direction « Lac du Génépy ». Après 30min environ, franchir la passerelle et poursuivre le sentier jusqu'au lac. Pour le retour, suivre le même chemin. Juste avant le refuge de la dent Parrachée, prendre à droite en direction du Fond d'Aussois. Attention, après 300 m, un court passage exposé demande vigilance. Suivre le sentier jusqu'à une passerelle que l'on laisse sur sa droite et continuer vers le S jusqu'à l'intersection du GR5. Prendre alors à droite et descendre vers le pont qu'il faut traverser, suivre la direction d'Aussois enfin, jusqu'au barrage de Plan d'Amont d'où l'on rejoint le parking.

• Infos bonus: possibilité de prolonger la ballade d'une journée en allant jusqu'à la Pointe de l'Observatoire, et en passant la nuit au refuge du Plan d'Aussois ou au refuge de la Dent Parrachée

• Topo: http://rando.vanoise.com/pedestre/lac-du-genepy/

Petit Mont Blanc : Depuis Courchevel 1650 (Pralin) via le refuge des Lacs Merlet

Le Petit mont Blanc s'appelait pour les anciens pralognanais, la « Montagne de sel ». Son sel, en réalité du gypse, était exploité pour la fabrication du plâtre utilisé pour étanchéifier les murs en pierres sèches. Pour faire un pied-de-nez à Chamonix, capitale de l'alpinisme, Pralognan-la-Vanoise, capitale de la randonnée a rebaptisé sa montagne de sel, Petit Mont-Blanc. D'ailleurs, au sommet de celui-ci, la vue sur le sommet de l'Europe est imprenable. C'est dans une ambiance lunaire et irréelle qu'au sommet du Petit Mont-Blanc, on profite d'un panorama à 360° sur les glaciers de la Vanoise, le Mont-Blanc, le glacier de Gébroulaz ou encore la vallée des Avals.

• Altitude min/max : 1735 m / 2680 m
• Activité : Randonnée, Ski Randonnée
• Durée : 2 jours
• Dénivelé : +1520 m / -1520 m
• Longueur : 21,3 km
• Difficulté : Confirmé (2)
• Points d'intérêt : Panorama à 360° sur les glaciers de la Vanoise, le Mont-Blanc, le glacier de Gébroulaz ou encore la vallée des Avals
• Transports : Accès en train jusqu'à Moûtiers puis gare routière de Moûtiers prendre la ligne T5 direction Courchevel et descendre à Moriond Courchevel 1650. Départ depuis le Belvédère (Prairie de Pralin) accessible par la route. contact : http://www.transdevsavoie.com/fr#/

• Refuge : Nuit au refuge des Lacs Merlet

• Aller : Depuis Courchevel 1650, le Belvédère (Prairie de Pralin), suivre la piste dans la vallée des Avals jusqu'au refuge du Grand Plan. Poursuivre jusqu'au lac Merlet supérieur (2431 m), puis revenir au refuge des lacs Merlet pour y passer la nuit. 
  Le lendemain descendre au refuge Grand Plan, puis aux chalets d'alpage de la Grande Val, et remonter la piste jusqu'au col des Saulces. De là, monter au Petit Mont Blanc.

• Retour : Après l'ascension retourner sur le col des Saulces puis poursuivre au N par la Combe des Roches. Dans le cirque des Glacerets descendre sur le Biol puis retourner au Belvédère par la piste et à Moriond par la route.

• Topo : www.camptocamp.org/routes/359357/fr/petit-mont-blanc-depuis-courchevel-1650-pralin-via-le-refuge-des-lacs-merlet

• Bonus : possibilité de départ en transports en commun depuis Pralognan la Vanoise, http://rando.vanoise.com/pedestre/petit-mont-blanc-et-lacs-merlets/

Refuge du Carro : Depuis Bonneval sur Arc

• Altitude min/max : 1810 m / 2760 m
• Activité : Raquette, ski de randonnée
• Durée : 1 jour
• Dénivelé : +950 m / -950 m
• Type d'itinéraire : aller-retour
• Difficulté : Facile (1)

• Transports : • Desserte ferroviaire jusqu'à Modane. Renseignements : www.voyages-sncf.com
  Aller : De la gare de Modane, prendre la ligne M12 (Modane- Bonneval)
  • Renseignements : http://vente.mobisavoie.fr/fr#/9730e792-73ce-4e38-402a-0f716d2d6b4a/booking/1/arrival-station (indiquer destination Bonneval sur Arc - Départ Modane)

• Montée
  En hiver, le départ se fait de Bonneval-sur-Arc Village. On peut garer la voiture sur un petit parking et ainsi gagner via le bas des pistes de ski la route enneigée qui longe l'Arc sur la droite et qui se prolonge jusqu'au village de L'Ecot. Ne pas suivre le chemin indiquant l'Ecot 2h05…
  Traverser l'Arc sur un pont en pierres, on se retrouve à gauche de l'Arc. Suivre ce large chemin (piste) jusqu'à un panneau jaune indiquant le refuge. Suivre ce chemin en montée peu efficace jusqu'à un long replat (à l'ombre suivant l'horaire matinal) jusqu'aux Chalets de la Dhuis. On bifurque juste avant les chalets en attaquant main gauche une pente soutenue qui reprend l'itinéraire de skis de randonnée jusqu'au refuge. Via les Chalets de Léchans. Juste avant l'arrivée au refuge, la trace en zigzag et en dévers requiert de la prudence en raquettes.

• Descente
  Par le même itinéraire.

• Topo : www.camptocamp.org/routes/504808/fr/refuge-du-carro-depuis-bonneval-sur-arc
  ou http://rando.vanoise.com/pedestre/sentier-balcon-du-carro/

Col des Fours

• Altitude min/max : Min : 2534 m Max : 2959 m
• Activité : Randonnée, Raquette, ski de randonnée
• Durée : 4h
• Dénivelé : 452 m
• Type d'itinéraire : Aller-Retour 10 km
• Difficulté : Confirmé (2)
• Transports :
  • Aller : De la gare de Modane, prendre la ligne M12 (Modane- Bonneval)
  • Renseignements : http://vente.mobisavoie.fr/fr#/9730e792-73ce-4e38-402a-0f716d2d6b4a/booking/1/arrival-station (indiquer destination Bonneval sur Arc - Départ Modane)

• De là, selon la saison, il vous faudra marcher environ 20 minutes, direction le col de L'Iseran jusqu'au parking "pont de la neige" , faire du stop ou emprunter navette sur réservation (circulation en été, renseignement office de tourisme 04 79 05 96 06)

• Attention pas de stop si on est en hiver car route coupée. !

Immersion en altitude : sur la trace des anciens glaciers
Sans trop d'efforts cet itinéraire permet de s'immerger en haute montagne, de marcher sur la neige et redéfinir les contours des anciens glaciers dont il ne subsiste plus que les traces. On s'émerveillera de certaines plantes arctico-alpines qui fleurissent là où la glace s'est retirée. Cerise sur le gâteau, le panorama du col est un des plus beaux du parc national de la Vanoise.

• Départ / Arrivée : Pont de la Neige, Bonneval-sur-Arc
  Venant de Bonneval-sur-Arc, sur la route D902, en direction du col de l'Iseran, le départ se fait du parking du Pont de la Neige à 2530 m. De là, emprunter l'unique chemin en direction du SSW. Très rapidement, 100 m plus loin, laisser le chemin qui descend à gauche en direction de Bonneval-sur-Arc pour emprunter celui à droite qui monte dans la combe et traverse à gué le ruisseau des Illards. Le chemin est bien tracé jusque vers l'altitude de 2700 m. Il aborde ensuite une zone correspondant à l'ancien glacier de la Jave où persiste en début d'été un grand névé. Il faut suivre alors les traces dans la neige jusqu'à un col évident (non nommé sur les cartes IGN)... Si d'aventure vous êtes les premiers à passer, il faudra tracer en prenant les précautions d'usage des déplacements en terrain enneigé. En fin d'été, la neige a disparu laissant place, parmi les éboulis, à une sente marquée par des cairns. Du col, on découvre le lac du Grand Fond et le chemin à nouveau bien évident sur la droite qui grimpe les 50 derniers mètres de dénivelé, jusqu'au col des Fours à 2976 m d'altitude. La descente se fait par le même itinéraire.

• Attention, le parcours peut être bien enneigé dans la partie haute en début d'été. Un névé peut même perdurer
  tard en saison. Un équipement approprié s'avère indispensable.

• Topo : http://rando.vanoise.com/pedestre/col-des-fours/

Aux pieds des glaciers de la Vanoise

• Altitude min/max : Min : 1348 m Max : 2573 m
• Activité : Randonnée
• Durée : 8h de marche sur 2 jours
• Dénivelé : 728 m
• Type d'itinéraire : Traversée de 17 km
• Difficulté : Difficile (3)

• Transports : • Desserte ferroviaire jusqu'à Modane. Renseignements : www.voyages-sncf.com
  Aller : De la gare de Modane , prendre la ligne M12 (Modane- Bonneval) et s’arrêter à Val Cenis Termignon. Ensuite, prendre la navette Gratuite (Ligne 2) entre Val Cenis Termignon et le parking de Bellecombe ( Direction Entre-deux-Eaux).
  • Renseignements : http://vente.mobisavoie.fr/fr#/9730e792-73ce-4e38-402a-0f716d2d6b4a/booking/1/arrival-station (indiquer destination Termignon - Départ Modane)
  Pour horaires ligne 2 : http://www.haute-maurienne-vanoise.com/fr/pratique/acces-transports ou Mairie de Val Cenis Termignon : 04 79 20 51 49
  • Habituellement la ligne circule les deux derniers week end de juin, tout l'été, et les deux premiers week-end de septembre.
  En dehors des horaires de circulation des cars ne pas hésiter à pratiquer l’autostop, Point Stop situé en aval de la gare à 1.3km, au rond-point. Se placer au pied du panneau.
  • Renseignement : Rezopouce.fr

• Départ : Arrêt navette Entre-Deux-Eaux, Termignon

• Arrivée : Pont du Chatelard, Termignon
  De l'arrêt de la navette à Entre-Deux-Eaux, Terminus, descendre la route jusqu'à une passerelle en amont des gorges du Doron. L'itinéraire monte dans un premier temps sur une piste pastorale à proximité des chalets d'alpage de la Para. Puis rapidement, la piste redevient un sentier avant de récupérer à l'altitude 2329 m l'itinéraire balcon du GR®5. Prendre à ce croisement le chemin qui monte doucement en direction du S, fléché « Refuge de l'Arpont ». Il longe au bout de deux heures de marche les lacs des Lozières puis contourne une moraine, traverse des éboulis et des alpages. Il s’insinue enfin entre des barres rocheuses en amont et en aval des gorges du Doron pour commencer sa phase descendante. Une fois au refuge de l'Arpont, le sentier descend jusqu'à la chapelle Saint-Laurent et d'anciens chalets d'alpage pour rejoindre les chalets du Mont. De là,suivre l'itinéraire du GR5 jusqu'à Montafia à 2175 m d'altitude. L'itinéraire quitte le GR®5 pour emprunter un sentier de descente, escarpé, qui permettra, par des alpages puis la forêt d'épicéa, de rejoindre la Fennaz puis Termignon. Compter environ 7h de marche depuis l'arrêt d'Entre-Deux-Eaux.

• Topo : http://rando.vanoise.com/pedestre/aux-pieds-des-glaciers-de-la-vanoise/

Grande Casse : couloir des Italiens

« LA » course de Vanoise. Un itinéraire d’envergure dans une face grandiose ou la verticalité est omniprésente. Une ligne droite de 800 m qui n’a rien à envier aux faces N du Massif du Mont Blanc tout proche. La marche d’approche tranquille au petit matin vous plongera dans une ambiance glacière et minérale puissante. Puis à la bascule du col de la Grande Casse découvrez cette improbable muraille de 1 km de haut sur 3 de long. Praticable jusqu’à mi-juillet.

• Altitude min/max : 1400 m / 2517 m / 3855 m
• Activité : Alpinisme glacière
• Durée : montée au refuge + 1 Jour
• Dénivelé : 1000 + 1400 m
• Type d'itinéraire : Boucle
• Difficulté : Confirmé, niveau D-50-55°
• Points d'intérêt : Grande course d’alpinisme historique. Le plus haut sommet de Savoie. Du sommet, la vue sur les principaux sommets de la Vanoise est superbe, en particulier les glaciers de la Vanoise, qui sont tout proches. Au loin, le Grand Paradis, les sommets italo-suisses, les Grandes Rousses, les Écrins ou le Viso sont également bien visibles.
• Transports : Depuis Chambéry prendre le train jusqu'à Moûtiers puis navette pour Pralognan jusqu'au centre du village (ligne T6). Montée au refuge soit par le vallon de la Glière et le lac des Vaches, soit par le vallon de l'Arcelin et le lac des Assiettes (asséché).
  Renseignements : http://www.transdevsavoie.com/fr#/
  Réservation : https://www.altibus.com/reservation/garesDepart.aspx?gd=MOUTIERS
  Depuis le refuge du col de la Vanoise : montée décrite dans le topo puis descente par la voie normale. Retour à Pralognan.
• Topo : https://www.camptocamp.org/routes/55033/fr/grande-casse-couloir-des-italiens
• Variante : la voie normale par les grands couloirs ou toujours en face N, la Petite N plus courte et moins raide.

Dent Parrachée, Face NW, Couloir central

• Activité : Neige, glace et mixte
• Durée: 1 jour (ou 3h par le sentier du refuge de la Dent Parrachée)
• Dénivelé positif: 1400 m
• Altitude max: 3697 m
• Difficulté : Difficile
• Transports : • Desserte ferroviaire jusqu'à Modane. Renseignements : www.voyages-sncf.com

Aller :
De la gare de Modane, prendre la ligne M11 (Modane-Aussois). En été circule uniquement le samedi, en hors saison touristique les jours de semaine en lien avec le horaires des collégiens.
Renseignements : http://vente.mobisavoie.fr/fr#/9730e792-73ce-4e38-402a-0f716d2d6b4a/booking/1/arrival-station (indiquer destination Aussois - Départ Modane)
En dehors des horaires de circulation des cars ne pas hésiter à pratiquer l’autostop, Point Stop situé en aval de la gare à 1,3 km, au rond-point prendre à gauche traverser le pont puis à droite se placer au pied de la montée vers Aussois.
Renseignement : Rezopouce.fr.

IGN - 3534OT - Les Trois Vallées - Modane - Parc National de la Vanoise

Grande classique de la Vanoise, côté Maurienne. Possibilité de dormir au refuge de la Dent Parrachée, gardé en général de février à septembre (cf http://www.dentparrachee.refuges-vanoise.com/)
Matériel nécessaire: broches, crampons, deux piolets, raquettes ou ski pour l'approche et le retour.
Une course d’alpinisme d’envergure à pratiquer en fin d’hiver, jusqu’en juin. Cette face présente plusieurs couloirs à jauger depuis le col du Moine avant d’en choisir un. La vue sur les glaciers de la Vanoise est unique et sauvage. Le retour se fait par la voie normale, face S et couloir W ou par l'arête rocheuse W et le col de la Dent Parrachée.

Patrimoine architectural : les barrages d'Aussois - Plan d'Aval et plan d'Amont
Patrimoine naturel : forêt de pins cembro (à proximité des barrages d'Aussois), flore alpine, chamois, marmottes, les glaciers de la Vanoise.
Géologie : sommet composé de calcaire noir schisteux.

• Topo: https://www.camptocamp.org/routes/54905/fr/dent-parrachee-face-nw-couloir-central

Traversée des glaciers de la Vanoise d’Aussois à Val d’Isère

Aussois, lieu de départ de quatre jours de ski-alpinisme à travers les glaciers de la Vanoise avant de rejoindre Val d’Isère.

Activité(s) :
Informations : Sortie sur quatre jours, dénivelé positif ~4500 m, distance ~60 km
Infos TC :
Départ d'Aussois :
Venir en train jusqu'à Modane puis prendre le bus M11 jusqu’à Aussois.
Retour de Val d'Isère :
Prendre le bus jusqu'à Bourg-Saint-Maurice puis reprendre le train.
Récit détaillé: sur skitour
Remarques :
Jour 1 : Aussois → refuge de la Dent Parrachée.

Jour 2 : Refuge de la Dent Parrachée → Col de Labby → Descente du glacier de la Mahure → Col de l'Arpont → Refuge de l'Arpont

Jour 3 : Refuge de l'Arpont → Lacs de Chasseforêt → Redescente ruisseau de la Letta → Col au-dessus de la Para (sur le GR5) → Pont de Croé Vie → Refuge de la Leisse.

Jour 4 : Refuge de la Leisse → Col de la Leisse → Col de la Fresse → Val d'isère.

En hiver possibilité d’utiliser les remontées mécaniques de la station d’Aussois pour parcourir l’approche basse.

Ressources transports en commun

https://www.alpine-pearls.com/ Alpine Pearls proposent des destinations de vacances, associées à des offres de mobilité douce avec des qualités Premium : découverte, aventure, diversité et haute qualité. Vous attendent sur place des activités sportives et écologiques, la découverte de la nature et de délicieuses spécialités culinaires.

TER SNCF : http://www.voyages-sncf.com/
BUS / NAVETTES :
- http://www.transavoie.com/
- http://www.mobisavoie.fr/
- http://www.haute-maurienne-vanoise.com/fr/pratique/acces-transports
- http://www.haute-maurienne-vanoise.com/pratique/se-deplacer-sans-voiture
- https://www.altibus.com (sous réservation)

Les points de vente pour les navettes :
- http://www.mobisavoie.fr/7939-points-de-vente-des-lignes-saisonnieres.htm

À SAVOIR : les horaires des transports en commun estivaux sont à disposition dès avril - mai.

À savoir : proposition d' auto-stop organisé http://www.rezopouce.fr/

Respect de la Charte du contributeur

Le contribution au topoguide de camptocamp est soumis au respect de la Charte du contributeur.
Les règles concernant les voies d'escalade équipées sont plus restrictives que pour les autres itinéraires.

Structure du topoguide

La structure du topoguide se résume à ceci :

• Des points de passages, possédant des coordonnées ponctuels. Un site ou secteur d'escalade est un type de point de passage.
• Des itinéraires, qui relient des points de passages : obligation d'au moins 1 point de passage associé.
• Des sorties, associées à un ou plusieurs itinéraires : obligation d'au moins 1 itinéraire associé.

Contrairement à la V5, il n'est donc plus possible de saisir une sortie couenne/bloc directement sur un secteur de couenne/bloc.
Il faut donc saisir la sortie sur un itinéraire-couenne/bloc.
C'est une nouveauté de la V6 : les couennes/blocs peuvent être décrits par un itinéraire.
Si les couennes/blocs parcourus (ou seulement le projet de la séance) n'existent pas encore sous forme d'itinéraire, il suffit de les créer (un par un, ce qui est un peu laborieux, mais ça va vite malgré tout).

Créer un itinéraire couenne/bloc

• Aller sur la page du secteur de couenne/bloc, via la recherche en haut de page, ou le filtre de recherche (ce lien mène directement vers le filtre et liste des secteurs de couenne/bloc).
  Si le secteur n'existe pas, créez-le (voir plus bas).
• En bas de la liste des itinéraires associés, cliquer sur le bouton Ajouter un itinéraire.

Titre et associations

• Dépliez la section Informations générales.
• Nom du secteur : si ce n'est pas fait automatiquement, sélectionner le nom du secteur (qui doit auparavant avoir été associé à l'itinéraire).
• Nom de la voie : saisir le nom de la couenne (sans le nom du secteur, il sera ajouté à l'affichage).
• Activités : cliquer sur Escalade.
• Type de voie : choisir couenne, bloc ou psicobloc
• Pas besoin de géoréférencer la couenne sur la carte.
• Ne pas associer d'accès, refuge, sommet. Le secteur est déjà associé si on vient de la page du secteur.
• Associer les topos livres qui décrivent la couenne/bloc.

Configuration

• Dépliez la section Configuration.
• Orientation : cliquer sur l'orientation dans la rose des vents. Attention, plusieurs orientations peuvent être sélectionnées, or une couenne a souvent une seule orientation. Cliquer sur une sélection pour la désélectionner si besoin.
• Type d'itinéraire : aller-retour pour une descente en moulinette ou en rappel, ou boucle pour les rares couennes qui descendent par derrière (souvent en trad). Ne pas renseigner pour le bloc et psiclobloc.
• Configurations : ne pas renseigner.
• Type de rocher : sélectionner le type de rocher.

Caractéristiques

• Dépliez la section Caractéristiques.
• Altitudes : saisir au moins l'altitude du début des difficulté, même approximative.
• Dénivelés : saisir au moins le dénivelé des difficultés = hauteur de la couenne ou du bloc.
• Durée : ne pas renseigner.
• Remontées mécaniques : sélectionner "oui" si l'accès au secteur peut être fait en partie en remontée mécanique, "non" dans le cas contraire.

Cotations

• Dépliez la section Cotations.
• Cotation globale, Engagement : ne pas renseigner
• Risques objectifs : ne pas renseigner (en discussion).
• Cotation libre, Cotation obligatoire : à renseigner
• Qualité de l'équipement : à renseigner pour les couennes uniquement (voir l'aide). Ne pas renseigner pour le bloc et psicobloc.
• Exposition rocher : à renseigner
• Cotation artificielle : ne pas renseigner, sauf pour les couennes d'artif.
• Cliquer sur Commentaires en haut du formulaire, ou sur le bouton flèche bleue à droite.

Description

• Dépliez la section Commentaires.
• La description d'une couenne/bloc se résume souvent à "Départ commun avec xxx sur 10 m, puis à droite. Un pas morpho sous le relai."
  Renseigner cette description dans le résumé.
  Le champ description peut servir à des détails dont on se passe le plus souvent, mais on le laissera le plus souvent vide. Ce n'est pas gênant si à l'affichage ça indique que la description est vide.
  L'idée est de pouvoir afficher le résumé dans une liste de couennes, comportant éventuellement des grandes voies.
• Remarques : indiquez le nb et le type des points, ainsi que le type de relai.
• Historique : date de l'équipement et des rééquipements, et nom des équipeurs.
• Matériel spécifique : laisser vide pour une voie P1. Indiquer le matériel à prendre pour une voie P1+ à P4+.
• Matériel glacier : à renseigner (à "non" le plus souvent, mais il existe des secteurs de couennes en altitude).
• Ressources externes : ne pas renseigner les topos papier, mais les associer à l'aide de l'outil d'association dans la section Informations générales.

Prévisualisation et enregistrement

• Prévisualisez le document en cliquant sur le bouton Prévisualiser. Puis revenir à l'édition grâce au bouton Retour en mode édition en haut de la prévisualisation.
• Saissez la complétude. Indiquez une valeur inférieure à excellente (qui est réservé à un document comportant des photos insérées, etc).
• Après d'éventuelles corrections, enregistrer en cliquant sur le bouton Enregistrer.

Créer une sortie couenne/bloc

• Cliquer sur un bouton Ajouter une sortie quelconque. Il y en a un peu partout.
• Si vous venez de créer un itinéraire couenne/bloc, utilisez le bouton Ajouter une sortie situé vers les documents associés.
  La sortie est pré-associée à la couenne/bloc. Vous pouvez associer d'autres couennes/blocs.
• Les différents champs sont organisés en 4 sections dépliables.
• Modifiez le titre si besoin.
• Si vous créez une sortie depuis la page d'accueil ou la liste des sorties, associez des couennes/blocs. Il en faut au moins un(e). Ne saisissez qu'une seule sortie par jour pour toutes les couennes parcourues dans la journée, ou même pour 2 ou 3 jours successifs si vous n'avez que 3-4 lignes de commentaires par jour.
  Si aucun itinéraire couenne/bloc n'existe sur le secteur, n'utilisez pas l'itinéraire d'accès au secteur qui existe pour certains secteurs, mais créez un itinéraire couenne/bloc au préalable.
• Associez des participants.
• Vous pouvez supprimez des associations.
• Saisissez les infos conditions, équipement, qualité du rocher et restriction d'accès (nidification, travaux, ...) dans le champ Conditions.
  Saisissez vos impressions et autres infos subjectives dans le champ Commentaires personnels.
  Dans les 2 cas, vous pouvez organiser les infos par voie avec des sous titres, grâce à la balise ### Titre (pas d'autre texte sur la ligne).
• Les photos s'enregistrent après avoir créé la sortie, en cliquant sur le bouton Ajouter des images en haut à droite.

Créer un secteur de couenne/bloc

• Recherchez sur la carte si le secteur n'existe pas. Ce lien mène directement vers le filtre et liste des secteurs de couenne/bloc, vous pouvez ajouter un critère sur l'intitulé ou autre, ou recentrer la carte sur un lieu (champ "Recentrer" sur la carte).
  Un site/secteur de grande voie peut déjà exister, on peut l'utiliser pour saisir des couennes si les grandes voies et les couennes sont proches.
  Pour un site comportant de nombreux secteurs, ne pas forcément créer un document par secteur. Si plusieurs secteurs d'une quinzaine de voies sont réparties sur une seule falaise de 300 m de long, il suffit de créer un seul document, peut être qu'il existe déjà.
• Si le secteur n'existe pas, il faut le créer : cliquez sur le bouton [+] à côté de "points de passage" au-dessus des résultats de recherche.
• Saisir le nom.
• Saisir les coordonnées en cliquant sur la carte.
• Sélectionnez le type de point de passage : "site d'escalade".
• Saisir les différentes infos.
• URL : adresse web ou mail du club gestionnaire.
• Résumé : donner une brève description.
• Accès : Décrire succinctement l'accès pédestre ou (mieux) renvoyer à un un itinéraire "Accès pédestre" qui sera associé au site d'escalade (à créer si non existant).
• Description : toutes les autres infos : historique, équipement, webographie, ...
• Association : associer un accès routier (le plus proche) et, si le secteur fait partie d'un site principal rassemblant plusieurs secteurs, associer le site principal (cf précisions ci-dessous)
• Les photos s'enregistrent après la création du document.

Prévisualisation et enregistrement

• Prévisualisez le document en cliquant sur le bouton Prévisualiser.
• Après d'éventuelles corrections, enregistrer en cliquant sur le bouton orange à droite (en bas sur mobile).
• Un popup s'affiche, demandant de saisir la complétude. Indiquez une valeur inférieure à excellente (qui est réservé à un document comportant des photos insérées, etc).
• Valider.

Association à un site principal et/ou à un accès routier

• Si le secteur fait partie d'un site principal rassemblant plusieurs secteurs, il faut associer le secteur au site principal.
  Pour cela, aller sur la page d'édition du secteur et, dans l'onglet "associations", associer le site principal. Pour être sûr d'associer le bon document, coller l'ID du site principal (ID = numéro dans l'adresse web du document).
• Idem pour associer un accès routier et/ou TC : aller sur la page d'édition du secteur, et associer l'accès routier dans l'onglet "associations".

Point de vigilance : si on fait l'inverse, c'est-à-dire que l'on associe le secteur depuis la page d'édition du site principal ou de l'accès depuis la page du secteur, toutes les voies associées au site principal ou à l'accès seront affichées dans le secteur, au lieu de seulement les voies du secteur. Il faut donc impérativement le faire depuis la page d'édition du secteur et non l'inverse. En cas d'erreur, contacter la modération topoguide (dissociation réservée aux modérateurs topoguide)

Modération

En cas de problème, ou pour demander une correction nécessitant les droits de modération, envoyer un MP à @Modo_Topo_FR_contact
Il y a aussi le forum publique V6 : suggestions, bugs et problèmes.

N'hésitez pas à associer à cet article des itinéraires dont une partie de l'approche peut être facilitée par l'usage du VTT : approche sur piste 4×4 ou sentier peu raide et roulant à la montée.
Dans l'itinéraire, on peut renseigner en remarque les caractéristiques de l'approche en VTT.

Voir ci-dessous la liste des itinéraires associés à cet article.