Pas d’affolement, il te suffit de consulter les infos disponibles concernant le fonctionnement du 114 qui n’est qu’un relais comme le regulateur du 112.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Centre_national_relais_114
Quant a l’evolution du 112, tout est ici: http://www.eena.org/view/en/About112/library/library_homepage/sms.html
1- le probleme n’est pas d’exposer mais que l’interlocuteur comprenne vraiment la situation (voir discussion Skitour par ex.)
2- le transfert d’info par voie orale souffre de limites inherentes (faut-il les lister: reseau, bruits, qualite de la communication, confusion des termes, pb de terminologie, langue utilisee pour les touristes…, etc…), Sans compter que la batterie d’un tel portable, surtout recent, n’est pas sans limite…
Le but de cette discussion n’est pas de forcer qui que ce soit a alerter des aujourd’hui les secours par SMS au 114 mais de mettre en place un projet qui permettra dans un avenir proche de lancer efficacement une alerte meme dans un coin limite reseau. Pour cela il faut que le cahier des charges de l’appli soit « approuve » par les services de secours. Par ailleurs, l’appli n’est que la partie « publique » du projet. Pour etre vraiment efficace, il faut que les services de secours disposent d’un logiciel qui traite les SMS en question -i.e « decode » le SMS d’alerte afin que les infos soient retranscrites en clair pour le regulateur.
Aujourd’hui la chaine d’alerte du secours en montagne par l’intemediaire du 112 suit de nombreuses etapes (qui dit etape, dit difficulte, n’importe quel coursier du TdF peut confirmer…:-). Le premier obstacle est la description precise de la localisation de l’accident. Fournir des coordonnees GPS au tel tourne rapidement a la galere (confusion du format, confusion des termes). D’ou l’interet de la transmission ecrite. Meme chose pour toutes les autres informations necessaires a la mise en oeuvre de l’intervention.
Idealement, un SMS d’alerte des secours en montagne recu par le 112 devrait etre immediatement identifie comme tel (SECOURS EN MONTAGNE!) et transmis aussitot et integralement a l’unite chargee de l’intervention (determinee par la localisation de l’accident).