Escalade=drogue dure

Posté en tant qu’invité par Baloo2:

OUAHH ça fait chaud au coeur de voir que nous sommes plusieurs et tous les âges à vivre l’escalade à fond.
Pour ma part, cela fait 10 mois que j’ai commencé, et depuis je n’arrête plus de grimper : falaise en bourgogne, montagne à cham, bloc à bleau, salle à Paris, plinthe à la maison,…

Bcp de choses ont changé depuis ce stage à l’ucpa où tout a commencé. Je vois de moins en moins mes amis, mais j’en ai d’autres. Je ne sors pratiquement plus, et cela ne me manque pas.
Je dépense tout mon salaire au vieux campeur en matos, fringues, bouquins, vidéos ( que je regarde en boucle pour certaines comme Traces Blanches).

Je me sens plus proche de moi-m^me qd je grimpe, plus proche de la nature, des choses simples mais vraies.

Je rêve devant les photos des magazines, je rêve de grimper en espagne, slovénie, patagonie,…

Je progresse sans arrêt ce qui me procure une satisfaction incroyable, j’aime sentir les équilibres, trouver les beaux gestes, découvrir un nouveau site,…

Bref c’est un véritable mode de vie que j’ai trouver, les gens pour le partager. Loin des schémas classiques de carrières prof. et sociales. Parfois j’ai des doutes sur le choix que je fais chaque semaine de passer un max de tps à grimper.

mais lorsque je sors un bloc ou une voie avec des zozos autour de moi, mes questions s’évanouissent tellement je profite de l’instant présent.

Posté en tant qu’invité par ToTo:

Putain, y’a vraiment des cas pathologiques sur ce forum… mention speciale à Martine, la post-dépressive illuminée de service : la grimpe encore mieux que la méditation transcendantale ou la psychanalye pour être en paix avec soi-même et l’univers…
Effectivement les symptomes sont proches de la toxicomanie…
Continue comme ça, c’est bien connu que la monomanie est la voie royale de l’accomplissement personnel!!!

Posté en tant qu’invité par Alain Coetmeur:

et comme je suis multi-toxicomane
je ne crois pas que ca soit propre a l’escalade,
.

effectivement comme vous dès mon initiation
j’ai ressenti ce sentiment de manque, cette envie
de poser ses doigts et surtout ses pieds.

mais étant aussi passioné de cyclo-ballade, de cyclo-camping,
de théatre, j’ai plein de moyen de me dopper…

le samedi je me fait un rail de vélo.
parfois même a fontainebleau j’ajoute a un
bon rail de vélo, un beau shout de bloc…
le mercredi j’ai ma dose de théatre, avec les potes.
de temps en temps je me fait un trip de groupe en falaise…

plus sérieusement le sport fait produire deux type de drogues:
des excitants comme l’adrénaline, que mime
des produits comme la cocaine, et d’autre par des endorphines
que mimen les opiacés…

en escalade certains recherchent l’émotion, les excitants.
d’autres comme moi apprécient surtout l’effort,
la douleur controlée, qui développe les endorphines.

a coté de celà le fait de faire quelque chose
de nouveau, de découvrir son corps et son esprit, apporte
des sensations quasi-halucinatoires comme les
halucinogenes (LSD,…)

croyez mois ou pas, mais a vélo on a des sensations du même style
même si c’est différente… les endorphines de l’effort,
la découverte de paysages halucinants, et le shout
d’adrénaline de la descente ou du taré qui vous dépasse
à 110km/h

au théatre c’est différent, moins d’endorhines,
plus d’adrénaline, et une dose massive de délire…

alors oui, les paradis artificiels font pales figures
a coté de ceux qu’on se construit en travaillant
un art dans la soufrance, la folie et la rage.

quand au couple, c’est une question qui se pose beaucou en théatre, de savoir si il est bon de suivre les même cours,
ou de jouer ensemble…

tout dépend des individus. effectivement travailler ensemble,
apprendre, se dénuder, peut gêner l’un et l’autre
peut même révêler un caractère malsain…

est-ce une bonne ou mauvaise chose alors que de
briser un couple qui tenait par méconnaissance de
ses limites …

ûn amis m’avais dit que dans un couple il falait accepter
les incartades à la règle de tout faire a deux…
on peut être un bon père de fammille et emmener
sa famille à 10km/h en prommenade le dimanche matin…
et le dimanche après midi partir avec ses potes
descendre à 50km/h des spots de freeride mortels.

au théatre j’ai vu un couple jouer ensemble,
et l’entente physique qu’ils avaient rendait un jeu
subtil et fascinant, de proximité et de retenue…
par contre ils ont arrêté de souvre les même cours…

le secret des couples de grimpeur peut être
de se faire des couennes chacun dans leurs coin avec lesur potes,
det de se revoir pour une grande voie mythique…

mais d’autres couple ont peut être la capacité
d’être uen cordée avant tout, un binome
de vieux potes inséparables et raleurs, qui
le soir se retrouve dans le même lit…

certains cyclotouristes encensent le tandem, tandis que d’autres
exigent les 2 vélos, voir roulent dans leurs clubs séparés…

les gens grimpes pour diverses raison, comme
ils s’aiment de diverses facons…

en tout cas, un conseil pour votre santé mentale
ayez plusieurs piliers pour tenir votre vie,
aussi bien plusieurs passions sportives,
que plusieurs groupes affectifs…
vous éviterez le surentrainement, et l’étouffement de l’autre.

Posté en tant qu’invité par martine:

Il est bien dommage qu’une personne comme toi, agressive et mal lunée, puisse rentrer dans une discussion fort sympathique, un forum d’échange d’idées et de pensées qui nous tient tous par un point commun : la grimpe.

Sache que je ne suis ni depressive, ni illuminée et que si je t’avais en face de moi et non pas caché derrière un pseudonyme, je me permettrais de te dire ce que je pense de toi. Mais en l’occurence, je ne perdrai pas mon temps à répondre à un inconnu particulièrement désagréable. Il y a bien d’autres messages bien plus intéressant que le tient.

A bon entendeur

Posté en tant qu’invité par J.Marc:

Bon, le trip est fini, et je voudrais un peu partager sur le problème de la part de l’escalade dans le couple (ou l’inverse).

J’ai 20 ans de vie commune avec ma femme ; certains penseront que c’est beaucoup ; mais c’est encore moins que la durée de ma passion pour la montagne : 30 ans ! A notre rencontre, je pensais naïvement que l’amour suffirait à lui faire partager ma passion. Elle m’a poliment suivi dans quelques randonnées et courses de montagne, et grimpe avec moi bien 2 ou 3 fois encore dans l’année. Mais la passion est restée mienne. J’aurais dû le savoir, mais à 20 ans on est vite aveuglé.

Comment vivre cette frustration aujourd’hui ? Car il s’agit bien de celà ; quand on aime une activité plus que tout, et qu’on aime un être plus que tout, on voudrait au moins quelques instants reproduire l’harmonie de la trinité.

L’essentiel est dans la communication ; parler, raconter chacun nos rêves et nos vécus, et avoir suffisemment de liberté pour accepter de laisser l’autre partir, se ressourcer. Le fait que ce soit possible me fait dire que montagne et escalade ne sont pas une drogue ; la drogue asservit ! Juste un bon bol de chocolat chaud après les morsures du froid. Et si pour elle c’est plutôt du thé brûlant, nous nous retrouvons, au delà de nos goûts, avec le même sourire aux lèvres…

Posté en tant qu’invité par claudine:

Il y a eu il y a quelques temps un post similaire sur un forum americain (rockclimbing.com ou tradgirl.com, j’ai oublie): grimpe en couple, ou pas? Je connais des couples qui grimpent ensemble et ca a l’air de bien marcher, mais c’est assez rare, le plus souvent c’est le mec qui grimpe.
Pour moi c’est l’inverse: mon mari n’est pas tres branche grimpe - il est branche guitare, donc cote ongles c’est pas tres compatible; mais il est heureux que je grimpe car il sait que ca me fait du bien! Je n’abuse pas - une soiree en salle par semaine, une sortie falaise de temps en temps; du pan pour ma pause-casse-croute le midi (mon bureau est a cote de la salle). En echange, il a ses moments-guitare le soir, je garde les gosses quand il va a un concert… Et on partage d’autres activites, ski de fond, rando… Et quand le site s’y prete, il amene sa guitare au pieds des falaises et gratouille en gardant un oeil sur les enfants, et tous les assureurs apprecient l’ambiance! Quand on partage sa vie avec d’autres (epoux, enfants…), l’important est de trouver la juste balance entre satisfaire a ses besoins personnels et rester attentifs a ceux des autres. Bien souvent je dois refuser l’offre de mes ami(e)s celibataires de venir grimper avec eux tel ou tel week-end. J’envie leur liberte, mais eux envient ma vie de famille heureuse. Quelque part Martine a ecrit, « ma liberte s’arrete la ou commence celle de mes enfants », tres beau et tres juste je trouve!

Posté en tant qu’invité par Dom:

Tu montes bien vite sur tes grands chevaux; un forum est un lieu d’échange et de discussion, il n’y a pas de discussion enrichissante entre personnes de même opinion et même si Toto exprime ironiquement sa pensée, un peu trop clairement à ton goût semble-t-il, le fond de ce qu’il dit est intéressant :

« La monomanie est la voie royale de l’accomplissement personnel !!! »

j’aime assez la formule …

La dérive des gens passionnés est de croire qu’on ne peut vivre sans connaître la même passion; c’est une illusion parfaite comme l’illustre très bien J.Marc.
Par ailleurs, partager une passion, c’est bien, mais est-ce suffisant pour faire un couple ? On peut en douter …

Quant à croire qu’on ne puisse vivre sa passion sans la partager avec ses enfants, c’est une vision fusionnelle assez présomptueuse et limite tendancieuse, "issu de ma chair, tu ne peux que vivre mes passions … "; le comportement extrême est de nier à l’enfant le doit de faire ses propres choix, ce qui est grave … c’est une négation de la liberté de l’enfant en tant qu’individu à part entière.
Tant mieux si la passion est partagée mais tant mieux aussi si l’autre s’enrichit à travers une autre passion, le principal n’est-il pas qu’il soit libre de faire ses choix ?

Posté en tant qu’invité par Laurent:

Ah là là. C’est fou come on peut tomber de haut sur ce forum.

Et moi qui imaginait J.Marc comme un fringuant jeune homme de 24, allez 25 ans à tout casser. Cruelle la désillusion :wink:

Posté en tant qu’invité par Cédric:

Malheureusement, beaucoup de grimpeur fument, et vont grimper en voiture… ;o)
C’est vraiment un sport à risque !

Posté en tant qu’invité par Dani:

Salut à tous,
dans toutes vos discussions, beaucoup parle de l’escalade comme un mode de vie… Une façon d’être, et de voir la montagne, la nature etc etc…
Tout cela me fais bien penser au grimpeurs des 70’s…alors que dans beaucoup d’autres posts (lors de precedents sujets), certaines personnes disent que l’activité s’est élargie à un plus grand publique, que tous les grimpeurs ne sont plus des hippies !!

J’ai quand même l’impression, qu’un grande majorité de grimpeur reste dans la tendance grimpeur écolo fumeur de hash !!!
Et j’avoue que ça, ça me plait bien !!!
Alors escalade = drogue dure !!!
Non drogue DOUCE, car la dependance est uniquement psychologique !!!
Godd vib’s and good climb !!!

Posté en tant qu’invité par oliviéééé di kesrozon:

Ah bah dit donc je pensais pas déclencher tant de réponse, merci à tous d’avoir exposé vos idées, et vos experiences, je suis vachement plus avancé maintenant! lol
J’en conclue donc qu’il faut trouver un juste milieu entre les extremiste de la grimpe près a sacrifier leur famille et les extremiste du repas de famille le dimanche apres midi au lieu d’etre à Presles avec ses potes.
si il y avait une solution toute simple, il n’y aurait peut être plus d’interêts et de passion.

Finalement j’ai opter pour la coke au moins je suis sur que c’est de la drogue dure! c’est pas plus cher qu’une corde ou une paire de chausson et c’est tres efficace! pas besoin de prendre la voiture, tu peut rester avec ta famille le w-e et en meme temps etre dans un autre monde.

voilà, je suis défoncé (lol) et je sais plus ce que je dis…bueeeuuurrrrrggggg!!! Ah par contre le réveil est dur je viens de gerber par tout,

bon bah vive l’escalade et le chichon, arivederchi baby!!!

Ah et la binouze bien sur et les enfants aussi,

Et puis vive la France!!!

Au armes citoyens,
Formez vos batallions,

Posté en tant qu’invité par Baloo2:

j’adore les donneurs de leçons…

Posté en tant qu’invité par J.Marc:

Et tu n’as pas vu mes cheveux blancs ! (bon, d’accord, une dizaine tout au plus).

Posté en tant qu’invité par Dani:

Tu parle de qui ???

Posté en tant qu’invité par Baloo2:

Auteur: ToTo (—.153.3.213.dial.bluewin.ch)
Date: 16 jun 2003 19:08

Putain, y’a vraiment des cas pathologiques sur ce forum… mention speciale à Martine, la post-dépressive illuminée de service : la grimpe encore mieux que la méditation transcendantale ou la psychanalye pour être en paix avec soi-même et l’univers…
Effectivement les symptomes sont proches de la toxicomanie…
Continue comme ça, c’est bien connu que la monomanie est la voie royale de l’accomplissement personnel!!!

…de toto

Posté en tant qu’invité par nicolas:

en réponse a dani
« J’ai quand même l’impression, qu’un grande majorité de grimpeur reste dans la tendance grimpeur écolo fumeur de hash !!! »

il y en a bien encore quelque uns, mais pas tant que ca.

Les grimpeurs qui s’expriment sur ce forum ne représentent pas la majorité des grimpeurs. Si ils partagent leurs idées, c’est que la grimpe leur tient a coeur; tu entendras donc le discours des « extremistes ».

L’escalade et l’alpinisme s’accordent particulierement avec certaines valeurs, tel le respect de la nature, l’individualisme et la recherche de sensations (plutôt que la satisfaction procurée par la consommation de produits standardisée).

Que ce soit dans un pas dur, ou au sommet, ou a la fin d’une course, le grimpeur se retouve face à lui-meme. Dans le danger, le succés ou la difficulté, il devient facile de relativiser les contigences de la société.

Allez, il y a bien des grimpeurs louches, beaufs ou franchement cons et « looser » (la totale ;-)). Mais entre passionnés, on peut se comprendre et s’accepter.

Si cette attitude te parait être celles des écolos post-68, tant mieux pour eux. Pour moi, elle est le reflet de notre activité qui ne permet pas de se voiler les yeux.

Posté en tant qu’invité par martine à Dom:

C’est vrai que je me suis énervée… jusqu’à hier, j’ai pris beaucoup de plaisir à lire et à répondre aux messages qui m’avaient touchés. J’ai trouvé le message de Toto extrêmement agressif. Juger d’une personne qu’on ne connait pas en la traitant de dépressive et d’illuminée, simplement parce qu’elle a ouvert son coeur et essayé d’exprimer ce qu’elle ressentait, ben franchement, oui, y’a de quoi se fâcher. Il pouvait exprimer son opinion à mon sujet sans toutefois m’insulter.

"La monomanie est la voie royale de l’accomplissement
personnel !!!

monomanie définition du petit robert (et oui, j’ai cherché pour en avoir définitivement le coeur net) : délire partiel, psychose limitée à un seul ordre de faits, idée fixe, obsession.

Personnellement, je ne m’y retrouve pas vraiment :slight_smile:
et je ne pense pas que les amateurs de grimpe qui trouvent un équilibre dans ce sport peuvent être traités d’obsessionnels !

De plus, c’est un site de grimpe, donc on en parle… mais je pourrai parler de toutes mes autres passions, le ski nautique et pour changer du sport la lecture, l’histoire, la bd… mais tout le monde s’en fou et ils ont bien raison :slight_smile:

La dérive des gens passionnés est de croire qu’on ne peut
vivre sans connaître la même passion; c’est une illusion
parfaite comme l’illustre très bien J.Marc.
Par ailleurs, partager une passion, c’est bien, mais est-ce
suffisant pour faire un couple ? On peut en douter …

Là, pas d’objection, je suis d’accord avec toi !

Quant à croire qu’on ne puisse vivre sa passion sans la
partager avec ses enfants, c’est une vision fusionnelle assez
présomptueuse et limite tendancieuse, "issu de ma chair, tu
ne peux que vivre mes passions … "; le comportement extrême
est de nier à l’enfant le doit de faire ses propres choix, ce
qui est grave … c’est une négation de la liberté de
l’enfant en tant qu’individu à part entière.
Tant mieux si la passion est partagée mais tant mieux aussi
si l’autre s’enrichit à travers une autre passion, le
principal n’est-il pas qu’il soit libre de faire ses choix ?

Tu n’as sans doute pas lu ce que j’avais écrit plus haut en réponse à Claudine :

Mais ma liberté s’arrête ou commence celle de mes enfants. Ma fille apprécie moyennement, je ne la force pas… je l’encourage dans ses activités. Mon fils me suis… on partage de grands moments de complicité… mais bientôt, c’est moi qui vais le suivre et ce jour là, ce sera merveilleux !

Ceci dit, c’est cool de partager ça avec mon fils. Je voulais dire (peut-être me suis-je mal exprimée), que j’apprécie encore plus mes sorties grimpe lorsque je peux les partager avec la personne que j’aime, en l’occurence mon petit garçon et que lorsqu’il n’est pas avec moi, je pense à lui en me disant : tient, il faudra que je revienne ici un jour avec lui, ça lui plairait comme falaise ! Il n’y a rien de tendencieux…

Amicalement, Martine

Posté en tant qu’invité par castor:

Ben moi, suite au message de toto, j’ai été lir tous les messages de Martine et je trouve que ce qu’elle écrit s’est vachement sensible. J’ai 16 ans et je suis passionné de grimpe depuis 2 ans. J’aimerai avoir des parents avec qui je pourrai partager l’escalade et qui pourrait me comprendre. Je dois sans arrêt me battre avec ma mère pour qu’elle me laisse grimper. C’est galère !
Je trouve qu’elle trouve bien ses mots pour exprimer ce qu’elle ressent et je vais te dire toto, tu la connais même pas et tu te permets de la juger. Je trouve ça nul ! cette nana, elle s’éclate et elle a pas peur de le dire. Y’a tellement de bonnefemme qui reste à la maison et qui s’intéresse à rien.
Continue la grimpe et continue à écrire, c’est vachement joli ce que tu dis.

Posté en tant qu’invité par ceréal climber:

vastes sujets, je suis passionné de grimpe amis depuios duex mois j’e bosse dans un e région où j’ai du mal à grimepr autant qu’avnat, ça me pose vraiment problème parceque je suis sensé préparer le BE. En plus, j’ai rencontré une femme qui me plait beaucoup et qui ne grimpe pas… J’ai pas envie de lui imposer de grimper car elle n’en a pas envie. J’azi plein de dilemmes en ce moment et ça gamberge dure

Posté en tant qu’invité par SOPHIE:

T 1 BOUFON ARETE SA CONNARD
TA VRAIMEN 1 BLEM