[quote=« jetstream, id: 1760959, post:8, topic:156327 »]Fort pour ce que dit Steck.
Mais j’ai trouvé plus pathétique Graziani…
« j’ai sauvé mon copain, je suis un héros… »[/quote]
Où t’as vu ça? On n’a pas dû voir le même film
Où trouver le film "On ne marche qu'une fois sur la lune"?
[quote=« jetstream, id: 1760959, post:8, topic:156327 »]Fort pour ce que dit Steck.
Mais j’ai trouvé plus pathétique Graziani…
« j’ai sauvé mon copain, je suis un héros… »[/quote]
?? au contraire il dit des trucs vachement francs et dur. « Si tu repartais pas, moi je descendais… »
Le lien viméo semble privé. Ca fonctionne chez vous ?
[quote=« jetstream, id: 1760959, post:8, topic:156327 »]Fort pour ce que dit Steck.
Mais j’ai trouvé plus pathétique Graziani…
« j’ai sauvé mon copain, je suis un héros… »[/quote]
Incroyable le témoignage de Steck.
Il faut cliquer sur « Watch on Vimeo » puis utiliser le mot de passe :
Posté en tant qu’invité par Glop:
Les passages avec Yannick Graziani et Stéphane Benoist sont vraiment bizarre, comme si ils ne s’étaient pas parlé entre leur retour et la réalisation du film
Merci pour le lien ! 
oui, parfois on en est presque mal à l’aise - surtout en tentant de cerner du non-verbal de la part de stéphane benoist à ces moments, d’imaginer ce qu’il pense en entendant les propos de yannick graziani. Et les manières de s’exprimer d’ueli steck et yannick graziani sont si différentes… Du coup on tomberait vite dans le jugement de ce dernier, ce qu’il faut toutefois bien éviter de faire. C’est vraiment un film top. Ueli steck parfait. Avec ce que disent certains de nos alpinistes d’aujourd’hui sur leur psychologie, les bouquins de montagne des années 60-70 paraissent écrits soit par des ours qui ne savent pas raconter ce qu’il se passe dans leur tête (ou d’une manière un peu simpliste : « j’en ai grave chié »), soit par des mecs qui font du lyrisme sur la nature ou la cordée, mais sans jamais franchement parler d’eux.
et gros gros gros merci pour le lien !!! 
Pour les français, le réalisateur a fait une seule interview à partir d’au minimum 3 rushs, soit énormément de temps. Le risque est grand de ne pas réussir à synthétiser leurs pensées.
je comprends ce que tu veux dire, mais c’est pas totalement vrai. Relit Bonatti par exemple, ou après Messner, qui sont allés très loin dans l’introspection, carrément jusqu’au mystique.
[quote=« âlex, id: 1761088, post:13, topic:156327 »][/quote]
Merci
Merci frankye ! (c’est bon)
Merci beaucoup pour le partage du lien!
Vu!..
Un témoignage exceptionnel, de Steck notamment, et un film vraiment remarquable.
On va vraiment au fond du sujet, et le parallèle avec l’exploration lunaire et les suites psychologiques est éloquent.
Bravo aux réalisateurs, qui ont su mettre en relief ces ascensions exceptionnelles, mais surtout tenter de cerner ce qui se trame dans le monde intérieur du grimpeur avant, pendant et après la course.
A voir!!
Super, merci beaucoup!
Magnifique, merci du partage !
Merci pour le lien.
Et merci aux trois alpinistes de s’être exposés devant la caméra, de tenter de dire le (presque) indicible…
Tout à fait d’accord!
D’ailleurs, au sujet des différences déjà notées sur la façon de s’exprimer finalement bien plus libre chez Steck, je pense qu’il était plus facile pour lui de « se lâcher » parce qu’il était seul, et n’engageant ainsi que lui-même, alors que pour les français, on ressent bien la complexité des relations dans une cordée, a fortiori sur une ascension hors normes comme celle-ci. On sent qu’il y a eu sans doute pas mal de non-dits, et qu’il y a aussi encore une pudeur et une réserve normales vis-à-vis de son compagnon de course, qui plus est devant la caméra. Et malgré ça, ils nous livrent une sacré analyse de leur course et de leur vécu personnel!
Posté en tant qu’invité par Ch.Raylat:
Bonsoir,
Merci pour vos commentaires.
Le film est désormais en libre accès.
https://vimeo.com/raylat/annapurna
@++
Merci pour ce film très fort, bravo aux trois alpinistes pour leur exploit hors normes, et merci à eux pour leurs témoignages.
Ça a dû être très dur là-haut, Ueli Steck ne pouvant compter que sur lui-même, mais Yannick Graziani et Stéphane Benoist devant se battre à la descente avec l’état de Stéphane qui empirait.