Chasse et Bouquetin

Posté en tant qu’invité par claude:

Puisque j’ai affaire à un chasseur responsble et qui m’a l’air honnête, peux-tu me dire pourquoi finalement tu tires?
Humanitaire : pour éviter la déchéance de la vieillesse à ce chamois dans quelques années
Citoyen : pour rendre service à nos amis agriculteurs dont des hordes de chamois dévastent les cultures
Alimentaire : quand même un bon cuissot de chamois…
Peur : pour éviter d’être attaqué par ce monstre
Revanchard : je subi mon chef au boulot, la c’est moi le chef qui ai droit de vie ou de mort
Egoiste : pour éviter que d’autres profitent du spectacle de ces magnifiques anmaux
Jouisseur : pour profiter ce cet instant suprême ou j’ai le droit quasi divin de décider de la vie ou de la mort de ma proie

Vais-je enfin savoir? (si ce n’est pas une de ces raisons, le paintball serait une bonne solution qui éviterai en plus les quelques dizaines de mort d’hommes par dommage collatéral chaque année)

Posté en tant qu’invité par Gepi:

claude a écrit:

Bonjour Claude, comme je ne suis pas chasseur, je vais essayer d’apporter ma contribution sans risquer de passer pour un pervers qui AIME TUER.

Puisque j’ai affaire à un chasseur responsble et qui m’a l’air
honnête, peux-tu me dire pourquoi finalement tu tires?
Humanitaire : pour éviter la déchéance de la vieillesse à ce
chamois dans quelques années.
Ce n’est sûrement pas une motivation personnelle, mais c’est une nécessité pour les espèces dont les prédateurs naturels ont disparus. Sauf à réintroduire ces prédateurs en quantité suffisante (est-ce possible partout ?).
Sachant que la surpopulation pose des problèmes à l’espèce elle même, mais également à l’environnement. Les chevreuils mangent les jeunes pousses, les cerfs finissent par manger l’écorce des arbres qui meurent. L’ensemble du biotope est impacté.

Citoyen : pour rendre service à nos amis agriculteurs dont des
hordes de chamois dévastent les cultures.
Idem réponse précédente par exemple pour les sangliers, mais toujours pas une réponse à ton « pourquoi tires tu ? », quoiqu’il y a des agriculteurs chasseurs auxquels il faudrait poser la question.

Alimentaire : quand même un bon cuissot de chamois…
Rôle social ? Partage d’un moment, d’une saveur particulière ?
Forme de fusion ? Chez certaines tribus, à la mort de l’un des leurs, une cérémonie était organisée, pendant laquelle certaines parties étaient mangées. Ce n’était pas un besoin vital, mais de l’ordre du spirituel. C’était aussi le cas pour leurs ennemis, ils pensaient ainsi se procurer les qualités et la force qu’ils reconnaissaient en eux,
de même pour le gibier.
Nous même dans nos pratiques et notre vocabulaire amoureux, utilisons des termes ou des pratiques liés (pas seulement symboliquement) à l’acte nourricier, ce n’est sûrement pas un hasard.

Peur : pour éviter d’être attaqué par ce monstre
Egoiste : pour éviter que d’autres profitent du spectacle de
ces magnifiques anmaux
Je regroupe ces 2 hypothèses de même nature.
No comment.

Revanchard : je subi mon chef au boulot, la c’est moi le chef
qui ai droit de vie ou de mort
Jouisseur : pour profiter ce cet instant suprême ou j’ai le
droit quasi divin de décider de la vie ou de la mort de ma
proie
La recherche du sentiment de puissance n’est sans doute pas absente chez la plupart des chasseurs. Comme certains recherchent ce sentiment au volant de leur voiture, malheureusement, avec des dégats collatéraux bien plus conséquents que ceux que tu cites plus loin.
Mais ce n’est pas le cas chez tous les chasseurs. C’est je pense ce que dit Sylvain lorsqu’il parle de « savoir ne pas tirer ». Dans son cas, il me semble qu’il s’agit d’avantage d’une recherche de retour à la nature, de communion avec elle.
J’ai pratiqué l’approche pour faire des photos. Pour approcher un animal sauvage (je ne parle pas des bouquetins des réserves qui ne connaissent pas de prédateurs et qui sont faciles à approcher (si l’on fait abstraction du terrain). Ca demande de se fondre avec son environnement, de le connaître ainsi que la faune, et de mettre tous ses sens en éveille. C’est là que se trouve le retour à la nature et à notre propre nature. Lorsque l’on est tout près de l’animal et que l’on peut l’observer, parfois si proche qu’on a l’impression qu’il manque si peut pour pouvoir le toucher.
Dans ce cas, je crois que peu de choses me sépare de certains (trop rares) chasseurs. Je parle de ceux qui sûrement sont partagés entre l’envie de pouvoir vraiment le toucher (tirer) et de le laisser poursuivre son chemin. Sylvain dit « savoir ne pas tirer », ce qui implique de résister à une pulsion par raison (respect de cotas, du plan de chasse), je dirais que pour certains amoureux de la nature, ils ne tirent pas parce que je jour là, à ce moment précis, leur coeur n’y est pas. C’est un sentiment paradoxal, une ambivalence en nous, qui fait aussi partie de la nature.
J’ai vécu mon enfance à la campagne, et avec les copains, nous étions souvent dans la forêt ou au bord des rivières. Nous tendions des pièges à oiseaux, l’été nous prenions des épis de maïs dans les champs, nous attrapions des poissons (souvent rien de bien commestible) et nous allumions un feu au bord de la rivière pour manger le fruit de nos chasses/cueillettes. Ce n’était pas par nécessité et je ne me souviens pas que le sentiment de puissance ou le plaisir de donner la mort étaient au coeur de notre démarche. Nous nous prenions plutôt pour David Crockett.

Vais-je enfin savoir? (si ce n’est pas une de ces raisons,
Il y a sans doute autant de chasseurs ou formes de chasse, que de grimpeurs ou formes de grimpe. J’ai essayé d’en décrire une sorte que je crois comprendre.

le paintball serait une bonne solution
Sylvain évoque l’utilisation d’armes hypodermiques, ce qui permettrait d’assouvir cette envie de fusion, de toucher/sentir, et cela conviendrait sans doute à ce type de chasseur, mais ne répondrait pas à la nécessité de réguler/gérer les populations dans de nombreux secteurs.

qui éviterai en plus les
quelques dizaines de mort d’hommes par dommage collatéral
chaque année)
A mon humble avis, la solution passe par la formation, la sensibilisation à une éthique et une sévère sélection par le permis de chasse, afin d’éviter de voir des gros nazes se promener avec une arme à la main, par définition, il y en a toujours trop.

A+

Posté en tant qu’invité par olivier74:

Chapeau ton argumentation objective, GEPI…
alors que la démarche et les arguments de Claude me paraissent au mieux répondre à une ignorance crasse de la faune, au pire à de la provocation basique…

Mais bon, le sujet est conflictuel, passionnel et d’une manière générale, chacun prêche pour sa chapelle faisant fi des arguments de l’autre… ton discours pondéré est d’autant plus méritoire…

Posté en tant qu’invité par Orgere:

Merci Claude, je vois que sans être chasseur, on peut comprendre les chasseurs.

Posté en tant qu’invité par sylvain:

salut les gens !

ben la j’ai plus grand chose a ajouté !! merci m’sieur gépi !!

tout est dit !

juste une remarque sur les flechettes hypodermiques qui seraient une solution si …elles etaient plus precisent , et surtout moins dangereuse pour l’animal ( dosage précis , chute du a l’etat d’assoupissement …)
et puis pour le « savoir ne pas tirer " , je voulais aussi ajouter le cote respect de l’animal , avec un petit exemple . J 'avais depuis le primtemps , reperé un tres jolis chevreuil dans un coin assez isole.j’avais hate d’etre en periode de chasse parceque depuis le temps qu’il me faisait de l’oeil … j’en etais pratiquement obsédé .le jour attendu arriva .comme je savais ses habitudes a force de l’observe , j’arrive sur le terrain avant lui , me place et attend son arrivéee .le coin est jolis , une belle clairiere entourée de bois , je suis en limite de clairiere , fondu dans la nature . du bruit se fait entendre a ma gauche , je me mets en place doucement pour mettre en joue l’animal quand ilaura franchit la lisiere (j’ai dit je me prepare , j’ai pas dis que je pointais la direction avec mon arme , le doigt sur la detente , pret a allume le premier truc qui sort meme si c’est un ramasseur de champis !!).puis , du coin de l’oeil , je vois mon chevreuil qui me passe dans le dos a 3 ou 4 metres derriere moi . j’éssaye de me retourner doucement , mais l’animal finit par disparetre dans des aboyements significatifs … en clair : il m’a bien baisé !. le lendemain , meme lieu , meme heure . bien décidé a lui faire la peau , je me poste de l’autre coté de la clairiere , de maniere a voir arriver le brocard de face . ca tombe bien le vent a tourne : il ne me sentira pas … comme prévu le brocard se pointe . il avance , se doute de rien , broute une pousse par ci par la …passe a une quinzaine de metres de moi , il me fixe (mais comme je ne bouge pas , il continu ses occupations …)…je dois bien le garder 10 bonnes minutes dans la lunettes ( et c’est long 10 minutes dans ces cas la !) a tres courtes distances 30 ou 40 metres .ce brocard est effectivement magnifique et comme je suis bien calé , il n’y a aucun doute qu’a cette distance ,il n’aurait pas grande chance face a ma carabine .Mais ce jour la il est repartis tranquilement , comme il est venu .j’ai juste pense , « t’as été plus malin hier , aujourd’hui c’était moi … ».il n’y a pas son trophée accroche au mur (pourtant il était beau !!) mais j’en garde un souvenir imperissable.et je n’oublierais certainement jamais son regard quand il est passe devant moi .Il n’était pas craintif , mais fier ,majestueux ,presque provocant (je me demande si il n’a pas eu conscience de mes pensées ce jour la !!). cette année la je ne suis pas retourné dans cette clairiere pour ne pas etre tenté …mais le printemps suivant , je ne l’ai jamais revu …la faute a un chasseur ? a un hiver trop rigoureux ? a une déloccalisation dans les pays de l’est (ben pourquoi pas c’est a la mode !) …
voila ce que j’appel , " savoir ne pas tirer " meme si le plan de chasse est tolerant ,meme si tout est reuni . je ne prend pas ca pour de la faiblesse , mais pour du respect vis a vis de l’animal . est oui , la chasse c’est aussi des moment magiques comme celui la ! ! !
la chasse ce n’est pas QUE tirer un animal , c’est surtout , la communion avec la nature , le retour aux sources …plusieurs activités permettent cela avec plus ou moins de force . j’ai choisi celle la , et je l’assume completement .En savourant chaque seconde de bonheur qu’elle m’apporte . certains disent que mon loisir est inutile… je leurs repondrais : » est ce que taper dans un ballon tous les dimanche est utile ?"…a chacun sa propre opinion . Mais soyez sympa , défendez la en douceur et dans le calme .

sylvain

Posté en tant qu’invité par tétras:

Tu est certainement végétarien pour tenir ce genre de propos. Car comment peut on aimé la nature et lui imposer tout les sévices liés à la production agricole, voir industrielle de viande (culture intensive de maïs, pollution de l’eau par les engrais, les pesticides et le lisier…)

Le chasseur, lui, se contente, si c’est un bon chasseur, de prélever ce que lui offre la nature. Comme faisaient les indiens, les esquimaux, les hommes préhistoriques… Je pousserai même plus loin en comparant le chasseur à un ceuilleur de myrtille, de champignons ou de génépi.

La nature à des choses à nous offrir, sachons en profiter respecteusement.

Posté en tant qu’invité par swissmarmot:

Les animaux qui n’ont plus de prédateurs naturels (loups et autres…) doivent être chassés … c’est bon pour l’espèce.
Si tu ne chasses pas ces animaux là, il y a un problème de consanguinité et les animaux deviennent malades et meurent…
Exemple en ce moment : les chamois du Queyras sont atteints de kératose, ils deviennent aveugles à cause de la consanguinité. Et qui dit aveugle dit mort…
Solution au problème : la chasse pour tirer des bêtes, suivi d’une réintroduction de bêtes prélevées ailleurs, histoire d’amener du « sang frais » et arrêter ce problème de consanguinité (la kératose est en plus héréditaire… et touche également les bouquetins…)

Z’avez vu beaucoup de chamois qui se laissent caresser et approcher alors qu’on a des chiens avec ??? Pas terrible pour la survie de l’espèce.
ALors moi je dis OUI à la CHASSE… c’est bon pour la régulation de l’espèce !!!

Sans chasse, pas de survie… et tant pis si ça vous parait paradoxal

Posté en tant qu’invité par ;0):

swissmarmot a écrit:

Les animaux qui n’ont plus de prédateurs naturels (loups et
autres…) doivent être chassés … c’est bon pour l’espèce.

Z’avez vu beaucoup de chamois qui se laissent caresser et
approcher alors qu’on a des chiens avec ??? Pas terrible pour
la survie de l’espèce.

Ben yaka lacher les chiens!

Posté en tant qu’invité par juanmigel:

swissmarmot a écrit:

Les animaux qui n’ont plus de prédateurs naturels (loups et
autres…) doivent être chassés … c’est bon pour l’espèce.

Quid de l’homme qui n’a plus de prédateur !!!

Il faut le chasser lui aussi ?

[%sig%]

Posté en tant qu’invité par Gepi:

juanmigel a écrit:

swissmarmot a écrit:

Les animaux qui n’ont plus de prédateurs naturels (loups et
autres…) doivent être chassés … c’est bon pour l’espèce.

Quid de l’homme qui n’a plus de prédateur !!!

Il faut le chasser lui aussi ?

Ca m’aurait étonné que ça ne vienne pas sur le tapis.
Jusqu’à présent, il s’en est chargé lui même. Peut-être trouvera t-il un jour, d’autres moyens … éthiques.
Merci de ne pas développer.

A+

Posté en tant qu’invité par Régis:

c’est dommage que je n’ai pas encore vu de réponse à cette question ; même si ça dérange

Posté en tant qu’invité par Agnès:

Pour éviter la désinformation :

"La kératoconjonctivite infectieuse (ou cécité du chamois) affecte le bouquetin et le chamois. Elle est transmise par les moutons et les chèvres. La maladie est présente dans tout l’Arc alpin.
L’agent pathogène est la bactérie Mycoplasma conjunctivae. Elle affecte l’œil, en l’inflammant, l’ulcérant et pouvant conduire au percement de celui-ci. Les animaux se déplacent avec peine ; les aveugles se laissent approcher de près, et parfois tombent des rochers. Jusqu’à 95% des individus peuvent être affectés, mais le taux de mortalité ne dépasse pas 20%.
Des recherches sont actuellement en cours pour mettre au point un vaccin destiné aux moutons pour lutter contre la cécité du chamois. "
Cette maladie n’a rien d’héréditaire (mais elle est contagieuse) et apparaît épisodiquement dans les populations très denses où elle peut faire des ravages.

Quant à la consanguinité, elle suppose que des individus apparentés se reproduisent entre eux, ce qui signifie :

  • de très faibles effectifs (avec forcément plus d’individus apparentés que dans une pop importante),
  • pas d’échange d’individus entre les groupes de population (ce qui me semble peu probable chez le chamois),
  • ou alors des individus issus de quelques géniteurs seulement, ce qui peut être le cas après des réintroductions (cf le bouquetin).
    Donc chez le chamois dans les Alpes, il ne doit pas y avoir beaucoup de problème de consanguinité.

Voilà

Après, chasse ou pas chasse, c’est un vaste débat… dans les secteurs où les grands prédateurs ne sont pas présents en densité normale.

Posté en tant qu’invité par olivier74:

Merci à Agnés pour cette précision…j’allais répondre avec les mêmes arguments :

  • la keratoconjonctivite est effectivement une maladie infectieuse qui n’a rien à voir avec la consanguinité mais comme toute maladie infectieuse, sa transmission sera d’autant plus facile en cas de densité élévée…
  • la consanguinité chez les animaux est un produit de l’imaginaire humain, quasiment jamais rencontré dans la nature en milieu ouvert…

Alors la chasse comme moyen de régulation de certains espèces en expansion (cervidés ou sangliers notamment) sûrement mais rien à voir avec la consanguinité…

Posté en tant qu’invité par bouclettes:

quand on voit la manière dont tourne notre société…

Posté en tant qu’invité par claude:

Ben je ne sais toujours pas pourquoi certaines fois tu tires… (avec un fusil plutôt qu’un appareil photo, les sensations devraient être les mêmes à la différence près du plaisir de tuer : approche, communion avec la nature…)
sans rancune puisque visiblement tu ne fais pas partie de ces chasseurs qui foutent la trouille quand on les croise (et qui ne sont pas si rare que ca, expérience personelle)

Posté en tant qu’invité par bertrand:

La chasse, quel débat! Quand j’ entends les gens qui ne peuvent pas manger de gibier en général sous prétexte que ce sont de beaux animaux. J’ aimerais bien les voir tuer le veau, le porcelet ou le lapin qu’ils ont dans l’ assiette. Je ne vois pas de différence de manger un chevreuil (si le nombre le permet) ou un veau.
Demain si on me propose un steak de bouquetin tuer sur un plan de chasse ça ne me posera pas de problème.
Pour info l’ ONF préférerait qu’il y ait encore moins de gibier dans certaines régions boisées…
BON SKI, BONNE CHASSE ET BON APPETIT BIEN SUR…

Posté en tant qu’invité par sylvain:

je confirme pour les arguments d’Agnés et d’olivier

pour la consanguinité , des etudes sont en cours pour une petite population de chamois italien dans le massif des abruzzes .la population est reduite et tres isolee. vous rajoutez a cela une impossibilite de reimplantation de chamois venu d’ailleur du a des particularités specifiques de cette petite population. ce qui laisse a penser que cette population de chamois italiens coure actuellement de gros risques d’extinction…mais faisons confiance aux scientifiques

Posté en tant qu’invité par quent:

en lisant un peu les vieux commentaires , on peux voir que certaines courbes théoriques ( riney 1957) , s’appliquent réellement comme dans le cas du bargy en ce moment !!!

qui dit surpopulation sans prédateur dit forcément hécatombe lié a une maladie ou autre , ( les bouquetins du bargy 2014 avec la brucellose) abattage par les fédéraux …
s’il y avait eu une régulation il n’y aurait pas eu d’hécatombe comme celle ci .

alors ou pour réguler il faudrait le loup ou autre … sauf que en France notre politique va pas avec le loup notre agriculture non plus , notre pastoralisme non plus ,

voilou voilou , mon coup de gueule surtout en entendant MR Giraud avec son livre anti chasse d’écolo !!!

nous on y est tt le temps dans nos montagnes , il a qu’a venir courir à la chasse avec nous pendant une journée il saura ce que c’est !!!

tiens… un invité mystere qui déterre un sujet de 2006 et qui est tout de suite repris par" vous qui voyez". Alors que le débat (plutot chaud) venait de se calmer et pas forcement dans le sens désiré par ce dernier…

La ficelle est à peine plus grosse qu’un cable gros porteur.

Enfin je vous laisse seul juge vous qui voudrez bien donner à manger à ce « truc », moi ça sera ma seule intervention ici

ciao. :smiley: :smiley: :smiley: :smiley: :smiley: :smiley:

c’est pas MAV qui a déterré le sujet.