La rando à skis pour les nuls

Les véritables nuls passant par c2c doivent se compter sur les doigts d’une moufle. Le randonneur à ski de base ne sera pas concerné par l’article que je viens de publier sur mon blog.
Mais si d’aventure un nul passait par là :wink: , je l’invite volontiers à découvrir les petits conseils que j’ai compilé en ma qualité… de nul ascensionnel (c’est déja pas mal) certifié :cool:

Au sommaire de l’article
Insister sur sa nullité, toujours.
Commencer mollo pour finir très mollo
L’effet de groupe n’est pas mon ami
La gourde plutôt que la pipette
Démarrer tôt… non, encore plus tôt
Manger son bonnet (après le passage du premier « avion »)
Ne jamais faire la trace
Doublements, redoublements
De l’art d’abandonner avant l’objectif
Vous garderez bien un peu de cuisse pour la fin
Pace Maker
La bouffe, son lit et la zénitude

Les commentaires, les témoignages et de nouveaux conseils sont les bienvenus. C’est là que ça se passe.

La randonnée à skis pour les nuls (ascensionnels)

Posté en tant qu’invité par lacigale libre:

:lol: excellent! On s y croirait! :wink: très bon conseil​:innocent: à méditer! :smiley: bravo leutchi le philosophe. …des cimes! :snowflake:belle lunettes…le chien!:sunglasses:. C est un escargot des sommets et des falaises qui repond! :smiley: a+

Excellent. Bravo :lol: .

Très bon, merci. Ça fait du bien à un escargot cacochyme sous sédatifs (on peut cumuler).

ton recit m’a fait mourir de rire et parfois j’avais l’impression qu’on se connaissait… :slight_smile:
bravo
quant aux" collants-pipettes"…prout

:cool: Merci à vous pour ces retours bien sympas et au plaisir de se croiser en montagne (un gros avec un border)

Mince ! On m’a suivi ! Je me reconnais bien :slight_smile: (Même si je suis plutôt le Nul Descentionnel ; mais il m’arrive de combiner…)

Bravo pour le style ! Et ça fait du bien de lire des récits qui se prennent pas la tête !

Merci pour ce texte si drôle, et si bien tourné, j’ai bien ri :lol:
Je me suis retrouvée dans pas mal des situations décrites, soit en étant la « nulle » de service (pas du tout la forme !), soit en étant dans le groupe des « pas nuls » mais devant gérer un (ou plusieurs) escargot(s).
En fait, il y a des cas bien pires de « nul », des qui ont en plus systématiquement des problèmes de matos, soit qu’ils l’ont oublié, soit qu’il (le matos) se déglingue complètement en cours de route :stuck_out_tongue:

Pareillement :slight_smile:
Je reconnaitrai le border (j’adore les border) grâce à ses super lunettes !

Tout simplement excellent.

.

le,truc, c’est que moi, je suis nul à la descente…A la montée, si y’a pas de conversions dans du trop raide, je ne suis que moyen, mais à la descente alors là, je vous bats tous…

(d’ailleurs, z’auriez une idée d’un truc faisable pas trop loin de grenoble (meme sur 2 jours avec nuit en refuge) pour un nul comme moi ?)
2.2 max …

j’avais envisagé le col de la Gandolière, mais en fonction des topos, ca risque de pas le faire : /viewtopic.php?id=273155

Posté en tant qu’invité par bob:

comme je l’avais écrit sur skitour, le texte est sympa mais j’avoue ne pas comprendre ce besoin de mettre en avant sa nullité, un peu comme dans certains livres récemment parus. On est tous le nul de qq d’autre. On est tous nuls, on est dans le troupeau, pourquoi vouloir à tout prix s’en démarquer en faisant de belles phrases, qui sous entendent : « Ok, je suis nul en montagne, mais je sais bien ecrire, donc je suis pas vraiment un nul comme les autres »

Derrière votre modestie affichée, ne se cacherait pas un peu d’arrogance voire de melon ?
Vous etes nuls, je suis nul, on est nul, vivent les nuls et puis c’est tout !!

Bonne montagne à tous.

Bob, je pense que VOUS avez un problème avec ma petite contribution qui n’a pas d’autre prétention que de donner quelques conseils et avis pour les nuls. Comme je sens comme une pointe d’amertume, voire de jalousie (c’est pas beau la jalousie) dans votre réponse je vais vous mettre à l’aise :cool:
Oui, je suis un nul comme les autres et ce n’est pas pas parce que j’écris que j’ai le « melon ». D’autres auraient pu le faire à ma place. Où est l’arrogance là dedans ? Parce que j’écris je suis arrogant ?
Je ne me vante pas d’être un Nul, je le suis c’est tout et l’idée est de faire partager mon expérience tout en rigolant (de moi surtout !) point barre. Je ne suis pas là pour me mettre en avant, votre raisonnement est quand même 'achetement tordu. Quand j’écris un roman sur un entraîneur de basket je suis arrogant ?
On ne se connait pas pas mais avec mes 102 kilos, mes 53 ans, mon apnée du sommeil et mon arthrodèse lombaire, je ne JOUE pas au nul :rolleyes:

Un article fort sympathique à lire !

Excellent!
Moi j’ai deux trois trucs:

  • attacher le chien au harnais de temps en temps, on économise 20 pour cent d’énergie :slight_smile:
  • prévoir un T shirt de rechange, ne pas mettre de soutien gorge
  • manger des pâtes la veille, sortir ses barres d’isostar avant d’avoir la barre, enfin le coup de barre
  • ne jamais boire d’alcool la veille, se réserver pour l’après rando
  • ne pas manger de croissants, chocolatines, trucs gras et sucres rapides le matin
  • devenir végétarien, ça marche très bien
  • arrêter de fumer (difficile ça j’ai pas réussi)
  • sortir deux fois par semaine et par tous les temps, non, je rigole
  • sortir avec plus nul que soi: celui qui a fait la fête la veille, ou dont c’est la première rando, ou alors un parisien

Bon courage :wink:

Posté en tant qu’invité par Nul (un vrai):

Vraiment excellent. En temps que vrai nul, je me reconnais bien.
Ce que j’ai aussi remarqué, c’est que la sympathie des gars qui emmène un nul est inversement proportionnelle à la taille du groupe.
Lorsqu’un gars fort l’emmène faire une rand à deux, il s’arrête régulièrement pour m’attendre et me laisse le temps de récupérer. Lorsque le groupe est important, les gars les plus prévenant connaissent toujours quelqu’ un dans le groupe auquel il a quelque chose à prouver. Résultat: Plus personne m’attend.
A la dernière collective à laquelle j’ai participé, les autres redémarraient de leur pause à. chaque fois que j’arrivais.
De toute la journée , je n’ai pu parler à personne. Pour moi, ça a été un calvaire.
D’ailleurs depuis ce jour je randonne seul

Posté en tant qu’invité par Nul (un vrai):

Vraiment excellent. En temps que vrai nul, je me reconnais bien.
Ce que j’ai aussi remarqué, c’est que la sympathie des gars qui emmène un nul est inversement proportionnelle à la taille du groupe.
Lorsqu’un gars fort l’emmène faire une rand à deux, il s’arrête régulièrement pour m’attendre et me laisse le temps de récupérer. Lorsque le groupe est important, les gars les plus prévenant connaissent toujours quelqu’ un dans le groupe auquel il a quelque chose à prouver. Résultat: Plus personne m’attend.
A la dernière collective à laquelle j’ai participé, les autres redémarraient de leur pause à. chaque fois que j’arrivais.
De toute la journée , je n’ai pu parler à personne. Pour moi, ça a été un calvaire.
D’ailleurs depuis ce jour je randonne seul